Le ministère de l'Économie et des Finances du Burkina Faso informe que les parcelles non mises en valeur sur les sites de la SONATUR à Ouaga 2000, après un délai légal de cinq ans, seront retirées à partir du 1er mai 2025.
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Le ministère de l'Économie et des Finances du Burkina Faso informe que les parcelles non mises en valeur sur les sites de la SONATUR à Ouaga 2000, après un délai légal de cinq ans, seront retirées à partir du 1er mai 2025.
Le ministère de l'Économie et des Finances du Burkina Faso informe que les parcelles non mises en valeur sur les sites de la SONATUR à Ouaga 2000, après un délai légal de cinq ans, seront retirées à partir du 1er mai 2025.
Tenaillé entre les compétences dévolues à la ville de Dakar et celles retirées par l’Acte III de la décentralisation, Khalifa Sall se bat contre les autorités étatiques pour réaliser ses projets. Aujourd’hui, M. Sall dispute la rénovation de la Place de l’indépendance au ministre Diène Farba Sarr. Auparavant, il y a eu le blocage de l’emprunt obligataire et la suppression de l’Entente Cadak-Car. Des exemples illustratifs d’une âpre bataille ouverte sur divers fronts au sommet de l’État contre les projets de Khalifa Sall. Seneweb passe à la loupe les différends.
« L’honorable » député-maire d’Arrondissement des Parcelles Assainies, Mbaye Ndiaye du Parti démocratique sénégalais (Pds), mandataire du candidat Wade, dépose aujourd’hui, recours auprès du Conseil constitutionnel. Epaulé par les avocats du porte drapeau de la coalition Sopi, Me Abdoulaye Wade qui sont, aux dires de Me El Hadji Amadou Sall, ministre porte-parole du président de la République, une bonne quarantaine, le député-mandataire du Sopi triomphant, ira réclamé auprès des cinq sages, les voix « indûment » retirées à son candidat. Selon Me Sall qui donne l’information, « il y a aucune raison qu’un seul suffrage valablement exprimé à l’endroit de notre candidat lui soit retiré. C’est pourquoi, nous allons recours au Conseil constitutionnel pour que justice lui soit rendue ».
Dakar, 31 août (APS) - Au dernier jour fixé par le ministère de l'Intérieur pour l'inscription sur les listes électorales et l'obtention de la carte d'identité numérisée, des Sénégalais se bousculent encore pour obtenir les documents en question, ont constaté des reporters de l'APS après un tour effectué dans quelques commissions de la capitale. A la préfecture de Dakar, située en plein centre-ville, la devanture donne déjà au visiteur une idée de l'affluence qui règne à l'intérieur. Parmi la foule, il y a des travailleurs qui ont momentanément déserté leurs bureaux pour venir s'inscrire sur les listes, sachant que les opérations prennent impérativement fin jeudi. Dans la cour de la préfecture comme à l'intérieur des locaux où s'effectuent les opérations la même affluence est de mise.