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Est-il besoin de rappeler, que les Sénégalais votent en réalité depuis 174 ans.
C’est un meeting qui restera dans les annales de l’histoire politique de Kaolack.
Ce samedi 9 septembre 2023, le Président de la République Macky Sall par ailleurs Président de la coalition BBY et de la Majorité Présidentielle a porté son choix sur le Premier Ministre Amadou Ba pour être candidat à l’élection présidentielle de Février 2024 .
Une marée humaine a investi le président Macky Sall à la place Koba club de Kédougou, ce dimanche 19 février 2023
«La manigance politique de Benoît Sambou dans l'agora politique de Ziguinchor, son inexpérience abracadabrante accommodée de son faible poids électoral ont conduit Benno Bokk Yaakaar (Bby) vers un château de cartes décevant. Benoît a obtenu 12 %, soit le plus mauvais score de By sur tout le territoire national.
Qu’est-ce qui vous pousse à vouloir encore briguer la mairie ?
C’est un meeting qui restera dans les annales de l’histoire politique de Kaolack.
Une marée humaine a investi le président Macky Sall à la place Koba club de Kédougou, ce dimanche 19 février 2023
Une candidature, quatre prétendants. Ce pourrait être le titre de cette alliance libérale circonstancielle dans le Cadre de concertation de l’opposition. Mais Idy, Pape Diop, Baldé et Karim- si on lui ouvre les portes de Rebeuss- iront tous en solo au premier tour. Wade lâchera-t-il du lest en ayant un des trois comme Plan B de la candidature de son fils ? Rien n’est moins sûr.
![[Revue de p(a)resse du Dimanche 11 mai 2014] Idy & «Seckeries», un an de retard. Volez des milliards, pas du bétail ! Bordel pari-taire : Touba, jamais sans ma liste !](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//2f6ea624afa9a7f98929927b8a8f2e4f.jpg)
Allo le Monde ! On se demande bien ce qu’ils ont tous, à taper à la porte des médias étrangers, à se ruer tous chez les toubabs francisés, pour parler de politique intérieure, d’affaires sénégalo-sénégalaises. D’abord le vieil homme, le revenant de Paris qui depuis la capitale française, agite le landerneau. Ensuite SA Mackyesté, «Monsieur Michelin» qui est allé s’exprimer sur le même medium pour porter l'estocade devant son prédécesseur.
Dans cette deuxième partie de l’entretien accordé aux sites d’informations Leral.net et Politicosn.com, Samba Ndiaye évoque bien des questions. De la floraison des structures des cadres dans le Pds en passant par sa gestion de la mairie de Ndoffane, tout est passé au peigne fin. Samba Ndiaye qui tient debout dans une zone où son parti semble parti en lambeaux, appelle à des assises pour sa réorganisation. Et pour se faire, les choix faits par Souleymane Ndéné Ndiaye au niveau de Kaolack doivent être reconsidérés.
Un télescopage de tous les dangers à Touba. Wade et Macky, tous, ce jeudi, dans la cité religieuse. Pendant qu’au sein du Pds, les remous sont acerbes, chez les Républicains, on se prépare pour un grand accueil. Deux prétendants au pouvoir, en 2012, passent, ce vendredi, sous le même toit de Touba, pour le compte d’une nuit qui restera, sans nul doute, mémorable.
Un Premier ministre sportif, ou plutôt un sportif devenu Premier ministre ! C’est ainsi que Me Souleymane Ndéné Ndiaye nous est apparu lors de l’entretien exclusif qu’il nous a accordé. Très au fait de ce qui se passe et s’est passé sur les stades d’ici et d’ailleurs, celui qui soutient qu’il aurait « pu être international de foot ou de basket », ne s’est donc point égaré les week-ends sur les différentes aires de compétition. Et c’est en vrai connaisseur qu’il nous a parlé de sport en général. Entretien, en toute décontraction.
C’était au temps où le crépuscule de la domination coloniale couvait les enjeux majeurs d’une confrontation gigantesque entre les peuples jadis asservis et leurs oppresseurs, où les héros se mêlaient aux hommes politiques et où les militants se vouaient à un idéal plutôt qu’ils ne se vendaient à un bailleur de fonds publics. Les convulsions de cette époque n’épargnaient aucun des protagonistes, et la puissance coloniale française par la voix de son fils le plus prestigieux, le général De Gaulle, lisait son destin dans « la surenchère américaine » qui battait en brèche la position et l’action de la France en Afrique et « l’impérialisme écrasant des soviétiques qui y poussait à la subversion ».
Thiès, 23 fév (APS) - Idrissa Seck, candidat de la Coalition ''And Liguey Sénégal'' à la présidentielle du 25 février 2007, a reçu un accueil mémorable, vendredi à Thiès, sa ville natale (70 km à l'ouest de Dakar) où il a tenu le meting de clôture de sa campagne.Idrissa Seck qui avait donné rendez-vous à ses militants à la Promenade des Thiessois, n'a pu s'adresser aux milliers de personnes qui avaient pris possession de l'endroit pour lui témoigner leur attachement.
Feu d'artifice ce mardi à Darou Mouhty ! Les armes ont résonné pour la première fois de la campagne électorale. Des échanges de jets de pierres et des coups de pistolet ont fait 07 blessés, dont un avec les doigts sectionnés. Les échauffourées auraient démarré quand des militants de Diagne Fada sont venus à la place du meeting, où ils avaient déjà trouvé des partisans de Thierno Lô aux avant-postes près de l'estrade. C'est là que les choses ont dégénéré, virant à une véritable intifada dans les rues de Darou. Il a fallu l'intervention d'éléments de la gendarmerie nationale, et surtout la médiation de serigne Modou Kara Mbacké...
Samedi d’opposition. Pour la première fois depuis sept ans, l’opposition sénégalaise brave l’autorité étatique. Flanquée de l’étiquette d’une opposition molle, poltronne, l’expérience a été assez tentante pour ses responsables de défier les lacrymogènes et se faire entendre. Enfin ! Au bout d’une journée de contestations, après avoir été tous arrêtés, ses leaders ont obtenu, tout compte fait, plus que la marche qui leur a été refusée au départ. Amath Dansokho, Moustapha Niasse, Ousmane Tanor Dieng, Abdoulaye Bathily… sont partis du grand rond-point de la Médina où ils ont, d’ailleurs, été tous interpellés par les éléments de la police. Derrière eux, la manifestation prendra diverses formes à travers les artères de la capitale, jusqu’à leur libération aux environs de 16 heures, quand une marche spontanée s’est révélée au-delà de leurs espérances. Chronique d’une marche interdite, finalement promue…
