La décision de la Cedeao contre le Mali risque de perturber le marché.
il y a 3 ans
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La décision de la Cedeao contre le Mali risque de perturber le marché.
Le Bureau Politique de l’Alliance Pour la République élargi aux responsables politiques des quartiers s’est réuni, ce samedi 27 Février 2021...
Jair Bolsonaro a été poignardé en plein meeting il y a une semaine. Il avait alors subi une première intervention chirurgicale.
Depuis plusieurs semaines, des personnalités connues se répandent en déclarations, questionnements, insinuations et conjectures vis-à-vis des autorités et d’honnêtes citoyens, à la faveur des nouvelles découvertes de gisements d’hydrocarbures au large de nos côtes.
La passion insuffle souvent de l’énergie. Elle vous pousse à aller au-delà de vos limites. Maram Kaïré, un astronome amateur en est la parfaite illustration. A 12 ans, il s’est mis en orbite pour cerner le vaste champ de l’astronomie, de la naissance, des structures et de l’évolution de l’univers en passant par l’astronomie galactique et extragalactique. Cet ingénieur sénégalais des systèmes et réseaux maîtrise les techniques d’installation et de mise en station ainsi que les ficelles de pointage et de guidage manuel et automatisé.
La passion insuffle souvent de l’énergie. Elle vous pousse à aller au-delà de vos limites. Maram Kaïré, un astronome amateur en est la parfaite illustration. A 12 ans, il s’est mis en orbite pour cerner le vaste champ de l’astronomie, de la naissance, des structures et de l’évolution de l’univers en passant par l’astronomie galactique et extragalactique. Cet ingénieur sénégalais des systèmes et réseaux maîtrise les techniques d’installation et de mise en station ainsi que les ficelles de pointage et de guidage manuel et automatisé.
![[ Revue de p(a)resse ] Y en a marre, ces briseurs de ménage !](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//4ed5a4d3cb06040dc36ec3fb3da1e984.png)
Encore une chaude actualité dans le «Macky» de la sobriété où la rupture, la bonne gouvernance et l’essor économique restent encore des vœux pieux. Cette semaine, on aura moins parlé de la bourde présidentielle sur un patrimoine composé de « privi-lèses » que de cette alléchante affaire de « cœur brisé » qui oppose le vieux Khalifa Niasse à sa douce Maman Fatou… Au commencement, le «Tafsir Abdourahman-Show».
Le Sénégal a connu trois Chefs d’Etat avant le Président Macky SALL. Je fais partie, par une grâce de Dieu, des sénégalais qui les ont connu, plus ou moins fréquenté et, en tout cas, rencontré chacun plusieurs fois. Je vais essayer de me livrer à un exercice périlleux, s’il en est, de comparaison entre ces trois hommes qui ont eu le privilège de diriger le Sénégal pour asseoir mon plaidoyer et mon parti pris pour Le Président Abdoulaye WADE.
L’admiration que j’ai pour le Sénégal n’a d’égal que le mérite que jereconnais à ce pays et à son peuple. Je puis entre autres le remercierd’avoir su donner un espace pour l’éternité à l’ancien président demon pays d’origine, le Cameroun.
Au moment où son frère, Karim Wade, à maille à partir avec la justice sénégalaise dans le cadre de l’affaire sur l’enrichissement illicite d’anciens dignitaires de l’ex-régime, les regards se tournent dans le même temps vers la fille unique des Wade. On se souvient qu’à l’époque, son cas avait été agité dans le cadre de la gestion jugée nébuleuse du Fesman. L’inspection générale d’Etat était même très avancée sur le dossier du Fesman où Sindjely est impliquée. Qu’en est-il aujourd’hui ?
Quelques semaines seulement après avoir été distingué du Prix Fora pour la Renaissance africaine, le président Wade reçoit ce 27 octobre en France le prix de l'Homme africain de l'année. Une distinction qui porte l’empreinte du Conseil des Mariannes de la République, dont le choix porté sur l’ancien chef de l’Etat sénégalais reste très controversé.
