L’Union africaine (UA) a fermement condamné l’attaque menée dans la nuit du 8 au 9 septembre par les rebelles ADF contre le village de Ntoyo, dans le Nord-Kivu (RDC), qui a fait au moins 71 morts parmi les civils.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
L’Union africaine (UA) a fermement condamné l’attaque menée dans la nuit du 8 au 9 septembre par les rebelles ADF contre le village de Ntoyo, dans le Nord-Kivu (RDC), qui a fait au moins 71 morts parmi les civils.
Au moins 71 personnes ont été tuées dans la nuit de lundi à mardi dans une attaque des rebelles ADF, dans l'est de la RDC, où ce groupe armé a massacré plus d'une centaine de civils depuis fin juillet, selon des sources locales et sécuritaires.
RDC: violents combats entre l'armée et le M23 dans l'est
Le Rwanda annonce la rupture de ses relations diplomatiques avec la Belgique
Après Goma fin janvier, la capitale du Sud-Kivu est la deuxième grande ville de l’est de la République démocratique du Congo à tomber entre les mains des rebelles et de leurs alliés rwandais.
Le Burundi retire des troupes de l'Est de la RDC face à l'avancée du M23
L'attaque d'une église catholique dans le nord-est de la République démocratique du Congo par les rebelles ADF, un groupe armé affilié au groupe Etat islamique, a fait au moins 43 morts, selon un nouveau bilan de l'ONU publié dans la nuit de dimanche à lundi.
Le procès pour "crime contre la paix" de l'ex-président de la République démocratique du Congo (RDC) Joseph Kabila, accusé de complicité avec le groupe armé M23 soutenu par le Rwanda, s'est ouvert vendredi à Kinshasa en son absence, a constaté une journaliste de l'AFP.
Détendu et souriant, l'ex-président de la République Démocratique du Congo (RDC) Joseph Kabila est apparu jeudi devant la presse à Goma, mettant un terme aux spéculations sur sa présence dans la grande ville de l'est du pays contrôlée par le M23.
Pour sa première prise de parole depuis 2019, l’ancien président congolais dénonce une instrumentalisation de la justice et...
La suspension des activités du parti de l'ex-président Joseph Kabila, accusé par le gouvernement de garder un "silence complice" face au groupe armé M23 soutenu par le Rwanda dans l'est de la République démocratique du Congo, est jugée "arbitraire" par cette formation politique d'opposition.
Au moins 143 personnes sont mortes et des dizaines d'autres portées disparues après un incendie survenu en début de semaine dans une embarcation sur le fleuve Congo
Des perquisitions ont été menées dans deux propriétés de l'ex-président congolais Joseph Kabila, qui a récemment annoncé son retour dans l'est du pays, en partie contrôlé par le M23, a-t-on appris jeudi auprès d'un porte-parole de la famille.
L'Office rwandais de la gouvernance (RGB) a interdit aux organisations opérant sur son sol toute coopération avec le "gouvernement belge et ses entités affiliées", "conformément" à la rupture diplomatique entre les deux pays actée plus tôt ce mois-ci.
Le Rwanda a annoncé lundi la rupture de ses relations diplomatiques avec la Belgique, accusant l'ex-puissance coloniale d'avoir "pris parti" pour Kinshasa "bien avant et pendant le conflit en cours en République Démocratique du Congo (RDC).
Les autorités congolaises espèrent conclure un accord avec l’administration Trump sur les ressources minières du pays, comptant sur le soutien américain dans leur lutte contre les rebelles du M23 et les forces rwandaises qui mènent une offensive dans l’est de la RD Congo. Des discussions préparatoires ont débuté, selon Kinshasa et Washington, bien que les contours du projet demeurent très flous.
L'ONU s'est dite "gravement préoccupée" pour le bien-être et la sécurité "d'au moins" 130 malades et blessés qui viennent d'être enlevés par des combattants du M23 de deux hôpitaux de Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), dans un communiqué diffusé lundi à Genève.
Deux explosions lors d'un meeting du M23 jeudi à Bukavu, grande ville de l'est de la RDC récemment tombée sous le contrôle du groupe armé, ont fait au moins 11 morts et une soixantaine de blessés, le président Félix Tshisekedi condamnant un "acte terroriste odieux".
Les pays d'Afrique australe et de l'Est ont nommé trois anciens dirigeants du Kenya, de l'Ethiopie et du Nigeria pour être les "facilitateurs" d'un "processus de paix" en RDC, où le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) est arrivé dans la nuit de lundi à mardi.
Le ministère britannique des Affaires étrangères a annoncé mardi la suspension de la majorité de ses aides financières au Rwanda, dont les troupes participent à l'avancée du mouvement M23 dans l'est de la République démocratique du Congo.