💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Formulant leur décision de ne pas participer à la séance plénière consacrée aux questions d'actualité de ce jeudi 29 mars, le groupe parlementaire Liberté et Démocratie et les députés non-inscrits ont récusé le format.
Ousmane Sonko a réitéré ses propos portant sur les 10 millions FCFA alloués aux députés. Ce, suite au démenti de l’Assemblée national assurant qu’il n’a jamais été question de donner cette indemnité aux parlementaires. « Je confirme que cette question ainsi que celle des terrains des députés ont été bel et bien abordées en conférence des présidents », déclare Sonko cité par L’As.
Le Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (Saes) et le Syndicat unitaire et démocratique des enseignants du Sénégal(Sudes), section Enseignement supérieur et de la Recherche (Sudes/Esr) ont apprécié la visite de chantiers de leur ministre de tutelle dans le cadre de l’élargissement de la carte universitaire.
Revoilà Me El Hadji Diouf. Invité de l’émission sortie sur Walf, le célèbre député a parlé du fonctionnement de l’assemblée nationale évoquant surtout l’adoption du nouveau règlement intérieur, et à cet effet s’en est pris à Moustapha Niasse comme à son habitude. Selon Me Diouf si le parlement fonctionne aussi mal c’est à cause de son Président.
Moustapha Cissé Lô a fait sortir les alliés de Macky Sall de leurs gonds. Abdoulaye Wilane du Parti socialiste soutient que «Moustapha Cissé Lô est un personnage politique pittoresque qui parle à tout bout de champ et ses déclarations n’engagent que sa personne». Il est, ajoute-t-il dans l’Obs, infiniment insignifiant pour que le Parti socialiste (Ps) réagisse à ses propos.Par rapport à la formalisation de sa requête auprès du Président Macky Sall, fait-il remarquer, cela laisse à réfléchir sur le sens et la signification de sa déclaration (il avait demandé aux alliés d’imiter Moustapha Niasse ou de quitter le gouvernement : Ndlr), mais aussi le destinataire de son message.
Débat - Le Point Reçoit Moustapha Niasse, Président de l'Assemblée Nationale
Les membres du Bureau Politique de l’Alliance des Forces d progrès (AFP) de Moustapha Niasse se sont penchés sur l’évolution de notre pays. Les échanges sont campés sur les enjeux de l’heure, en tenant compte des données internes et du contexte international. Mais les camarades de Moustapha Niasse imputent la responsabilité de la situation économique, financière, sociale et culturelle désastreuse au défunt régime du Pds.
Les sujets politiques, parfois connectés à des ‘’affaires’’, semblent les plus en vue dans la livraison de ce lundi de la presse quotidienne, avec en prime des informations faisant étant d’une ‘’cassure’’, à Thiès, entre le parti Rewmi de l’ancien Premier ministre Idrissa Seck et l’Alliance pour la République (APR), la formation du chef de l’Etat, Macky Sall.
Hier, lors d’un point de presse de la Coalition alternative 20007, Massène Niang porte-parole du jour a passé en revue à ce qu’il qualifie de «bizarreries du régime actuel». Entre autres points saillants qui prouvent l’échec de la politique de Me Wade, M. Niang souligne la perte de valeurs, l’opacité qui entoure l’Anoci, le problème de la Pointe de Sangomar, le dossier judiciaire du naufrage du «Joola», les 100 milliards de Sudatel, les centrales nucléaires de Wade et la Goana. Pour ce qui est de celle-ci, il dira que «fêter un projet qui n’existe pas n’est qu’une escroquerie de grande taille et une démagogie».
Réunie en assemblée générale le week-end dernier à Kaolack, la Coalition « And Siggil Senegal » prépare un autre plan d’actions plus active pour bouter Wade et son régime en dehors du territoire Sénégalais. Ce plan, selon les responsables et leaders fortement mobilisés lors de cette rencontre, reposera essentiellement sur la multiplication des actions dans la rue, mais aussi sur de larges campagnes de sensibilisation en direction des populations afin de permettre aux Sénégalais de se persuader des dangers qui peuvent éventuellement découler de la politique menée par le régime libéral à tous les niveaux de la vie économique et sociale de notre nation.
A la lumière de la sortie musclée de Wade contre ses opposants avant-hier, l’affaire des passeports diplomatiques sénégalais vendus à des Chinois refait surface. Pendant la campagne électorale pour l’élection présidentielle du 25 février, la rédaction de l’Observateur avait pu se procurer un certain nombre de documents confidentiels qui donnent un éclairage sur l’affaire. Classé «confidentiel», comme en attestent toutes les correspondances envoyées à partir où à destination du cabinet du ministre des Affaires étrangères d’alors, Moustapha Niasse, le dossier de la gestion des passeports de service sénégalais attribués à des Chinois est tombé dans l’espace public le 13 février 1997.
Pendant que son parti l’Alliance de forces du progrès (Afp) fait face au Sénégal à une dissension de la part d’une partie de ses cadres, Moustapha Niasse est en tournée politique à New York pour y rencontrer ses partisans et le Sénégal d’Amérique de manière générale. C’est au cours d’un meeting organisé à Harlem que le leader de l’Afp a déclaré que pour rien monde, il ne soutiendrait le candidat Abdopulaye Wade au second tour de l’élection présidentielle de 2007. « Bilahi Walahi, Wa Talahi, Abdoulaye Wade le sait, plus que vous, même au 18ème tour je ne le soutiendrais pas.