En bâtissant un socle qui a émerveillé le monde et dessiné les contours d’une démocratie magistrale, Me Wade a balisé, à ceux qui comprennent, la voie royale pour conduire les destinées de notre peuple. Toutefois, cette volonté de Wade de laisser derrière lui un parti uni et fort, capable de perpétuer son œuvre et sa vision est entrain d’être détruite par des gueux et des gens lugubres dont le but ultime est d’assurer leur propre existence politique.
Wade toujours aussi riche même sans sa balèze caisse noire ? C’est en tout cas la grande question après la somme débloquée pour les besoins du déplacement de ses proches en France, lors de la remise du Prix du Forum de Renaissance Africaine (FORA) à Versailles.
C’est la réponse du berger à la bergère. Souleymane Ndéné Ndéné Ndiaye n’a pas l’air d’apprécier la sortie de ses camarades du Collectif des anciens de l’Union des jeunesses travaillistes libérales (Caujtl) qui l’ont vivement critiqué jusqu’à demander sa démission du parti. Ce, au lendemain de ses prises de position contre la distinction attribuée au Président Wade, à Versailles.
A peine un mois après avoir été primé par le Forum de la renaissance africaine, Me Abdoulaye Wwade reçoit de nouveau un prix. L'ancien président recevra la médaille « Douta Seck, protecteur des arts » le 26 octobre prochain. Une cérémonie coorganisée à l'Unesco par l'agence artistique El Cobra-production Paris et la Fédération du Conseil des Mariannes de la République. « Ce prix est en hommage à l'homme de Lettres, Artisan du verbe, féru d' arts et vrai Protecteur des artistes durant de nombreux années » ont déclaré les organisateurs dans l'Observateur.
La surprenante nomination de madame Aminata Niane en qualité de Ministre Conseiller spécial auprès du président de la République chargée des inondations a, tout naturellement, suscité beaucoup de commentaires, de critiques, parfois d’indignation. Ce qui ne lui aurait pas plu et l’aurait même fait sortir de ses gonds en déclarant ceci : « Je suis le président, je nomme qui je veux. » C’est, en tout cas, le quotidien « L’AS » qui en a fait la révélation à sa « Une » du jeudi 20 septembre 2012.
L’ancien Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, a apporté un début de réponse à la question en jetant un véritable pavé dans la mare aux libéraux qui se sont précipités à Paris pour assister à la cérémonie du Fora.
M.Amadou Ciré Sall est ex patron du Parti Démocratique Sénégalais(Pds) en France, devenu député des sénégalais de l'extérieur au cours de la 11éme législature ( 2007-2012). Cet ancien 3 ème vice-Président de l'Assemblée nationale réclame aussi une longétivité...de militantisme au sein de la formation politique déchue le 25 Mars dernier. Dans l'interview qu'il a bien voulu nous accorder, il est d'avis que le prix décerné à son ex- mentor par le Forum de la renaissance africaine(Fora) en France n'est que pure affubulation:"Je suis tout à fait d'accord avec les propos de l'ancien premier ministre , M.Souleymane Ndéné Ndiaye.Je considére que c'est pire qu'une mascarade.Si j'étais à la place du Président Abdoulaye Wade , je ne l'aurais pas accepté", s"est-il expliqué.
Le président du groupe parlementaire des libéraux s'est dit fier de son mentor, le secrétaire général du Pds Me Abdoulaye Wade qui a reçu le « prix Leadership Africain » hier à Versailles.
On croyait révolue l’ère des prix décernés à la gloire du Président Abdoulaye Wade par d’obscures organisations panafricaines basées en Occident, et payés au prix fort par le récipiendaire. La cérémonie à laquelle la communauté africaine à Paris a pris part dimanche dernier, entièrement financée par le Président Abdoulaye Wade, révèle que l’ancien chef de l’Etat du Sénégal, même à la retraite, tient encore à être fêté. De nombreux responsables de son parti et de son régime déchu se sont pressés à Paris, tous frais payés par le récipiendaire. Le sacre semble avoir, pour le Président Wade, plus de goût sucré que tous ces prix auxquels Wade avait été soumis durant son règne de 12 ans à la tête du Sénégal. C’est comme si ce prix était un alibi, un faire-valoir ou une rampe pour rebondir ou que la distinction montrait à la face du monde que les Sénégalais devaient regretter leur choix du 25 mars 2012, par lequel ils ont congédié le Président Abdoulaye Wade.
