Il est poursuivi pour trahison grave et entrave à la sécurité des combattants.
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Il est poursuivi pour trahison grave et entrave à la sécurité des combattants.
La dépouille de l'ex-chef rebelle du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc), Ousmane Niantang Diatta, décédé dans la nuit du jeudi 12 au 13 septembre 2019, à Nioro du Rip, a été confisquée par les autorités sénégalaises pour des raisons évidentes de sécurité.
Ousmane Niantang Diatta, l'ancien chef rebelle, n'est plus.
Ousmane Niantang Diatta, ex-chef du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc), est devenu militant de la paix.
Le livre du colonel Abdoulaye Aziz Ndao, ancien commandant en second de la gendarmerie, qui dénonce certaines pratiques dans ce corps de sécurité, continue d'alimenter la chronique de la presse quotidienne.Le journal Enquête, qui cite des sources de l’ambassade du Sénégal à Rome (Italie), indique que l’auteur du brûlot "Pour l’honneur de la gendarmerie sénégalaise" a "été prié de rentrer au bercail".
On en sait un plus sur les 14 éléments du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance(Mfdc) qui avaient déserté le maquis.
Video. Paix En Casamance,Voici Le Message Intégral Du Chef Des Rebelles Ousmane Niantang Diatta
Les bandes armées ont encore sévi au sud du pays. Elles ont attaqué dans la nuit lundi à mardi la localité de Djibanar situé à 8 km du département de Goudomp dans la région de Sédhiou. Ces éléments lourdement armés ont pris d’assaut des boutiques des maisons. Ils ont pris tout ce qui pouvait l’être sous les yeux impuissants des populations. Après leur forfait, ces bandits armés soupçonnés proches du Chef rebelle Ousmane Niantang Diatta ont pris la fuite en se dirigeant du côté de la Guinée Bissau. Des jeunes ont même été pris en otage avant qu’ils ne soient libérés plus tard. Les militaires en cantonnement à Simbandi Balante et Goudomp alertés, sont arrivés sur les lieux tôt le matin. C’était trop tard…Il faut signaler que la même localité a été la cible au mois de mai 2011, d’une attaque similaire au cours de laquelle un jeune du nom de Bamba Dramé a trouvé la mort.
Le village de Manécounda dans le département de Goudomp (région de Sédhiou) a subi une attaque rebelle la nuit du vendredi au samedi a appris le correspondant de seneweb news auprès de certains habitants de la communauté rurale de Simbandi Balante qui précisent que plusieurs millions et des biens matériels ont été emportés par les assaillants qui ont dévalisé la boutique du village.
"C’est là un évènement heureux, qui incite, à ce titre, à la joie, sinon à la jubilation, voire à la jouissance sans modération, même si le bonheur, pour les désormais ex-détenus, de retrouver les leurs, sains et saufs, se confond ici avec quelque sentiment de culpabilité collective de la part de l’ensemble de la communauté nationale", s'est exprimé le Président du Mouvement pour le Fédéralisme et la Démocratie Constitutionnels (MFDC) aprés la libération hier, dimanche 9 décembre 2012, des militaires et gendarmes, enlevés puis détenus depuis plus d’un an par le chef de la branche nord d’ATIKA, Salif Sadio.
Selon la radio Zik Fm, les 2 factions rebelles dirigées par Cesar Atoute Badiate et Ousmane Niantang Diatta se disent favorables à des négociations pour le retour de la paix en Casamance, la région sud du pays en proie à une rébellion de près de trois (3) décennies.
Innocence Ntab Ndiaye, ancienne ministre d’Etat, invite le gouvernement à "conserver une administration totale et non spéciale" pour le renforcement de la paix en Casamance, soulignant que les populations n'ont pas boudé les institutions nationales.
Après être allée à la rencontre de Salif Sadio et César Atoute Badiate, RFI termine son tour des trois principaux groupes du MFDC, le Mouvement des Forces Démocratiques de Casamance, avec celui d’Ousmane Niantang Diatta. Il semble plutôt favorable à la proposition de Macky Sall de lancer des négociations quand aux revendications indépendantistes du MFDC.
Au sortir du Conseil des ministres tenu hier à Ziguinchor, le président Macky Sall a fait état d'un communiqué que lui aurait fait parvenir le front Nord du maquis casamançais, dirigé par Salif Sadio, dans lequel les combattants du Mouvement des Forces démocratiques de Casamance (Mfdc) assurent être prêts à " entamer des discussions franches sous certaines conditions " avec le gouvernement sénégalais. " Nous allons examiner ces conditions, pour voir comment, ensemble, nous pourrons faire avancer le processus de paix ", a dit le chef de l'Etat, en réponse à la requête du chef du mouvement irrédentiste. Macky Sall de confier que l'Etat sénégalais est " dans la même dynamique de discussion " avec les camps de César Atoub Badiate et Ousmane Niantang Diatta ", les autres chefs rebelles du maquis casamançais. " Nous sommes conscients que le retour de la paix passe inéluctablement par des discussions franches ", a assuré le chef de l'Etat.
Le président de la République, Macky Sall, a réaffirmé mercredi l'engagement de l'Etat du Sénégal à négocier avec les différentes factions du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC, rébellion).
Le 31 décembre 2011, le Président de la république a lu un message à la nation et…à la rébellion, une épine trentenaire dans le pied du pays. La démarche serait au-dessus de toute critique, si le chapitre consacré au Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc) ne contenait pas une imprudence stratégique dont les rédacteurs (mal avisés) du discours, n’ont pas su déceler la portée foncièrement funeste.
Chérif Dramane Bertrand Bassène ? On peut compter sur les doigts d’une main, les rares décideurs, journalistes et spécialistes de l’endémique crise casamançaise, qui le connaissent. Historien, en exil ou en séjour en France, il fait partie de la crème universitaire du Mouvement des Forces démocratiques de Casamance (Mfdc) très en retrait des projecteurs de l’actualité réverbérante, (...)
Des insurgés très divisés, mais qui attirent toujours plus de jeunes, et un pouvoir réticent à négocier… Aucun des deux camps ne semble aujourd’hui en mesure de l’emporter dans ce conflit qui, depuis trois décennies, épuise le sud du Sénégal.
A Paris, où il vit en exil depuis vingt ans, le secrétaire général autoproclamé du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) soutient toujours la voie de l’indépendance et rend Dakar responsable des divisions au sein de la rébellion. Interview.
Des éléments supposés appartenir au Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC) se sont attaqués jeudi matin au cantonnement militaire de la commune de Goudomp, dans la région de Sédhiou (sud), a appris le correspondant de l’APS.