Tribunal de Dakar : Omar Sow s’excuse pour un « lapsus » mais refuse de balancer…
il y a 4 mois
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Tribunal de Dakar : Omar Sow s’excuse pour un « lapsus » mais refuse de balancer…
"Ces fumiers-là". C'est en ces mots que le leader de Pastef, Ousmane Sonko, a qualifié les membres de la société civile. Certains en rient, d'autres s'en désolent, mais ce qui est sûr, c'est que ces propos font beaucoup réagir.
Ce 4 juin 2025, au Tribunal des flagrants délits de Dakar, l’audience d’Omar Sow, poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles, s’est conclue par un renvoi de l’affaire au 18 juin pour délibéré.
Ce 4 juin 2025, lors de l’audience au Tribunal des flagrants délits de Dakar, le procureur de la République a requis une peine de...
Ce 4 juin 2025, Omar Sow a comparu devant le Tribunal des flagrants délits de Dakar pour diffusion de fausses nouvelles, un délit pour lequel il avait déjà écopé de 6 mois avec sursis en janvier 2025.
Oumar Sow, ancien conseiller spécial de Macky Sall, a été placé en détention provisoire et sera jugé en flagrant délit pour diffusion de fausses nouvelles
La Chaîne L’Equipe s’est offert une polémique après la « bafouille » de l’un de ses chroniqueurs dans l’émission L’Equipe de Choc, qui a provoqué la colère des supporters de l’OM sur les réseaux sociaux.
La sortie du premier Ministre, Ousmane Sonko n’est pas appréciée par un des responsables du Mouvement Vision Citoyenne de Ziguinchor.
Le Sénégal est un pays très particulier. Alors qu’une nouvelle polémique est née, depuis quelques jours, autour du crime odieux commis par l’armée française au camp de Thiaroye, il y a 80 ans, certains compatriotes, en petits « Molière », veulent nous imposer un débat qui conforte l’ancienne colonie dans sa volonté de continuer à nous coloniser par d’autres moyens. En effet, un journaliste de Dakaractu a récemment été pris pour cible sur les réseaux sociaux après avoir maladroitement employé le terme « risée » dans une question adressée à la meilleure élève du Sénégal à l’issue du Concours général. Ce lapsus, ou en tout cas, cette « bourde » pour certains, a rapidement déclenché une vague de critiques et de moqueries en ligne, soulignant la sensibilité du public aux erreurs linguistiques dans les médias. Le lynchage virtuel dont a été victime notre jeune confrère met en lumière la pression constante à laquelle les journalistes sont soumis, mais aussi l’importance de la rigueur dans l’utilisation du langage.
Les familles de Fulbert Sambou et Didier Badji ont joint l’acte à la parole.
Le président américain Joe Biden n’en finit pas d’amuser le monde avec ses gaffes et confusions récurrentes lors de ses sorties médiatiques
Joe Biden a bataillé de plus belle jeudi lors d'une longue conférence de presse, plutôt maîtrisée bien qu'obscurcie par des lapsus spectaculaires, mais sa candidature à un second mandat reste précaire.
Ils feront, annoncent-ils, une importante déclaration sur la disparition de leur frère Didier Badji et la mort tragique de Fulbert Sambou.
Entre l’affirmation et la rétraction, une hypothèse crédible émerge : c’est que s’il ne connaissait pas tout, il en saurait au moins beaucoup.
C’est devenu presque normal chez l’actuel président américain Joe Biden.
Sa sortie a remué le couteau dans la plaie encore béante. Invité de Maïmouna Ndour Faye hier sur 7TV, l’ancien ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall, a été interrogé sur l’affaire non encore élucidée de la disparition du militaire Fulbert Sambou et du gendarme Didier Badji dans des conditions troubles.
Sur la Rfm,Moussa Sy se défend
Le Premier ministre de Papouasie-Nouvelle-Guinée, a estimé dimanche 21 avril que sa nation ne méritait pas d’être qualifiée de cannibale et exhorte les États-Unis à nettoyer les vestiges de la Seconde Guerre mondiale, après les commentaires du président Joe Biden sur son oncle militaire disparu.
Plus vieux président en exercice de l'histoire américaine, Joe Biden reste "apte" à exercer ses fonctions, a assuré mercredi son médecin à l'issue de l'examen annuel du dirigeant de 81 ans, au moment où sa capacité à gouverner suscite des doutes, exploités par l'opposition républicaine.
Le secrétaire national à la communication de l’ex-Pastef, El Malick Ndiaye, ne finit pas de ruminer sa colère sur la décision des membres du Conseil constitutionnel d'écarter son leader Ousmane Sonko.
