L’Union des magistrats du Sénégal (UMS) n’est pas opposée à la présence du président de la République et du ministre de la Justice au sein du Conseil supérieur de la magistrature (CSMS)
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L’Union des magistrats du Sénégal (UMS) n’est pas opposée à la présence du président de la République et du ministre de la Justice au sein du Conseil supérieur de la magistrature (CSMS)
Bissine sous un vent de renouveau
Entre 2005 et 2007, une rude bataille pour l’érection de Sédhiou en région opposait les hommes politiques.
Aujourd’hui, la localisation d’un ministère ou service de l’administration centrale pose d’énormes problèmes. La cause?? La délocalisation des services de l’État suite à la fermeture du Building administratif qui regroupait l’essentiel des départements ministériels.
La sortie du parti Rewmi de l'opposant Idrissa Seck contre le régime de Macky Sall, est un des sujets en exergue, dans les journaux reçus mardi à l’APS. Concernant la tournée de leader de Rewmi, Le Témoin au quotidien affiche à sa Une : ‘’Idrissa Seck charge Macky Sall’’. ‘’Rewmi a dressé un premier bilan de la récente tournée de proximité d’Idrissa Seck dans les localités des départements de Matam, Ranérou, Kanel, Kédougou, Saraya, Salémata, Tambacounda, Goudiry’’, écrit le journal.
Le président de la République est attendu ce mardi dans la région de Kaffrine. Macky Sall va présider dans cette localité la réunion décentralisée du Conseil des ministres. Il arrive dans une région où tout est priorité et où l’espoir de le voir changer le visage de la localité est grand. Zoom sur cette région née de la réforme administrative de 2008.
A Kédougou, les travailleurs sont précarisés par la cherté du loyer avec des prix dépassant parfois la norme appliquée à Dakar. Il ne faut pas être surpris de tomber sur un bailleur qui vous demande 100 mille, 150 mille ou 250 mille pour un banal appartement. Les locataires étouffent et enragent, pour ramener la situation à une dimension normale. Surtout que Kédougou est ravagée par la pauvreté. Mais les travailleurs miniers ont réussi à redessiner l’offre au détriment des fonctionnaires qui sont contraints d’inventer des solutions de survie pour rester à Kédougou.
L’Etat du Sénégal a décidé de payer aux propriétaires des immeubles conventionnés, leur dû. C’est ce qu’a informé ce jeudi le ministère de l’Economie et des Finances. «L’Etat mobilise près de 15 milliards de f Cfa pour payer les loyers des immeubles conventionnés à usage d’habitats et de bureaux au titre de l’année 2013 et le premier trimestre de l’année 2014 avant la tabaski», a renseigné le département ministériel dans un communiqué dont copie est parvenue à Seneweb.
L’Etat du Sénégal a décidé de payer aux propriétaires des immeubles conventionnés, leur dû. C’est ce qu’a informé ce jeudi le ministère de l’Economie et des Finances. «L’Etat mobilise près de 15 milliards de f Cfa pour payer les loyers des immeubles conventionnés à usage d’habitats et de bureaux au titre de l’année 2013 et le premier trimestre de l’année 2014 avant la tabaski», a renseigné le département ministériel dans un communiqué dont copie est parvenue à Seneweb.
Traque des biens mal acquis ou traque aux biens mal acquis, mise en place de la CREI et de l’OFNAC, relance de la Haute cour de Justice, audit de la Fonction Publique et des maisons conventionnées, diminution des agences et fusion de celles s’occupant des jeunes en une seule, assurément le président Macky Sall a décidé de prendre le taureau par les cornes.
Macky Sall veut faire le grand ménage. Et veut y voir clair dans la grosse nébuleuse que constituent l’attribution et l’occupation des maisons conventionnées. Sur instruction du Président de la République, le gouvernement veut se montrer diligent dans sa volonté de supprimer les maisons conventionnées.
L’état dans lequel le régime libéral a légué le patrimoine bâti de l’Etat a son successeur, n’est aucunement reluisant. Au contraire, l’état des lieux réalisé par les nouvelles autorités a révélé une explosion littérale des conventions, dont la facture globale est aujourd’hui, plus qu’exorbitante.
