Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le Crédit Mutuel du Sénégal (CMS) a marqué sa présence au Magal 2025 de manière singulière, alliant tradition solidaire et révolution technologique.
Face à la presse ce mardi 5 août 2025 à l’hôtel Le Relais à Dakar, Moustapha Diakhaté a tenu des propos virulents contre le commissaire du Port, qu’il qualifie sans détour de « voyou » et « assassin ». Selon lui, ce dernier lui aurait volontairement retiré ses lunettes pour l’empêcher de lire en garde à vue, et refusé l’accès à ses médicaments contre l’asthme. « Mon fils l’a entendu dire qu’il m’a privé de mes lunettes et de mon traitement. C’est une volonté manifeste de nuire », dénonce-t-il, rappelant qu’il avait déjà évoqué son asthme lors d’une précédente incarcération.
Fin juillet, le président ivoirien Alassane Ouattara a annoncé sa candidature pour un 4e mandat. Le dirigeant justifie sa décision par la nécessité de préserver la stabilité nationale face aux défis « sécuritaire, économique et monétaire sans précédent».
L’ancien député Moustapha Diakhaté, récemment condamné à un mois et quinze jours de prison, a tenu un point de presse ce mardi 5 août 2025 à l’hôtel Le Relais à Dakar, au cours duquel il est revenu, sans détour, sur les propos polémiques qui lui ont valu des ennuis judiciaires.
Sa vie, marquée par la fistule obstétricale, est un parcours parsemé de douleurs physiques intenses, d’abandon conjugal et de précarité économique. Pourtant, Ramata Niang, c’est son nom, au cœur de ces épreuves, a puisé sa force dans l’amour indéfectible de sa famille et l’espoir tenace d’une guérison qui lui redonnera la dignité et la sérénité. Mère de quatre enfants, elle incarne le visage poignant de cette réalité trop souvent oubliée.
À Koumpentoum, localité de la région de Tambacounda, le district sanitaire du département, qui polarise 24 postes de santé, ne compte qu’un seul bloc opératoire pour toutes les urgences.
La tension monte au sein de l’Alliance pour la République (APR). Ce week-end, les femmes républicaines de la région de Dakar ont organisé une grande mobilisation pour réclamer la libération immédiate des responsables politiques de leur parti, actuellement détenus ou placés sous contrôle judiciaire .
Wal fadjri est dans le rouge. À l’instar de la quasi-totalité des entreprises de presse privées sénégalaises, le groupe fondé par feu Sidy Lamine Niass traverse de fortes turbulences économiques. Cette situation a poussé son PDG, Cheikh Niass, à envisager la possibilité de tailler dans les effectifs.
Dans un entretien paru ce lundi dans Walf Quotidien, pour le dix-millième numéro de ce titre du groupe dont il est le PDG, Cheikh Niass a longuement évoqué la situation de la presse sénégalaise. Il relève une volonté du nouveau régime «d’asphyxier les médias».
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L’affaire de diffamation entre Ousmane Sonko et Mame Mbaye Niang, née des déclarations de l’actuel Premier ministre affirmant détenir un rapport compromettant de l’Inspection générale des finances (IGF) sur la gestion du programme Prodac, connaîtra un nouveau développement.
“Jub, Jubal, Jubanti.” Le triptyque moral brandi comme une épée par Pastef au pouvoir depuis mars 2024 semble aujourd’hui s’émousser sous le poids des contradictions internes. En moins de 24 heures, deux voix fortes du régime ont fait entendre un grondement public qui ne peut être confondu avec un simple grincement de fonctionnement. Non. C’est une secousse. Et pas des moindres.
“Jub, Jubal, Jubanti.” Le triptyque moral brandi comme une épée par Pastef au pouvoir depuis mars 2024 semble aujourd’hui s’émousser sous le poids des contradictions internes. En moins de 24 heures, deux voix fortes du régime ont fait entendre un grondement public qui ne peut être confondu avec un simple grincement de fonctionnement. Non. C’est une secousse. Et pas des moindres.
“Jub, Jubal, Jubanti.” Le triptyque moral brandi comme une épée par Pastef au pouvoir depuis mars 2024 semble aujourd’hui s’émousser sous le poids des contradictions internes. En moins de 24 heures, deux voix fortes du régime ont fait entendre un grondement public qui ne peut être confondu avec un simple grincement de fonctionnement. Non. C’est une secousse. Et pas des moindres.