L’Union des magistrats du Sénégal (UMS) tient son Assemblée générale ce samedi, 10 août, au King Fahd Palace
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L’Union des magistrats du Sénégal (UMS) tient son Assemblée générale ce samedi, 10 août, au King Fahd Palace
L’Afrique n’est pas pauvre, selon l'OCDE où plus de 142 milliards de dollars ont été dilapidés en Afrique et planqués ailleurs, alors qu'il suffit d'avoir 72 milliards pour transformer le continent. Le Sénégal, non plus, n'est pas pauvre. C’est la même chose pour les ressources naturelles.
Il y a eu des traîtres fameux dans l’histoire de la politique universelle, et quelques beaux spécimens au Sénégal depuis l’accession à l’Indépendance.
Même pas fichus d’élaborer convenablement une liste ! Le feuilleton ubuesque que nous offre la classe politique, depuis maintenant pratiquement deux semaines, a de quoi nous faire honte et en même temps nous inquiéter. ..
La décision déchaîne les débats et commentaires les plus passionnés.
Et si on s'arrêtait dans ce pays de se voiler la face et de voiler la face de certains !
Le gouvernement du Sénégal vient de mettre en place une nouvelle centrale électrique à Kahone, dans la région de Kaolack. Une centrale solaire d’une capacité de 20 mégawatts a été installée non loin de l’ancienne centrale. Le coût global de l’investissement est de 20 milliards de francs Cfa.
Le président du groupe parlementaire Benno bokk yakaar, Moustapha Diakhaté, estime que le pouvoir n’a pas de souci à se faire pour plastronner sur le champs politique. En face, considère-t-il, l’adversité est molle. « Vous savez qu’avec une telle opposition, véritablement, on n’a pas à faire beaucoup d’efforts pour faire face », déclare le chef de file des députés de la majorité. Moustapha Diakhaté juge l’opposition « particulière », la considère comme « la plus folle au monde ».
Le Parti démocratique sénégalais (Pds) ne compte pas laisser uniquement les autorités gouvernementales plastronner à Touba à l’occasion du Grand Magal. Après Wade qui est parti sur les pas de Macky Sall, lui démontrant qu’il sait toujours mobiliser à Touba, le Pds a décidé d’envoyer une forte délégation à Touba. Une délégation qui fera face à celle gouvernementale lors de la cérémonie officielle qui se tient ce vendredi.
Le Sénégal va-t-il, pour la première fois de son existence, connaître des émeutes de la faim ou, à tout le moins, une révolte contre l’impécuniosité ? Même si cette perspective n’est pas souhaitable, elle est en tout cas à craindre.
Réapparu à la faveur du méga show organisé par Aziz Ndiaye et en perspective de son combat contre Gris Bordeaux cette saison, Mohamed Ndao Tyson a encore brillé par son statut de leader dans les arènes.
La traque aux pilleurs de la République est relancée. Mais les auditions suivies de libération des dignitaires supposés s’être enrichis commencent à indisposer une bonne frange de la société. Le Pds pour sa part affûte ses armes car décidé à vendre chèrement sa peau.
Il est bien possible d’exproprier les « propriétaires » pour cause d’utilité publique. Ce serait faire montre d’ailleurs de magnanimité à leur égard car, s’ils ont acheté les villas même à 30, 40 ou 50 millions de francs Cfa, c’est sûrement avec l’argent du contribuable. Ils éprouveraient toutes les peines du monde à justifier de telles sommes, à moins qu’ils s’abritent facilement derrière les fonds spéciaux du président de la République.