Le secrétaire général du parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng, a répondu sans détours à toutes nos interrogations. De la pénurie des denrées, à l’inflation, en passant par le projet de loi constitutionnelle, relatif à l’article 27, la Goana, les tenants et aboutissants des assises nationales, le train de vie « dispendieux » de l’Etat, ses relations avec Abdou Diouf, Ousmane Tanor Dieng n’aura éludé aucune question. Décernant finalement une note inférieure à la moyenne à Me Wade qui, d’après lui, est à l’image de Robert Mugabe... Parlant de l’article 27 de la Constitution, M. Dieng pense que c’est une « folie » contre laquelle, le peuple doit s’opposer ; car, étant une farce de mauvais goût d’où pourrait partir de probables étincelles. Entretien.
Les membres du collectif des propriétaires des logements conventionnés ne réclament à l’Etat sénégalais que leur dû estimé à neuf mois d’arriérés de paiement. D’autant plus qu’ils ont pu construire ce patrimoine avec des prêts contractés auprès des différentes banques de la place. Les propriétaires des villas, immeubles et bureaux conventionnés par l’Etat sont très remontés contre les pouvoirs publics. Pour cause, ils courent derrière neuf mois d’arriérés de location. Des sommes destinées en partie à assurer la ‘survie’ de leurs familles, la scolarité de leurs enfants qui sont actuellement renvoyés et expulsés de leurs établissements. Ils se disent d’autant plus outrés qu’ils savent que l’Etat du Sénégal est actuellement solvable.
Le front Siggil Sénégal poursuit sa démonstration visant à amener les Sénégalais à comparer le régime socialiste à celui des libéraux. Rien que pour prouver la véracité du slogan de campagne de Me Wade ’weedi guiss bokku ci’ (la preuve par les faits, Ndlr). Mais négativement. Puisque pour Me Wade, cela voulait dire que le sort des Sénégalais s’est amélioré, preuves à l’appui. Alors que l’opposition soutient le contraire, preuves également à l’appui. Et cette fois-ci, Tanor, Bathily et consorts se sont intéressés aux milliards que le régime libéral engloutit par an. Comme ils l’avaient fait avec le coût actuel de la vie au Sénégal, en dressant un tableau récapitulatif des prix à la consommation dans le temps et dans l’espace, les membres du front Siggil Sénégal ont repris leurs calculettes.
L’Alliance des forces du progrès a célébré samedi dernier l’anniversaire de l’appel du 16 Juin 1999. Une occasion saisie par le secrétaire général de l’Afp Moustapha Niasse pour annoncer une série de privatisations des sociétés comme la Sonatel, la Lonase et le Port de Dakar. Parce que le Sénégal connaît des difficultés énormes de trésorerie. Il a par ailleurs lancé un appel pour «une unité réelle» de l’opposition et se dit favorable à une démocratie arc-en-ciel. A en croire Moustapha Niasse : «Les finances publiques et le Trésor sont aujourd’hui dans une situation alarmante, eu égard à l’importance des engagements pris par l’Etat à la veille des élections pour calmer le front social et pour relancer ses grands chantiers».
Les propriétaires des maisons conventionnées par l’Etat sont très remontés contre l’autorité. Depuis huit mois, ils n’entrent plus dans leurs fonds. Selon une source proche du ministère du Patrimoine bâti, «un gap de 2 milliards de francs Cfa est à l’origine de cette défection. Pire, plusieurs d’entre ces logements seraient occupés par des non ayant droits. Ce qui entraîne une mauvaise maîtrise du budget consacré à cette rubrique. Mais des proches du directeur de la gestion du patrimoine bâti affirment qu’il n’y a aucun problème. D’autant que cette information a été démentie devant le ministre de la tutelle. Ceux qui ont une convention de location avec l’Etat du Sénégal ne savent plus où donner de la tête. Ils courent derrière des arriérés de huit mois. La dernière fois qu’ils sont passés à la caisse remonte au mois de mars 2006. Et, c’était pour encaisser les loyers du dernier trimestre de l’année 2005 (septembre-novembre-décembre).