Plus de 11 milliards d'euros appartenant à la Libye ont disparu de la banque "Euroclear" où ils étaient placés. Ces fonds avaient été gelés sur ordre des Nations Unies en 2011, après la chute du président Muammar Kadhafi.
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Plus de 11 milliards d'euros appartenant à la Libye ont disparu de la banque "Euroclear" où ils étaient placés. Ces fonds avaient été gelés sur ordre des Nations Unies en 2011, après la chute du président Muammar Kadhafi.
Le président démissionnaire du Zimbabwe Robert Mugabe avait été menacé qu'il pourrait être lynché comme le défunt guide libyen Muammar Kadhafi s'il refusait de quitter le pouvoir. Son ancien porte-parole, George Charamba, a fait cette déclaration au journal privé Daily Newspaper.
Ancien ministre du Pétrole de Kadhafi, Choukri Ghanem, mort noyé à Vienne en avril 2012, était l'un des gardiens des secrets du régime libyen. Le Point Afrique a retrouvé quelques-uns de ses placements financiers.
Fin novembre, à Dakar, l'ancien président sénégalais Abdou Diouf cédera le sceptre de secrétaire général de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF), au terme de son troisième mandat. Il porte sur les tourments du monde le regard du sage.
Sa parole est rare. Et quand il la prend, ce n’est pas pour faire dans le populisme, ni dans la démagogie. A un peu plus d’un mois de son départ de la vie publique, le Secrétaire général de l’Organisation international de la Francophonie, Abdou Diouf, qui cède son fauteuil fin novembre à Dakar, dans un entretien à L’Express, a livré le fond de sa pensée sur toutes les questions brûlantes de l’actualité africaine et internationale. Certes avec les sages mots qui le caractérisent, mais non sans cracher, sur certains points, ses quatre vérités, avec des mots forts et des piques qui trahissent sa légendaire réserve.
‘L’éliminer avant ou perdre le contrôle total de l’Afrique à partir de 2014’ voici toute la raison qui guida la France, les États-Unis, la Grande Bretagne et leurs alliés dans leur campagne contre Kadhafi.
Le président vénézuélien vient d'être emporté par son cancer. Retour sur la vie mouvementée d'un chef d'État devenu une légende pour son peuple.
Première vidéo de la capture de Seif al-Islam Kadhafi. Filmé par les « rebelles de Zenten », le fils de l’ex numéro un libyen est enturbanné et portant des lunettes de vue. Dans l’avion, qui le transporterait vers la ville de Zintan , il est entouré par plusieurs hommes, dont certains sont filmés avec armes à la main. Sur les images Seif al-Islam a trois doigts de la main droite bandés. L’agence Reuters précise que le "captif" aurait indiqué qu’il avait été blessé dans un raid aérien de l'Otan qui remonterait à "environ un mois". Selon plusieurs responsables du CNT libyen, il aurait été capturé à Obari, près de Sabha, dans le sud-ouest du pays.
L'universitaire Abdel Rahim al-Kib, originaire de Tripoli, a été élu lundi à la tête du gouvernement de transition libyen. L'universitaire Abdel Rahim al-Kib, originaire de Tripoli, a été élu lundi soir Premier ministre du gouvernement de transition en Libye par les membres du Conseil national de transition (CNT). Abdel Rahim al-Kib a été élu au premier tour parmi cinq candidats après avoir recueilli 26 voix sur 51 votants. Le vote a débuté aux alentours de 19 h 40, le président du CNT, Mustapha Abdel Jalil, étant le premier à déposer son bulletin dans l'urne. "Ce vote prouve que les Libyens sont capables de construire leur avenir", a lancé Mustapha Abdel Jalil après avoir voté.
Seïf al Islam Kadhafi, le bras droit de son père pendant la révolution -et le seul de ses enfants qui était encore en Libye-, serait désormais au Niger. Il compterait se cacher le temps de négocier sa reddition avec la Cour pénale internationale (CPI), contre certaines garanties.
Muammar Kadhafi, qui reposait à Misrata depuis sa mort, sera inhumé mardi dans un endroit du désert libyen qui restera secret, a annoncé, lundi soir, un responsable du Conseil national de transition (CNT).
