Madiambal Diagne, journaliste insaisissable, défie les interdits.
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Madiambal Diagne, journaliste insaisissable, défie les interdits.
L’Union africaine de radiodiffusion (UAR) a annoncé avoir décerné le premier prix magazine télé de ses Medias Awards 2023-2024 au journaliste sénégalais Ibrahima Ndong, de la Radio-Télévision sénégalaise (RTS).
Elle parle également de la concurrence qui existe entre les séries africaines et donne son appréciation de celles sénégalaises.
"Certains pensent que je suis un véritable génie”
Journaliste et patron de presse remarquée dans la sphère médiatique sénégalaise, Madiambal Diagne est une personnalité controversée.
L’Union africaine de radiodiffusion (UAR) a annoncé avoir décerné le premier prix magazine télé de ses Medias Awards 2023-2024 au journaliste sénégalais Ibrahima Ndong, de la Radio-Télévision sénégalaise (RTS).
Artiste sulfureux, exigeant mais surtout génial, Ousmane Ndiaye Dago a choisi le corps comme support de son œuvre. Mais photographier des femmes (presque) nues dans une société à presque 90% musulmane n’est pas chose aisée. Et L’artiste regrette le coté trop collet monté de ses compatriotes. Entretien !
La Convention des Jeunes reporters du Sénégal (Cjrs) a primé ce 15 décembre ses meilleurs journalistes. Pour cette 5e édition ce sont trois jeunes talents qui ont été récompensés dans les catégories télévision, radio et presse écrite.
D’anciens journalistes ont invité, samedi, lors du gala de la Convention des jeunes reporters du Sénégal (CJRS), leurs confrères de la nouvelle génération à s’assumer et à prendre leurs responsabilités dans le traitement de l’information pour aller vers une presse de qualité, tout en participant à la stabilité du pays.
Audrey Pulvar a annoncé dimanche la fin de sa relation avec le ministre Arnaud Montebourg, une idylle qui a coûté cher professionnellement à la journaliste puisqu'elle a dû ces dernières années quitter i-Télé et France Inter avant de devenir la directrice contestée du magazine Les Inrockuptibles. "La journaliste Audrey Pulvar annonce la fin de sa relation avec Monsieur Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif
A l’occasion du Conseil des ministres décentralisé de Ziguinchor, le chef de l’Etat, après un premier entretien accordé au magazine panafricain Jeune Afrique, a voulu s’adresser pour la première fois à la Presse nationale. Pour ce faire, il a choisi de mêler différents médias -radio, télé, presse écrite, agence de presse- et accepté de se soumettre aux questions des représentants du journal Le Quotidien, de la Télé futurs médias, de l’Agence de presse sénégalaise (Aps) de la Radiotélévision sénégalaise (Rts),
Tête bien faite sur un corps d’athlète qui se moule aussi bien dans un costume européen que dans un boubou africain comme dans un gant, M. Amadou Mahtar Ba est le directeur général de l’Initiative pour les Médias d’Afrique (AMI, sigle en anglais).
« Je fais du bénévolat à la Rts 1 » Au bout du fil, Mame Diarra Korèra présentatrice de l’émission Wala Wala bokk bégué sur la Rts 1 peine à se départir de son accent titi parisien. Ça tombe bien, elle se trouve à Paris, la capitale française pour des études en communication.
Enfin un magazine a osé faire le premier pas en mettant à sa couverture l’actrice américaine d’origine sénégalaise Gabourey Sidibé. «Elle», à l’occasion du 25e anniversaire de son édition américaine, a mis quatre femmes à sa «Une» dans son numéro d’octobre 2010. Et parmi elles, la jeune Sénégalo-américaine, Gabourey Sidibé alias «Gabby» qui, d’habitude, était exclue d’office à cause de son obésité, selon le site Afrik.com.
