Cette semaine, il ne fallait pas manquer ces informations.
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Cette semaine, il ne fallait pas manquer ces informations.
Chanteur, compositeur, multi-instrumentaliste, Nicolas Menheim a disparu de la scène musicale depuis 2003.
Une grande voix de la salsa africaine s'est éteinte ce samedi matin 10 février 2018, des suites d'une longue maladie.
Le groupe mythique de la musique afro-cubaine, Africando, mettra sur les bacs, entre mars et avril 2013, un nouvel album qui réserve aux mélomanes de ‘’belles surprises’’, a annoncé à l’Agence de presse sénégalaise le Malien Boncana Maïga, arrangeur et membre fondateur du groupe depuis 1993.
Il est l’un des plus grands Salseros du pays, mais depuis 8 ans, sa carrière est en veilleuse. Lui, c’est Nicolas Menheim. L’homme à la voix, qui a fait vibrer des milliers de personnes, était aphone, mais aujourd’hui il parvient à émettre des sons . Il ne chante plus, car sa voix est atteinte d’une maladie. Un mal dont il ne sait pas l’origine car les médecins ont tout fait, mais n’arrivent pas à le guérir. Et Nicolas n’exclut pas que ce soit un maraboutage. Sur sa maladie, sa carrière musicale, ses projets, mais aussi ses débuts, Nicolas Menheim se confie.
Nous l’avons connu presqu’en même temps que nous avons découvert la voix mélodieuse de celui qui nous l’a fait connaître, Youssou N’dour. C’était au début d’une expérience extraordinaire, l’Etoile de Dakar, avec Nicolas Menheim et El Hadj Faye, qui entouraient la voix du jeune Youssou N’dour. « Wëyle leen Nicolas baahna Daouda Gassama », chantait le jeune prodige de sa belle voix. Daouda Gassama est mort dimanche là-même où l’avait connu Youssou N’dour, à la Médina.
Dakar, 27 déc (APS) - La ville de Dakar organise à partir du 30 décembre une série de manifestations artistiques, culturelles et sportives dénommées ‘’Ribidion’’, en partenariat avec des structures privées, a annoncé dimanche à l’APS, le directeur de l’Education et de la Culture. Un communiqué transmis dimanche à l’APS indique que l’objectif du ‘’Ribidion’’ (déformation de ’’réveillon’’) est de ‘’décorer et d’animer la Ville mais également de communiquer avec les populations’’. La même source annonce que le directeur de l’Education et de la Culture de la ville de Dakar animera une conférence de presse, lundi à partir de 10 heures à l’Hôtel de ville.
(COLOGNE, CORRESPONDANCE PARTICULIERE). Dans cette dernière partie de l’entretien, les membres de l’Orchestra Baobab en tournée de promotion de leur nouvel album, « Made In Dakar » évoquent, entre autres, leur aura du début et le souvenir de leurs camarades disparus… Comment expliquez-vous le fait que vous soyez peu connu à l’époque ? Barthélemy Attisso : J’ai tendance à reprocher aux journalistes de chez nous (de l’époque) de ne pas avoir aidé le Baobab comme il le méritait. A l’époque, nous avions des orchestres qui évoluaient sur le même plan que nous...