Le gorgorlou sénégalais sous le fardeau fiscal
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Le gorgorlou sénégalais sous le fardeau fiscal
Prix Nobel de la Paix 2025 : voici les favoris selon les bookmakers
A Simandou, la Guinée s'apprête à exploiter son trésor de fer
Chaque nouvelle opération de déguerpissement est annoncée avec tambours et trompettes, comme une victoire éclatante de l’ordre public
Le budget de l’État peut sembler un texte austère, rempli de chiffres et de colonnes interminables, mais derrière ces pages se cache le pouls du pays
Trafic de drogue à Keur Mbaye Fall : Trois dealers, dont un Malien, arrêtés par la police
Les producteurs de mangues des régions de Ziguinchor et Sédhiou ont exprimé leur profonde déception face à l’échec de la campagne 2025
Pour ses concitoyens de Louga, Abdou Diouf est définitivement et depuis toujours « un brillant élève, un homme sérieux, un travailleur infatigable, un être serein...
Ah, le billet de 10 000 francs CFA, ce grand roi qui sort du distributeur, tout frais, tout pimpant, comme un prince sur son cheval blanc prêt à conquérir le marché.
Dans les ruelles animées de Dakar, alors que le soleil décline pour laisser place à la nuit, une scène réchauffe les cœurs. Des hommes et des femmes, jeunes et moins jeunes, s’activent pour offrir des "Ndogous" – ces repas de rupture du jeûne – aux passants.
Le ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté Alimentaire et de l’Élevage, Dr Mabouba Diagne, a donné le coup d’envoi de la tournée nationale de suivi de la campagne agricole 2025-2026 à Bondji, dans le département de Bakel.
L’édition 2025, lancée en février dernier, est organisée par Heifer International en partenariat avec le ministère de l’agriculture, de la souveraineté alimentaire et de l’élevage (MASAE).
Portée comme une réponse à l’exclusion bancaire, la microfinance occupe aujourd’hui une place centrale dans le paysage économique sénégalais.
Au foirail du quartier Bouna Kane, dans la commune de Kolda, les moutons sont disponibles en quantité suffisante à l’approche de la Tabaski.
À trois jours de la Tabaski, prévue le 7 juin 2025, le prix de la pomme de terre connaît une hausse vertigineuse dans les marchés du Djoloff, avec une augmentation de 200 FCFA par kilogramme.
Je suis atterré et scandalisé par les contrevérités du Directeur Général de l’agence de Régulation des Marchés sur la mévente des produits maraîchers, les prix dérisoires au dessous des coûts de production et le pourrissement des récoltes.
Le 20 mai 2025, l’Agence de Régulation des Marchés (ARM) a annoncé, par une lettre circulaire, l’interdiction temporaire de la vente d’oignons et de pommes de terre issus de l’agrobusiness, du 22 mai au 15 juin 2025.
Au Sénégal, le rétrécissement de l’espace budgétaire reste un sujet de préoccupation, même si le niveau de soutenabilité de la dette est encore meilleur que dans beaucoup de pays africains.
Dans une analyse publiée par le Pr Amath Ndiaye de la FASEG-UCAD, le Sénégal fait face à une surproduction maraîchère structurelle, notamment pour l’oignon (450 000 tonnes en 2025, contre 350 000 tonnes de besoins) et la pomme de terre (240 000 tonnes, contre 130 000 à 150 000 tonnes de consommation).
L’agriculture sénégalaise, pilier de notre économie et socle de nos communautés, est à la croisée des chemins. Nous avons hérité d’un modèle hérité de la colonisation, marqué par la monoculture, la dépendance à la saison des pluies, la faiblesse des infrastructures et l’accès limité aux marchés et à la transformation. Malgré les efforts et les réformes, la majorité de nos producteurs restent prisonniers d’un cycle où l’abondance des récoltes ne rime pas avec prospérité. Surproduction invendue, prix effondrés, revenus précaires, sentiment d’abandon?: tel est le quotidien de milliers de petits exploitants, pourtant porteurs d’un savoir-faire et d’une résilience admirables.