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Pour parer à toute éventualité sur le chemin de la présidentielle, l'État du Sénégal s'est doté d'un impressionnant arsenal répressif, notamment des grenades lacrymogènes.
C’est un personnage haut en couleur que le tout-Dakar connaît. Youssef Saleh, 55 ans, a eu son heure de gloire avec l’ouverture du premier parc d’attraction et de loisir, Magic Land. Le président Abdoulaye Wade, le « Gorgui », était venu en personne inaugurer les manèges, bars et restaurants qui font face à la mer, en décembre 2004. Cette même année, il est décoré de la médaille d’honneur de la gendarmerie nationale. Puis cet homme d’affaires sénégalais d’origine libanaise a connu les déboires.
Après Tahibou Ndiaye, le second fonctionnaire de l’Etat dont le dossier risque de faire du bruit est Mamadou Diagne. De son pseudonyme, Doudou, il est dans la ligne de mire du Procureur spécial près la Crei.
Comparaissant devant le tribunal des flagrants délits aujourd'hui, Youssouf Saleh, le patron du Magic Land, et deux de ses employés, vont devoir prendre leur mal en patience. En effet, le procès a été renvoyé à la demande des conseils de Youssouf Saleh, dont Me Aïssata Tall Sall, qui estiment qu'un enquête plus approfondie doit être menée.
Vendredi 21 mai, vers 12 heures, le complexe Magic Land, doté d'une quarantaine de manèges, d'une salle de cirque, de salles de jeux, etc., a été le théâtre d'un incident dramatique qui a entraîné la mort de Silatigui Daouda Traoré, trois (3) ans, et causé deux blessés graves, Ibrahima Khalilou Diaby et Ibrahima Lamine Bâ, tous deux âgés de trois (3) ans.
Le patron du Magic Land Youssouf Saleh ainsi que deux de ses employés sont vraiment dans de beaux draps. Ils avaient été mis aux arrêts samedi dernier à la suite d'une violente chute de trois garçons, dont un âgé de trois ans : S. Traoré, du haut d'une nacelle de la route de Magic Land. Ce dernier avait été déclaré en état de mort cérébrale à la suite d'une chute à environ 10 mètres du sol.
Youssouf Saleh, propriétaire de Magic Land, est en garde à vue en même temps que d'autres responsables de la boîte, du fait de la chute, vendredi, d'une nacelle, alors que la roue était à 10 mètres du sol, d'un jeune garçon, S. Traoré, âgé de trois ans. Ce dernier s'est retrouvé à l'état de mort cérébrale.
Le patron du Magic Land est éclaboussé par une affaire d'attouchements sexuels. Une de ses employées, Seynabou Diallo, l'accuse d'avoir eu un comportement indécent à son endroit. Évidemment, Youssef Saleh nie avec véhémence ces accusations. Touché dans sa chair, il a décidé de porter l'affaire devant le tribunal, informe L'As. Le patron du Magic Land a promis de porter plainte contre elle pour chantage, poursuit le canard.
Le patron du Magic Land est éclaboussé par une affaire d'attouchements sexuels. Une de ses employées, Seynabou Diallo, l'accuse d'avoir eu un comportement indécent à son endroit. Évidemment, Youssef Saleh nie avec véhémence ces accusations. Touché dans sa chair, il a décidé de porter l'affaire devant le tribunal, informe L'As.
Les trois combats (contre Baboye, Eumeu Sène et Modou Lô) sans victoire n’ont pas tari le Lac. Contre le patron de l’écurie «Tay Shinguer», le 8 avril prochain au stade Demba Diop, Papis Cissé veut renouer avec le succès. Lac 2 qui a connu un coup d’arrêt après sa victoire sur Tapha Guèye souhaite se remettre dans le sens de la marche. A une semaine du combat, le challenger d’Eumeu Sène est «fin prêt !». Pressé d’en finir avec son adversaire du 8 avril, Lac 2 n’a «négligé aucun aspect de la préparation pour être au mieux de (sa) forme le jour-J.»
Ceux qui avaient fait le déplacement au Thiossane samedi dernier pour passer la soirée de Korité avec Mbaye Dièye Faye sont restés à la porte. La soirée a été annulée faute de matériel de sonorisation. Le percussionniste chanteur dénonce un nouveau coup fourré de la part de Jololi. Mbaye Dièye Faye n’est pas près d’oublier sa Korité 2007. Programmée en live au Thiossane avec son groupe le Rimbi Rimbi, sa soirée n’a pas pu se tenir, faute de matériel de sonorisation... ‘Quand je suis entré à Thiossane vers les coups de minuit, je n’ai trouvé que des tapis’, ironise le percussionniste, joint hier soir par téléphone. Il parle ouvertement de torpillage orchestré par Jololi, la boîte de production mise en place par Youssou Ndour, patron du Super Etoile.
