Détenue dans une prison mauritanienne, une Guinéenne interpelle le général Doumbouya : « Nous souffrons ici… venez nous chercher »
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Détenue dans une prison mauritanienne, une Guinéenne interpelle le général Doumbouya : « Nous souffrons ici… venez nous chercher »
Face aux renforcements des contrôles côtiers au Maroc, au Sénégal et en Mauritanie, de nombreux migrants prennent désormais la mer depuis la Gambie pour tenter de rallier les Canaries espagnoles
Au moins 40 morts et 80 disparus après un naufrage au large de la Mauritanie
Une embarcation de migrants partie de Tunisie pour Lampedusa a sombré en mer Méditerranée, causant la mort d’une quarantaine de personnes. Selon les survivants, une bagarre entre Camerounais et Ivoiriens aurait dégénéré, provoquant le naufrage.
Les régates de Saint-Louis, édition 2025, se sont tenues ce dimanche, dans le grand bras du fleuve Sénégal.
Le tribunal a rendu son verdict, ce lundi, dans l'affaire du naufrage tragique survenu au large des côtes de Mbour.
L'axe fluviale Bambali/ Diattacounda présente des risques énormes à cause de la vétusté des embarcations. Sur tout le long de ce trajet de 9 kilomètres, les occupants de la pirogue sont obligés d'évacuer la masse d'eau qui entre par dessous avec des seaux et des carafes.
Le bilan s’est alourdi dans le chavirement d’une pirogue dans les eaux du fleuve Sénégal, à Verma, dans la commune de Dembancané du département de Kanel, région de Matam.
Drame en Méditerranée : une bagarre entre Camerounais et Ivoiriens dans une pirogue fait quarante morts
Journaliste sénégalaise spécialisée dans les migrations et résidant aux Canaries, Marie Louise Ndiaye a quitté son travail pour se consacrer à la sensibilisation des Sénégalais aux dangers de la migration irrégulière.
C’est la presse mauritanienne qui a donné l’information. Les corps de neuf migrants clandestins ont été repêchés, hier mardi, au large de Nouadhibou, dans le nord de la Mauritanie, à la suite du naufrage de leur embarcation, ont indiqué les autorités locales.
C’est l'Ong Caminando Fronteras qui a donné l’information. Sur les les réseaux sociaux, l’organisation a dénoncé la mort de 50 personnes qui se trouvaient à bord d'un cayuco qui se dirigeait vers les îles Canaries. Selon le porte-parole de l'association, la plupart des victimes - 44 - étaient d'origine pakistanaise et se sont noyées après 13 jours d'une « traversée angoissante sans sauvetage ».
La Marine sénégalaise a intercepté lundi 119 migrants clandestins à bord d'une pirogue sur la route maritime de l'Europe, a-t-elle indiqué mardi sur les réseaux sociaux, une opération qui porte à près d'un millier le nombre de migrants interceptés en mer en un mois.
La Marine sénégalaise a porté secours mardi au large des côtes nationales à 183 migrants irréguliers à bord d’une pirogue sur la route maritime de l’Europe, indique-t-elle sur les réseaux sociaux.
La pirogue avait coulé dans la nuit du 27 au 28 novembre 2024. C’était à Hierro...
La mer est toute proche, mais dans la petite ville côtière de Kayar au Sénégal, une partie de la production de poissons provient d'une ferme piscicole implantée dans les terres.
L'émigration clandestine vers l'Europe, devenue virale ces dernières semaines, s'est inventée à la commémoration du 22e anniversaire du naufrage du "Joola".
C’est un drame sans fin ! Alors que le Sénégal peine à se remettre de la tragédie de Mbour où 39 candidats à l’emigration clandestine (des mbourois pour la plupart) ont péri dans le naufrage d’une pirogue surchargée en partance pour les îles canaries il y a une quinzaine de jours, une autre catastrophe vient de frapper. Cette fois-ci c’est à Dakar, à 70 kilomètres au large des côtes qu’une embarcation à la dérive a été découverte, ce dimanche 22 septembre, avec à son bord 30 corps sans vie.
Le dimanche 8 septembre 2024 restera gravé dans la mémoire du Sénégal comme un jour de deuil national.
C'est une foule compacte qui a arpenté, vendredi dernier, les artéres de la ville de Mbour pour dire stop au phénomène de l'émigration irrégulière