Jonas est arrivé illégalement en Tunisie en novembre, après avoir fui le sud du Nigeria et la violence contre son ethnie Igbo. Mais alors qu'il espérait un répit, il s'est retrouvé en milieu hostile.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Jonas est arrivé illégalement en Tunisie en novembre, après avoir fui le sud du Nigeria et la violence contre son ethnie Igbo. Mais alors qu'il espérait un répit, il s'est retrouvé en milieu hostile.
Après la découverte de plusieurs cas de Covid-19 dans les prisons marocaines, la crainte d’une large contamination des...
Les résultats du premier tour de la présidentielle tunisienne de ce dimanche 15 septembre ne sont que partiels, mais ils sont déjà un message très clair envoyé à la classe politique au pouvoir.
Confronté à une grave crise économique et sociale, le Premier ministre tunisien s’efforce de maintenir son pays à flot. Pas évident quand les soutiens se dérobent…
Confronté à une grave crise économique et sociale, le Premier ministre tunisien s’efforce de maintenir son pays à flot. Pas évident quand les soutiens se dérobent…
Le 13 août, journée de la femme en Tunisie, le chef de l'État, Béji Caïd Essebsi, a annoncé la création d'une commission chargée d'élaborer un nouveau code des libertés individuelles et de l'égalité, ainsi que l'abrogation de la circulaire 73.
Depuis le 11 juillet 2017, la militante et avocate Radhia Nasaroui est en grève de la faim pour protester contre le changement de mode de protection de son mari, Hamma Hammami. Dans les conditions actuelles, elle l'estime gravement menacé.
Depuis six mois, l’Instance Vérité et Dignité donne la parole aux victimes de la dictature tunisienne lors d’auditions publiques retransmises à la télévision.
Elles sont connues ou inconnues. Elles sont Africaines et Le Monde a décidé de leur rendre hommage, à l’occasion de la journée de la femme, le 8 mars. Elles n’ont pas été choisies pour leur fortune, ni pour leur influence, mais parce qu’elles ont impressionné neuf des journalistes au Monde qui traitent de l’Afrique. Le choix a été subjectif, le résultat est large : photographe, banquière, soeur religieuse, agricultrice, actrice, geek ou ancienne couturière. Ce sont les femmes à qui nous tirons notre chapeau, celles qui sont en train de changer leur continent.
C’est à Sfax, deuxième ville du pays, réputée favorable aux islamistes d’Ennahda, que sera tenu le dernier grand meeting de campagne. Ce jeudi 20 novembre, dans une ambiance survoltée, plusieurs milliers d’électeurs sont venus acclamer Béji Caïd Essebsi. « Béji est le seul capable de remettre la Tunisie sur la bonne voie », s’égosille une militante, drapée dans un drapeau tunisien. Sur la scène, « BCE » déroule ses traditionnels thèmes de campagne : la défense des droits de la femme, la promotion d’un islam modéré, la promesse d’un Etat moderne et fort.
L'ancienne Femen tunisienne Amina Seboui, soupçonnée d'avoir menti à propos de l'agression dont elle dit avoir été victime début juillet, a été laissée en liberté après sa garde à vue mardi et sera jugée pour "dénonciation mensongère", a dit son avocat à l'AFP.
L'ancienne membre tunisienne des Femen, Amina Seboui, a porté plainte lundi, affirmant avoir été agressée la veille à Paris par cinq "islamistes" qui, selon ses dires, auraient entrepris de lui raser les cheveux et les sourcils, a-t-on appris de source policière.
La militante tunisienne Amina Sboui, libérée début août après deux mois et demi de détention, a annoncé mardi quitter le groupe féministe Femen qu'elle accuse d'islamophobie et de financement opaque. "Je ne veux pas que mon nom soit associé à une organisation islamophobe
Les Femen vont pouvoir effacer les messages « Free Amina » inscrits sur leurs corps. Ce jeudi, la justice tunisienne a ordonné la remise en liberté de la militante Amina Sbouï. « Elle sera libre dans quelques heures, je ne m'y attendais pas », a déclaré son avocat Halim Meddeb à l’AFP.
Les trois militantes européennes du groupe féministe Femen, incarcérées en Tunisie et condamnées mercredi à une peine avec sursis, sont sorties de prison peu avant minuit, selon un journaliste de l'AFP sur place. Les trois militantes ont quitté la prison pour femmes de la Manouba peu avant 22H00 GMT
Deux militantes du groupe Femen ont tenté de perturber vendredi la visite de François Hollande au salon aéronautique du Bourget (Seine-Saint-Denis), a constaté une journaliste de Reuters.Alors que le chef de l'Etat parcourait les allées du salon, deux jeunes femmes seins nus se sont précipitées vers lui, sans l'atteindre, au cri de "freedom"
Trois militantes Femen ont été interpellées mercredi matin à Tunis après une action seins nus, une première dans le monde arabe, en soutien à une militante tunisienne détenue depuis le 19 mai, selon un journaliste de l'AFP. Face à une foule de journalistes réunis devant le palais de Justice de Tunis
Depuis qu’elle a tagué le nom « Femen » sur un muret dans la ville sainte de Kairouan dimanche dernier, Amina Tyler serait en prison. Selon l’essayiste Caroline Fourest et la réalisatrice Nadia El Fani, qui signent une tribune publiée mercredi sur le site de « Marianne », la jeune femme a été convoquée devant le tribunal de grande instance de Kairouan mardi dernier. Accusée de « profanation de tombeau » et d’« attentat à la pudeur », elle risquerait une peine de deux ans de prison ferme.
Après s’être enfuie de chez elle, Amina n’avait pas caché ses intentions. « Je veux poursuivre mon combat », avait-elle annoncé. D’après les informations de Martine Gozlan, journaliste à « Marianne », la première Femen tunisienne aurait choisi la date du 1er mai pour tenter une nouvelle action.
FEMEN - La jeune tunisienne cachée depuis la diffusion de photos d'elle seins nus à la manière des féministes de Femen est apparue samedi 6 avril dans un reportage où elle ne semble pas libre de ses mouvements et où elle critique ses consœurs qui ont brûlé un drapeau salafiste à Paris.