Le leader du Parti du progrès et de la citoyenneté (Ppc), Mbaye Jacques Diop, pense que même si le président organise un référendum pour réduire son mandat de 7 à 5 ans, les populations ne le lui permettront pas.
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Le leader du Parti du progrès et de la citoyenneté (Ppc), Mbaye Jacques Diop, pense que même si le président organise un référendum pour réduire son mandat de 7 à 5 ans, les populations ne le lui permettront pas.
La récente sortie de Serigne Assane Mbacké demandant à la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) de traduire Marième Faye Sall en justice, a fait sortir Me Mbaye Jacques Diop de ses gonds. «La seule affaire qui existe est le scandale dont s’est rendu coupable un groupe d’aventuriers, affublés, en parfaits usurpateurs, du titre de marabouts», déclare Me Mbaye Jacque Diop qui présidait une réunion du Bureau politique de sa formation politique, le Parti pour le progrès et la citoyenneté (Ppc), rapporte "L'As".
Mbaye Jacques Diop, secrétaire général du Parti pour le Progrès et la Citoyenneté (Ppc), par ailleurs avocat, déplore ce qui s’est passé dans le pays de Yahya Jammehet « appelle au sens des responsabilités, au sang-froid et à la raison ». Revenant sur l’exécution de la Sénégalaise, Tabara Samb, dans le pays de Jammeh, Mbaye JacquesDiop déclare : « nous avons aboli la peine de mort, au Sénégal. Il n’en est pas de même pour d’autres pays, notamment en Gambie ». Ainsi, poursuit-il dans les colonnes de Direct-Info,« au plan strictement formel et du droit international, il serait difficile de reprocher à un pays souverain d’avoir appliqué sa législation. (…) Sous le coup de ces lois et règlements,commis sur son sol (Ndlr : Gambie), on ne saurait lui (Yahya Jammeh) instruire un procès ».
Le rapport qui mouille l’ex président du Craes Me Mbaye jacques Diop a été publié par Enquête. Dans ce rapport, la centif piste la somme de 1, 038 milliards Cfa.
Abdou Elinkine Diatta, ce nom n’est pas inconnu des Casamançais. Ancien combattant de la branche armée du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc) « Atika », Abdou Elinkine avait rejoint le maquis vers les années 1984. Aujourd’hui devenu porte-parole du mouvement irrédentiste, Abdou poursuit son combat. Nous l’avons rencontré vers Mangoukouro, sur la route d’Oussouye. Dans cet entretien, il fixe des préalables aux négociations gouvernement/Mfdc, à savoir, la tenue d’assises inter Mfdc à Paris. Il décrie, par ailleurs, la manière dont le dossier Casamance est géré par certains dont Latif Aïdara
A deux reprises en moins de deux semaines, l'ancien président du Craes est venu à Touba après le rappel à Dieu de Serigne Saliou Mbacké. Mbaye Jacques Diop accompagné des membres de sa famille et de ses proches collaborateurs, a renouvelé son allégeance à Serigne Bara Mbacké. Ce jeudi, Serigne Bara Mbacké Falilou a réservé un accueil chaleureux à Me Mbaye Jacques Diop, ancien président du Conseil de la République pour les Affaires économiques et sociales (Craes). Comme un fils. Me Mbaye Jacques Diop a renouvelé son allégeance au Khalife général des Mourides.
Mouvement enrhumé ; processus de paix grippé ; l’argent exacerbe les dissensions. Le conflit armé en Casamance qui dure depuis plus de 25 ans perdure. La situation géographique du département de Bignona et la proximité avec la Gambie, semblent attiser les foyers de tension dans la région méridionale du pays. S’y ajoute le rôle et la part important de l’argent dans la gestion du dossier. Un état de fait qui a fini d’exacerber les ambiguïtés d’un processus de paix à la traîne. Et que le rappel à Dieu du leader historique du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc), l’Abbé Diamacoune Senghor n’a pas été pour arranger les choses.
Enfin, on en sait un peu sur les négociations entre le gouvernement du Sénégal et le Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc). Après moult renvois, la rencontre de Foundiougne 2 aura lieu en décembre 2006. L’annonce a été faite par Me Mbaye Jacque Diop, président du Craes, par ailleurs médiateur dans le conflit casamançais. C’était en marge de l’ouverture de la session extraordinaire du Craes où a été évoqué la situation sociale, culturelle, administrative, économique et financière du pays. Me Diop dit avoir beaucoup d’espoir par rapport aux prochaines négociations pour parvenir à un accord de paix définitive.