Andy Diouf (Inter Milan) fait un appel du pied à Pape Thiaw
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Andy Diouf (Inter Milan) fait un appel du pied à Pape Thiaw
Donald Trump a annoncé jeudi qu'il rencontrerait Vladimir Poutine à Budapest, capitale de la Hongrie, sans donner de date précise, après un échange téléphonique avec son homologue russe au cours duquel "de grands progrès ont été faits" selon lui.
Après la qualification du Sénégal pour la Coupe du monde 2026, le milieu de terrain de l’Inter Milan, Andy Diouf, serait-il prêt à reconsidérer sa position vis-à-vis de la sélection sénégalaise ?
Massacre du 28 septembre 2009 : Sékouba Konaté défie Dadis Camara devant la CPI
Les exportations sénégalaises baissent encore. En effet, après un recul de 514.6 milliards de francs CFA au mois de juin à 431.9 milliards en juillet, elles ont chuté à 404.7 milliards en août, soit un repli de 6,3%.
Expert financier, Mouhamadou Dia décortique ici la dernière notation de notre pays par Moody’s qui fait polémique.
[Billet d'humour] Biya, “le contineng” au cœur
Le Pakistan a promis dimanche "une réponse musclée" à l'opération de représailles menée par l'Afghanistan contre ses forces dans la nuit à leur frontière commune, qui aurait coûté la vie à "58 soldats pakistanais", selon Kaboul.
La menace de licenciements massifs dans les services fédéraux est brandie par Donald Trump depuis le début du blocage budgétaire dont la majorité républicaine et l’opposition démocrate se renvoient la faute
Maria Corina Machado, lauréate du Prix du Nobel de la Paix, visage et âme de l'opposition au Venezuela
Mondial 2026 : une chanson pour accompagner les Lions contre le Soudan du Sud et la Mauritanie
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Allié incontournable du Pastef, Habib Sy estime que le nouveau pouvoir laisse trop de liberté à l’ancien président de la République Macky Sall.
En Côte d’Ivoire, la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), a mis la main sur un présumé criminel mangeur de chair humaine. C’est ce que rapporte les médias du pays.
Lors d’un point de presse tenu à Keur Massar, ce jeudi 2 octobre, le collectif Aar sunu régime , en compagnie du mouvement Maggi Pastef, a dénoncé les injures faites à l’endroit des autorités du pays, appelant ainsi la justice à appliquer la loi et à poursuivre les auteurs de ces infractions.
Xalam, DJ, prison, walkman… : Souleymane Faye en dix folles histoires
Fuite en France : Madiambal Diagne raconte en détail
Au moins 19 personnes sont mortes près de Saint-Pétersbourg depuis le début du mois et, selon des analyses menées en laboratoire, le métahonel serait la cause du décès dans huit de ces cas.
Le premier ministre a reçu mercredi 24 septembre les syndicts qui lui demandent de revenir sur la reforme des retraites et l’âge de départ a 64 ans. Louis Sarkozy livre son point de vue sur cette question toujours épineuse: pour lui, c'est clair, nous sommes "immatures" par rapport à nos voisins.