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Après la sortie du titre "Momé vent" en
L’apparition du premier cas au Sénégal de la maladie à virus Ebola, le second remaniement ministériel, la chute du roi des arènes, Balla Gaye 2, la publication des Mémoires du président Abdou Diouf, l’ouverture du procès de Karim Wade…2014 a été riche en événements. Seneweb a sélectionné pour vous les 14 articles qui vous ont le plus marqué au cours de cette année.
Fallou Dieng est devenu beau-père. Hier, dimanche, l’artiste-compositeur, auteur de « Momé vent » donnait en mariage sa fille Codou Dieng. Le mannequin qui vit à Milan (Italie) a choisi pour le meilleur et pour le pire un dénommé Amadou Diaw.
Après plusieurs années d’absence, Fallou Dieng est à nouveau au-devant de la scène avec son nouvel album intitulé « Momé Vent ». Le « chef d’état-major général des ambianceurs », croit dur comme fer que, sa longue absence ne portera pas un coup à sa carrière musicale. Fallou est conscient de l’immensité de son talent et assure qu’il n’a plus rien à prouver. Dans une interview accordée à Dakarmusique.com, le lead vocal du DLC regrettent que les artistes les plus talentueux ne sont toujours pas les plus médiatisés.
''Momé vent'', vous avez du en entendre parler. C'est le titre du nouvel album de Fallou Dieng qui est en promotion sur les radios et chaînes de télévision. Il a été présenté à la presse la semaine dernière. Une occasion saisie par EnQuête pour revenir avec l'artiste sur la situation de la musique sénégalaise, sa longue absence, son projet d'album folk avec Madou Diabaté et bien évidemment de ''Momé vent''.
Le président Wade continue ses périples à travers le pays et partout où il passe, ce sont des milliers de personnes qui accompagnent son cortège.
Nouveau Clip Fallou Dieng - MOME VENT
Un enfant de 18 mois a été tué par la foudre lors de la première pluie qui a pratiquement arrosé la quasi-totalité de la région de Kaolack. Le drame a eu lieu à Keur Socé (Keur Madiabel).
Eumeu Sène n’a pas encore dit son dernier mot. Fraîchement auréolé de son succès devant balla Gaye 2 le poulain de Tyson est convaincu que son heure a sonné pour jouer les grands rôles au sein de l’arène. Au cours de cet entretien exclusif Eumeu Sène revient sur ses rapports avec Tyson, ses ambitions, le rôle joué par sa mère dans sa carrière…Bref, voici le tombeur du «Lion de Guédiawaye» tel que vous ne l’avez jamais connu. Après avoir terrassé Balla Gaye 2 vous avez couru en direction de Tyson avant de fondre en larmes dans ses bras. Qu’est ce que Tyson représente pour vous ? Tyson et moi sommes très liés. C’est mon grand frère. Depuis cinq ans je vis chez lui. Il s’est beaucoup investi dans le combat sur le plan financier, moral, physique.
Avec plus de 20 ans de carrière, il a contribué à l’éclosion de la lutte avec frappe dans un contexte où les sponsors n’existaient pratiquement pas. Gaston Mbengue, premier promoteur de l’arène, connu par «son arrogance et sa suffisance», a passé par toutes les voies de la vie pour bien implanter son entreprise. Oui ! Il a eu à forcer le cours de son destin. Il a eu à repousser ses limites. Bien sûr ! Il a, également, bichonné sa structure de production. Sa vie tout simplement pour en arriver là. Aujourd’hui, il est convaincu que rien ne pourra dissoudre son œuvre. Même pas l’usure du temps.
Rue de la joie nancéenne, il est encore l’un des derniers à décamper. Ses mots pétillent comme des bulles. Son phrasé se déhanche au rythme endiablé d’un bonheur béat. Pape Malickou Diakhaté ne parle pourtant pas. Il rugit simplement d’un bonheur simple et enfantin : «Je suis entré dans l’histoire !» C’était samedi au Stade de France. Un jeune Lion, survolté et crinière fière, fait le tour du terrain avec le drapeau vert-jaune-rouge du Sénégal au vent. Tout un symbole. La Coupe de la Ligue en poche, le défenseur sénégalais de l’As Nancy-Lorraine visite les étoiles. Hier encore, quarante-huit heures après un succès homérique face à un Nice tétanisé, Pape Malickou Diakhaté est toujours en lévitation.