Dans un entretien accordé il y a quelque temps à Afrique Magazine, Wade y étale ses grands travaux avec des questions parfois bien complaisantes de la journaliste Emmanuelle Pontié. Dimanche 14 février. Le président Abdoulaye Wade nous reçoit au Palais présidentiel, dans l’un des salons de l’immense salle du rez-de-chaussée, en compagnie de Mamadou Bamba Ndiaye, ministre conseiller, chargé de la communication, des relations avec la presse, des affaires religieuses et porte-parole de la présidence de la République.
À l’occasion de la sortie d’un album 100 % reggae, l’artiste sénégalais revient dans un entretien exclusif accordé à J.A. sur ses relations plutôt tendues avec le pouvoir. Youssou Ndour a 50 ans. Et il n’a jamais été aussi en forme. Avec ses lunettes fumées, sa chemise noire cintrée à fines rayures blanches, son jean et ses baskets, il a l’air d’un jeune premier. Tandis que son orchestre, le Super Étoile, s’essaie au reggae sur la scène du Thiossane, le night-club qu’il a ouvert à Dakar, « You », comme l’appellent ses fans, respire le bonheur. Il répète les morceaux de son nouvel album, Dakar-Kingston, enregistré à la Jamaïque, en juillet dernier. Un opus dédié à Bob Marley.
Sacré meilleur animateur télé et meilleur animateur Radio Mbalax lors de la soirée Sunu music Awards, l’animateur Boubacar Diallo alias Dj Boubs a été très critiqué par certains professionnels évoluant dans le milieu artistique Sénégalais. L’animateur de l’émission musicale Sap dëgin sur la RFM, qualifie ces contestations à « de la jalousie » qu’il nomme selon ses termes des « Sénégalaiseries ». Dans une interview accordée au magazine Week-end, Dj Boubs démonte ses détracteurs et promet de leur en faire voir pendant les vacances. Mieux, l’animateur met en garde les organisateurs : « les gars n’ont qu’à m’écarter des Awards. Sinon, je vais encore tout rafler. Et ça va encore faire des jaloux…
De mon séjour carcéral, j’ai été marqué par le sort d’une soixantaine de personnes, tous condamnés à la prison à vie pour la plupart et pour d’autres condamnés à la mort et qui n’ont dû leur salut qu’à l’abolition de la peine capitale au Sénégal. Camp Pénal de Liberté VI, un repaire crasseux en plein centre de Dakar. Plus de 800 détenus sont entassés dans des conditions précaires. Ici, j’ai séjourné pendant huit mois dans une chambre de douze personnes et je me suis fait beaucoup de bons amis parmi les détenus surtout chez les « perpet » comme on dit ici, c'est-à-dire les prisonniers condamnés à la perpétuité.
A Diamagueune, quartier périphérique de Thiès, capitale du rail, vit une affrio­lante célibataire du nom de Diéwo Sow plus connue sous le nom d'artiste de Toulli. Avec une morphologie bien dessi­née, 114 m de tour de hanches, un joli faciès au sourire enchanteur, cette peulh, pensionnaire de la troupe thiessoise, «Le Soleil levant» recèle autant d'atouts et d'atours qui font qu'elle ne passe jamais inaperçue. Avec quelques réserves, la jeune comédienne, aisément installée sur le divan de sa chambre ornée de perles suggestives et pots de d'encens enivrant, s'est prêtée à nos questions.
Les confréries au Sénégal: de vraies bombes à retardement. A-t-on besoin d’une intervention de Touba dans le conflit presse-pouvoir ? Evidemment, non. Nous faisons tous fausse route, dans le cadre de la médiation proposée par Serigne Bara. Merci pour la proposition, c’est très alléchant mais nous ne sommes pas preneurs. Ce qui nous intéresse, ce n’est pas une médiation, mais plutôt une exigence de notre part, pour que justice soit faite, pour que les agresseurs de Kambel et de Kara puissent être identifiés et poursuivis. Nous ne demandons pas plus. Dites plutôt au président Wade de laisser la justice de son pays éclairer les esprits...