XIBAR.NET (Dakar, 29 Juin 2010) - Dans une ambition avouée de se faire réélire, à 86 ans, pour un troisième mandat, le président Wade a procédé à un énième remaniement. Voulant adopter son pied à toutes les chaussures, il a fignolé, comme à son habitude, créant, du coup, des ministres sans abris. Le président Wade avait morcelé le ministère de l’Éducation en trois. C’était pour faire plaisir, à l’époque, à son ministre Farba Senghor, qui en voulait, subjectivement, à son collègue Moustapha Sourang. Une « folie » qui l’obligera à louer, sur le dos du contribuable sénégalais, de nouveaux locaux, pour abriter le département que dirige Kalidou Diallo.
Pour vous, quelle différence existe-t-il entre les Wade, les Idy, les Tanor, les Niasse et consorts sur leur manière respective de manager leur formation politique ? En attendant votre réponse, il n’est point besoin de faire l’historique des partis politiques au Sénégal pour y répondre lapidairement par ces 6 lettres : AUCUNE. AUCUNE pour la bonne et simple qu’ils en sont arrivés à faire les leurs les propos de Me Ousmane NGOM que je cite : « Wade parle en démocrate et agit en autocrate ». Ces propos contextualisés à chacun des leaders de formation politique donne ceci : « Ils –tous et sans exception– parlent en démocrates et agissent en autocrates ».
La diplomatie n’est pas l’art de se promener sur la planète au gré des conférences internationales. Elle pourrait et devrait être une manière forte de protéger notre vie et l’avenir de la jeunesse de notre pays laissée en pâture aux aventures éminemment dangereuses de l’immigration clandestine. Comment doit on juger de la valeur d’une diplomatie qui assiste, muette comme une foule de carpes ivres, au massacre d’une jeunesse livrée aux négriers avec la promesse d’un El dorado européen dont les rescapés restent à jamais traumatisés par l’horreur du massacre?
Nous en sommes à l’heure d’un Sénégal où les archives devraient retrouver leur place d’antan. Sommes-nous dans la contrainte de devoir connaitre la place qui les leur échoit d'abord pour éventuellement les leur donner et/ou rendre ? En tout cas, sachons que les documents sont un des nerfs de l'administration. Ils sont souvent le moyen par lequel s'opèrent le processus et les fonctions opérationnels. Dans les documents sont consignées la totalité des informations produites ou reçues par un organisme dans la conduite de ses affaires.
Vous me direz que c’est de bonne guerre. Mais Karim Wade ne fait pas preuve de la moindre retenue, quand il s’agit d’assumer ses nombreuses charges ministérielles. Depuis la semaine dernière, je me demande s’il lui arrive d’avoir honte. Pour plastronner comme un prophète devant tant de ministères, il faut être dénué de tout sens du péché. La cinglante raclée du 22 mars n’est pas si lointaine, mais le fils du président de la République se comporte comme s’il a été sacré ce jour-là commandeur des croyants. Ce que les Sénégalais lui ont refusé dans les urnes, Karim Wade se l’arroge dans les cabinets ministériels.
Moustapha Niasse est le commanditaire des propos tenus par son fils Cheikh Tidiane, dans l’interview que ce dernier a accordée au quotidien Le Populaire. L’accusation est de Sidy Lamine Niasse qui, dans l’entretien qu’il a eu avec nous, montre les preuves de ce qu’il avance. En revenant sur cette question, précise-t-il, loin de lui toute idée de verser dans le féodalisme ou dans une quelconque polémique.
Le Bureau politique de l’Alliance des forces de progrès (Afp) dénonce, dans un communiqué daté du 4 octobre, « le pilotage à vue qui frappe de plein fouet la jeunesse sénégalaise ». Pour les camarades de Moustapha Niasse, leader des « Progressistes », « les étudiants et les élèves, les émigrés clandestins constituent l’expression d’un drame qui n’est que la conséquence d’une politique de l’emploi inexistante, dans un contexte de marasme ». C’est pourquoi l’Afp « condamne avec la dernière énergie les violences physiques exercées par les autorités sénégalaises sur les rapatriés d’Espagne, qui ont déjà subi une violence morale, avec des déchirures psychologiques incommensurables ».