Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Guinée : L'appel de Alpha Condé à ses compatriotes
Le président de la Commission de l’Union africaine, Mahmoud Ali Youssouf, a rencontré le 27 mai 2025 à Addis-Abeba les ambassadeurs du Burkina Faso, du Mali et du Niger
« 2025 sera une année électorale cruciale pour parachever le retour à l’ordre constitutionnel ».
Au Mali, plusieurs partis politiques ont appelé, mercredi, à un retour rapide à l’ordre constitutionnel. Ils déplorent l'absence, dans le discours de fin d’année du président Assimi Goïta, de toute mention d’élections, en particulier celles marquant la fin de la transition, en cours depuis près de cinq ans.
Lors de la traditionnelle présentation de vœux du Nouvel An aux médias, tenue le 15 janvier 2025 à la Maison de la presse de Bamako, le président du Congrès national d’initiative démocratique (CNID-Faso Yiriwa Ton), Me Mountaga Cheick Tall, a prononcé un discours marqué par un appel fort à l’organisation des consultations électorales en 2025.
Après le changement de gouvernement au Mali, la junte montre des signes encourageants quant à la tenue des élections dans le pays. Hier mardi 03 décembre, le nouveau Premier ministre Abdoulaye Maiga a profité d’une descente au siège de l’Autorité indépendante de gestion des élections (Aige) pour réitérer l'attachement d'Assimi Goïta au retour à l’ordre constitutionnel.
Dans le contexte actuel du Mali, marqué par une crise sécuritaire, des tensions politiques internes et une instabilité économique, l’analyse des actions du gouvernement de transition et des perspectives pour l’avenir du pays revêt une importance cruciale.
Crise économique de 2008, crise sécuritaire, covid-19, crise politique dans l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (changement dans l’ordre constitutionnel dans certains pays), crise russo-ukrainienne, crise israélo-palestinienne.
Dans la lutte pour un retour à l'ordre constitutionnel, les enseignants ne seront pas en reste.
La Cedeao a fermement condamné les violences de vendredi "et toutes les tentatives visant à perturber l'ordre constitutionnel" en Guinée-Bissau...
"Nous ne resterons pas les bras croisés" en cas d'intervention militaire au Niger pour rétablir l'ordre constitutionnel après le coup d'Etat, a prévenu samedi le ministre malien des Affaires étrangères qu'Abdoulaye Diop à la tribune de l'ONU.
L'ancien président du Niger Mahamadou Issoufou a estimé qu'une intervention militaire extérieure contre son pays pour rétablir l'ordre constitutionnel serait une "faute"...
Fin août 2023, le Tchad avait fermement condamné le coup d’Etat intervenu au Gabon . N’Djaména appelait ensuite à un retour rapide à l’ordre constitutionnel.
Au Niger, le chef de la junte, Abdourahamane Tiani, a annoncé dans la soirée du samedi 19 août une transition de trois ans avant le retour à l’ordre constitutionnel.
Au Niger, c’est toujours le statu quo. La junte au pouvoir a jusqu’ici ignoré les appels à rétablir l’ordre constitutionnel de la Cedeao.
Au Niger, le président déchu Mohamed Bazoum n’est toujours pas libre de ses mouvements. Les chefs d’Etat de la Cedeao se sont réunis hier jeudi 10 août à Abuja pour discuter de la situation dans ce pays sahélien. Ils ont ordonné le " déploiement de la Force en attente" de l'organisation sous-régionale pour rétablir de l’ordre constitutionnel à Niamey.
La CEDEAO a annoncé le déploiement d'une "force de réserve" au Niger dans le but de rétablir la démocratie après le coup d'État,
Le bloc ouest-africain donne la priorité à la diplomatie pour résoudre la crise au Niger, tout en maintenant sa menace d'intervention militaire pour y "rétablir l'ordre constitutionnel", mercredi à la veille d'un sommet régional.
Le régime militaire issu d'un coup d'Etat au Niger semblait mardi insensible aux offres de négociations venues d'Afrique de l'Ouest et des Etats-Unis en vue d'éviter l'éventualité d'une intervention militaire pour rétablir l'ordre constitutionnel.
Aucun déploiement de troupe n'était observé lundi matin au Niger, où le calme régnait dans la capitale, au lendemain de l'expiration d'un ultimatum ouest-africain exigeant le retour à l'ordre constitutionnel après un coup d'Etat, sous peine d'usage de "la force".