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Le dernier rapport de suivi de la campagne agricole 2025-2026 révèle une situation contrastée dans la région de Kédougou. Si la pression parasitaire s’est nettement atténuée, la pluviométrie demeure irrégulière, suscitant quelques inquiétudes sur les rendements à venir.
C’est dans le village de Firdawsi, dans le département de Médina Yoro Foulah et plus précisément dans la commune de Kéréwane, que le Programme national de Développement des Agropoles du Sénégal (PNDAS)
L'interdiction du riz de marque Royal Umbrella au Congo Brazzaville a été relatée par la presse sénégalaise.
Les rats ont causé cette année beaucoup de mal aux producteurs de la vallée entre Dagana, Ross Béthio et Ronk avec la destruction de 4000 hectares de récoltes.
Une jeune fille de 17 ans et une femme de 30 ans, mère de 4 enfants ont trouvé la mort au village de Médina Bocar Sy...
Le chef de l’Etat Macky Sall a décidé, mercredi en Conseil des ministres, de porter à 50 milliards de francs Cfa le budget de la prochaine campagne agricole, a appris l’APS.
Le ministre porte-parole du gouvernement, Seydou Guèye, a qualifié mardi à Dakar, la campagne agricole 2017-2018 "de campagne de tous les records en matière de production".
La société japonaise Kagome, deuxième productrice mondiale de tomates, va ouvrir une unité industrielle dans la zone de Saint-Louis.
28 ans après les événements de 1989 qui les avaient contraints à tout laisser derrière eux, bétails, champs, et village pour prendre le chemin de l’exil au Sénégal afin échapper aux massacres, l’espoir d’une nouvelle vie renaît chez les réfugiés Mauritaniens. Établis, pour la plupart, le long de la vallée du fleuve Sénégal dans des sites, devenus, aujourd’hui, de grands villages, les réfugiés mauritaniens sont en pleine phase de reconstruction de leur vie.
Le Sénégal est en train de redessiner la carte de développement du riz, selon le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Papa Abdoulaye Seck, soulignant que cette céréale est de plus en plus cultivée dans différentes zones du pays . ’’Aujourd’hui, nous sommes en train de redessiner la carte de développement du riz au Sénégal’’, a-t-il déclaré dans un entretien avec la Radio télévision sénégalaise (RTS, publique). Pape Abdoulaye Seck a indiqué que le bassin arachidier est en train de se transformer en bassin agricole en raison de la présence soutenue du riz dans les systèmes de production de cette zone agro-écologique.
-OUAGADOUGOU-La production céréalière prévisionnelle pour la campagne agricole 2014-2015 au Sahel et en Afrique de l’Ouest est estimée à 48,5 millions de tonnes, a indiqué mardi le Comité inter-Etats de lutte contre la sécheresse eu Sahel (CILSS) basé à Ouagadougou.
Plus de 2 milliards de francs CFA ont été injectés dans l’achat de la production d’arachides de la région de Tambacounda, a relevé le directeur régional du développement rural (DRDR) Pierre Diouf, soulignant que ce montant n’a pas été atteint depuis cinq ans, même si l’on déplore des invendus durant la campagne agricole 2013-2014,.
Il ne reste plus une épine de maïs verte dans le champ de quarante quatre (44) hectares cité en exemple par les autorités de l’agriculture de Sédhiou et qui a fait l’objet de la visite du ministre Abdoulaye Bibi Baldé.
Le Comité directeur de l’Alliance des forces de progrès (AFP) a engagé dimanche le Secrétaire général de ce parti, Moustapha Niasse, ainsi que son bureau politique et ses militants et responsables à ‘’poursuivre le partenariat engagé’’ dans Bennoo Siggil Senegaal (BSS) et Benno Bokk Yakaar.
La vieille ville est toujours sous les eaux. Ce, malgré les fortes sommes d’argent dégagées par l’Etat, les appuis en vivres, en carbu rant, en produit phytosanitaire des hautes autorités de l’Etat originaires de Saint-Louis, c’est comme si rien n’a été fait. A chaque fois que le ciel ouvre ses vannes, les sinistrés vivent les mêmes calvaires. Depuis que Saint-Louis est sous les eaux, personne n’ose dire que les hautes autorités de l’Etat, originaires de la vieille ville, ont fait le mort face aux souffrances de leurs concitoyens sinistrés.
Les paysans du bassin arachidier, c’est-à-dire ceux de Kaffrine, Kaolack et Fatick, s’attendent à une bonne production. C’est là, le sentiment des techniciens qui souhaitent la poursuite de la tendance jusque-là notée dans ces zones. Après une inquiétante pause pluviométrique, l’espoir renait à Kaffrine. A Kaolack, le maïs vert est déjà sur le marché. A Fatick, il y a un comportement végétatif satisfaisant, malgré une mauvaise répartition de la pluie dans le temps et dans l’espace. Pour ce qui est de la région de Thiès, l’on constate une bonne levée du tapis herbacé.
Mes Chers Compatriotes, Au seuil du nouvel an, j’aimerais d’abord, en votre nom et au mien propre, rendre grâce à Dieu, Maître absolu de l’univers et du temps, pour la faveur qu’il nous accorde de vivre ensemble ce moment unique qui est à la fois une fin et un commencement. L’instant est donc à un retour sur soi, à la méditation et à la contrition pour tout le bien que nous aurions pu faire pour nos semblables et que nous n’avons pas fait...
A l’instar de nombreux pays de la sous-région, la culture du blé a gagné le Sénégal depuis quelques années. Cependant, les superficies exploitées et la quantité cultivée restent à ce jour, très faibles. Selon le Docteur Madiama Cissé, chercheur à l’ISRA, la Vallée du fleuve Sénégal possède des potentialités immenses et avec une volonté politique réelle de l’Etat, notre pays pourra être un grand producteur de blé. Dr Cissé, vous êtes chercheur à l’ISRA, est-ce que vous pouvez nous parler du programme blé, qui a été entamé depuis quelques années ?
Un bébé de 3 mois a été retrouvé vivant, dans la rue, par des enfants. Les faits se sont déroulés dans la nuit du lundi au mardi, au quartier Centre 1 de la commune de Vélingara. Le bébé, actuellement entre les mains de la dame nommée Khady Bèye, est bien portant, et ne souffre d'aucune maladie. Au moment où des femmes infécondes font le pied de grue chez le médecin ou le guérisseur traditionnel pour se soigner et pouvoir procréer, d'autres mettent au monde des enfants pour ensuite s'en débarrasser. C'est le cas de cette femme, qui a profité de l'obscurité, dans la nuit du lundi au mardi dernier, pour déposer dans la plus grande quiétude son bébé dans la rue, près de la concession de la famille Bâ au quartier Centre 1 pour ensuite disparaître dans la nature.
Démarrée le 10 décembre 2005, la campagne de commercialisation et d’égrenage de coton doit prendre fin le 31 mars 2006. Les services de la Société de développement et des fibres textiles (Sodefitex) ont déjà collecté à la date du 15 mars, 90% de la production attendue, qui est de 45 500 tonnes de coton-graine. Une production qui, couplée au bon rendement à l’hectare et à la bonne qualité du coton, est un motif de satisfaction pour la société cotonnière qui est déjà très avancée dans la préparation de la campagne agricole 2006/2007.
