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« Avec ta disparition je perds un grand frère, un ami, un conseiller, un référent et fervent talibé mouride », se désole le ministre des Transports aériens et du Développement des infrastructures aéroportuaires.
Malaise à l’Agence nationale de la Promotion des investissements et des Grands travaux (Apix). Le Directeur général de la structure, Mountaga Sy et sa Directrice générale adjointe, Aida Djigo Wane ne s’entendent plus. Selon l’As, Mountaga Sy s’est débarrassé de Aida Wane, qui n’est autre que la fille adoptive de Mame Madior Boye.
Le malaise aurait atteint son summum au sein de l'Agence pour la Promotion des investissements, selon nos confrères de Libération, dans leur parution de ce mardi, 29 janvier. Après l'Administrateur de la zone industrielle, Mass Thiam, l'Ige (Inspecteur général d'Etat), Mamadou Diop, vient de démissionner à la suite de " frictions " avec le directeur général de l'agence, Diène Farba Sarr. La gestion décriée de ce dernier, un rhapsode du président de la République pour avoir écrit l'ouvrage " Macky, un combat pour la République ", en serait la cause. Hier déjà, une partie de la presse sénégalaise, reprenant les propos d'Omar Faye, le leader de Leral Askanwi, s'insurgeait contre les lenteurs dans la passation de marché de la construction du tronçon Diamniadio-Aibd (Aéroport international Blaise Diagne) de l'autoroute à péage que Diene Farba Sarr voudrait octroyer à Eiffage, par gré à gré ou avenant. Le népotisme du Dg de l'Apix (recrutements clientélistes d'une dizaine de personnes, selon le journal, dont la fille de Mor Ngom et l'épouse d'un ami du président de la République comme collaboratrice extérieure) serait aussi à l'origine du malaise.
Le malaise aurait atteint son summum au sein de l'Agence pour la Promotion des investissements, selon nos confrères de Libération, dans leur parution de ce mardi, 29 janvier. Après l'Administrateur de la zone industrielle, Mass Thiam, l'Ige (Inspecteur général d'Etat), Mamadou Diop, vient de démissionner à la suite de " frictions "
Les sujets relevant de la traque des biens mal acquis reviennent de plus belle au-devant de l’actualité, au détriment notamment de questions politiques reléguées au second plan. Sud Quotidien ouvre sur une annonce, faisant état d’un renforcement du dispositif de défense de l’Etat sénégalais, avec l’arrivée de Me Pape Khaly Niang
Le Conseil des Ministres s’est réuni le jeudi 16 septembre 2010, à partir de 10 heures, au Palais de la République, sous la présidence de Son Excellence Maître Abdoulaye WADE, Président de la République. Le Chef de l’Etat a fait part au Conseil des audiences qu’il a accordées à plusieurs personnalités parmi lesquelles : • Son Excellence Madame Batoura KANE NIANG. Ambassadeur du Sénégal en Guinée Conakry ; • Son Excellence Monsieur Fodé SECK, Ambassadeur du Sénégal au Brésil, venu lui faire ses adieux ; • Son Excellence Monsieur Nicolas NORMAND, Ambassadeur de France à Dakar ; • Son Excellence Monsieur Jean Pierre BOLDUC, Ambassadeur du Canada ;
C’est devenu incontestablement une lapalissade, un secret de Polichinelle : Me Wade nous trompe. Non seulement il nous trompe sans état d’âme, mais – c’est plus inacceptable encore –, il nous prend pour des demeurés, pour des moins que rien. Si ce n’était vraiment pas le cas, nous devrions nous inquiéter encore plus. Le syndrome Bourguiba roderait alors sûrement du côté du palais de la République de l’avenue Léopold Sédar Senghor. Je n’irai pas chercher très loin pour illustrer mon propos. Je rappellerai simplement son adresse au khalife général des tidianes la veille du Gamou 2009.
‘La réalisation de cette grande Université, qui fait partie des grands projets du président Wade, est aujourd’hui dans l’impasse. (…) Le chantier est en état de dégradation continue… Avec des poteaux de plus en plus rouillés, les hautes herbes qui ont fini d’envahir les lieux. Et pour finir, des cultivateurs qui ont transformé une bonne partie des lieux en champs de gombo et de niébé.’ Telle est la description sans appel que, dans son édition du 4 septembre 2007, L’Observateur a faite du chantier de l’Université du Futur africain (Ufa). Ce quotidien me conforte dans l’attitude de méfiance que j’ai toujours eue vis-à-vis des grands chantiers dits de Me Wade.