Le fils de Muammar Kadhafi aurait pris des contacts pour tenter de rejoindre le Niger. Les combattants du CNT libyen encerclent actuellement une zone où l'un des fils de Muammar Kadhafi, Seif el-Islam, aurait trouvé refuge, rapporte dimanche un commandant du Conseil national de transition Abdel Majid Mlegta qui a indiqué à Reuters que des combattants se trouvaient au sud de la ville de Bani Walid, à 150 kilomètres au sud-est de Tripoli, où se cacherait l'ancien dauphin présumé de Muammar Kadhafi.
L’image du guide libyen au visage ensanglanté diffusée en boucle par les télévisions du monde a choqué plus d’un. Même s’il a été un dictateur féroce, le sort qui lui est réservé paraît injuste aux yeux de beaucoup.
Il ne reste plus qu'une ville aux mains des fidèles de Muammar Kadhafi. Mardi, Bani Walid, l'un des derniers bastions acquis à l'ex-Guide libyen, est tombé aux mains du nouveau pouvoir libyen, laissant Syrte, où les combats ont redoublé d'intensité, orpheline dans le pays. Pourtant, alors que la "libération totale" du pays promise par le nouveau régime - qui signifierait la fin du mandat de l'Otan - n'a jamais été aussi proche et que l'ex-dictateur libyen a disparu depuis la prise de sa résidence de Bab al-Aziziya, à Tripoli, le 23 août dernier, le numéro deux du Conseil national de transition (CNT) libyen a été l'auteur de révélations pour le moins surprenantes.
Trois mois après l'éclatement de la révolte en Libye, le procureur de la Cour pénale internationale Luis Moreno Ocampo a demandé lundi aux juges de délivrer des mandats d'arrêt pour crimes contre l'humanité contre le dirigeant libyen Muammar Kadhafi, son fils Seif el-Islam et le chef des renseignements libyens Abdallah el-Senoussi.
LIBYE | Même la forteresse a cédé sous l’assaut des rebelles et de l’OTAN. Mais le clan reste introuvable. «Nous avons franchi la première porte de l’enceinte du quartier général de Kadhafi. Ecoutez les explosions derrière moi! Cela fait quatre heures que cela dure.» Joint hier en milieu d’après-midi sur son téléphone satellitaire, Myzran, un résident de Tripoli, simple civil, s’est mêlé aux révolutionnaires, sans arme, précise-t-il, pour voir tomber ce qu’il reste du régime de Muammar Kadhafi.
La brigade chargée de la sécurité du dirigeant libyen se serait rendue.
Le fils du Guide libyen Muammar Kadhafi, Saïf Al Islam Kadhafi, a porté de graves accusations contre Abdoulaye Wade et son fils Karim, les accusant notamment d’avoir reçu 20 millions d'euros (12 milliards de francs CFA) du Qatar. Interrogé sur l’activisme du président Wade, parti rendre visite aux rebelles du CNT à Benghazi, Kadhafi fils a déclaré que « la France a ses valets en Afrique. Ils ne vénèrent pas Dieu, ils vénèrent l'Elysée. Certains ont leurs raisons. Abdoulaye Wade (le président sénégalais) a reçu 20 millions d'euros pour son fils (Karim, son possible successeur). C'est le Qatar qui a payé, nos espions nous disent tout. Mais nous avons de nombreux amis sur le continent ».
La nouvelle a été bien accueillie par les dirigeants de l'opposition libyenne, rapporte le quotidien émirati. Le 16 mai, Luis Moreno-Ocampo, procureur de la Cour pénale internationale (CPI), a demandé aux juges de délivrer des mandats d'arrêt contre Muammar Kadhafi, son fils Seif Al-Islam et Abdallah Al-Senoussi, chef des renseignements à Tripoli. Trois mois après le début de l'insurrection libyenne, Moreno-Ocampo affirme avoir la preuve que les trois hommes se sont rendus coupables de crimes contre l'humanité.
Le dirigeant libyen n'est plus apparu en public depuis le 30 avril et l'Otan reconnaît avoir perdu sa trace.