Les proches de Karim Wade, condamnés en mars dernier par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), ont décidé de riposter devant un autre tribunal.
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Les proches de Karim Wade, condamnés en mars dernier par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), ont décidé de riposter devant un autre tribunal.
Bibo Bourgi jugé et condamné a été dépossédé de tous ses biens par la justice sénégalaise. Après plusieurs tentatives pour casser le verdict qui ne lui a pas été favorable, il a enregistré un autre revers.
La société de handling Ahs et son partenaire international Menzies Aviation ont porté plainte contre le Sénégal au Centre international de règlement des différends (Cirdi) de la Banque mondiale. Le Sénégal a jusqu’à la fin du mois pour transmettre ses éléments de défense.
Dans ses réponses aux interpellations de Wade, le Premier ministre avait publié les documents de l’accord entre l’Etat du Sénégal et Mittal en nettoyant volontairement des noms des avocats. Au départ, Me Rasseck Bourgi et Sébastien Bonnard défendaient les intérêts de Dakar avant de céder la place à François Meyer qui a finalisé l’opération. Et l’argent aurait été versé dans son compte. Alors que Mes Bonnard et Bourgi avaient chiffré à plus de 2000 milliards de F Cfa le préjudice subi, Dakar s’est contentée de 72 milliards. Et ça fait rager Wade.
Mettre un terme au contentieux né de l’abandon unilatéral, du projet d’exploitation des mines de fer de la Falémé dans le Sud-est du Sénégal : c’était l’objectif de l’accord à l’amiable passé par le groupe indo Britannique ArcelorMittal avec l’Etat du Sénégal. Une affaire qui connait des rebondissements et sent la corruption à outrance, à en croire des révélations de nos confrères du magazine La Lettre du continent, dans un billet intitulé « Sénégal : Zones d’ombre de l’accord entre ArcelorMittal et Dakar ».
Pour la deuxième journée de son interrogatoire, Pierre Agboba a fait face à une Crei qui a pu lui tirer les vers du nez. Ainsi, l’ancien Président du Conseil d’Administration de Ahs a, hier mercredi, donné une manne d’informations à la Cour de répression de l’enrichissement illicite et à tous les acteurs de cette affaire.
En dix ans, le patron du groupe Advens est passé - avec talent - du négoce à l'agro-industrie, avec des fortunes diverses. Portrait d'un homme dont la capacité de résistance n'a d'égale que le nombre de ses adversaires.
Mittal Steel Company, propriété du milliardaire indien Lakshimi Mittal, se doit de prouver sa bonne santé financière. C’est ainsi qu’il a décroché un contrat d’exploitation des mines de la Falémé (700 millions de tonnes de fer) et a promis d’investir 1000 milliards de dollars (500 000 milliards de francs) au Sénégal.
Révélé en exclusivité par L'As, le compromis-scandale entre l'Etat du Sénégal et Arcellor Mittal, considéré comme une véritable nébuleuse dans certains cercles, a suscité l'intérêt journalistique de nos confrères de la "Lettre du Continent". Dans sa dernière livraison, le journal fait une grosse révélation concernant l'accord à l'amiable qui oblige le groupe indien à verser 150 millions de dollars à l'Etat du Sénégal, en guise de dommages et intérêts pour non-respect des termes d'un contrat en date de 2007.
En plus de Karim Wade, d’autres personnes citées dans le montage de certaines sociétés sont entre les mains de la gendarmerie depuis hier. Le Quotidien revient sur leurs auditions.
Les deux plaintes déposées ce mardi par Abdoulaye Wade et son fils Karim contre William Bourdon dans l’affaire des ‘biens mal acquis’, ne semblent pas ébranler l’avocat français président de l’Association Sherpa.
Le président Abdoulaye Wade a déposé mardi auprès du Tribunal hors classe de Dakar une plainte contre Me William Bourdon, pour une interview au quotidien français Le Parisien, dans laquelle l’avocat parisien a indiqué que la procédure française dite des "biens mal acquis" pourrait être "élargie au président sénégalais", a appris l’APS de source proche du plaignant.
Le président Alpha Condé dit n’avoir rien à voir avec le blocage d’un appareil de «Sénégal Airlines» à Conakry. Ce qui a poussé les autorités sénégalaises à appliquer la réciprocité et fermer à leur tour l'espace aérien sénégalais à tous les avions à destination ou en provenance de la Guinée. Le journal «EnQuête» révèle que quand la mini-crise a éclaté, Alpha Condé a reçu un appel téléphonique de l’avocat Me Rasseck Bourgi (proche de Karim Wade). Condé lui a répondu que l’initiative ne vient pas de lui, ni de son gouvernement. Il l’a répété à plusieurs autres interlocuteurs venus aux nouvelles. En effet, la Guinée n’étant pas membre de l’Asecna, elle a confié sa navigation aérienne à un organisme sous-régional, Fir Roberts. Une société qui contrôle également les espaces aériens du libéria et de la Sierra-Léone. Il se trouve que la défunte compagnie Air Sénégal Airlines lui doit un reliquat de 72 millions de francs. Ce serait la raison pour laquelle la société a bloqué un appareil de Sénégal Airlines pour obliger l’Etat du Sénégal à solder ses comptes.
Les révélations de Robert Bourgi étalent au grand jour les financements occultes en France en provenance du continent. Quelle est la crédibilité de ces accusations?? Pourquoi ce "porteur de valises" s’est-il mué en imprécateur?? Jusqu’où ira-t-il?? Enquête exclusive.
Le politologue Babacar Justin Ndiaye apporte son éclairage sur les déclarations de Robert Bourgi accusant Wade et d’autres chefs d’états africains d’avoir financé la campagne électorale de Jacques Chirac en 2002. Entretien accordé à l’Observateur lu par Leral.net.
Le 11 septembre dernier, Robert Bourgi, le Monsieur Afrique bis de Sarkozy jette un pavé dans le marigot françafricain.Révélant avoir transporté des millions de dollars provenant de chefs d’Etat africains, pour financer la campagne présidentielle de Jacques Chirac en 2002.Les origines de l’influence qu’on lui prête, son pré carré, ses méthodes… Itinéraire d’un adepte du foccartisme.
La présence du président sénégalais, Abdoulaye Wade à la cérémonie de remise du prix Félix Houphouët-Boigny à Paris était une occasion rêvée pour les journalistes de l’hexagone et les correspondants de presse sénégalaises de l’interpeller sur les révélations décapantes de l’avocat Robert Bourgi dimanche dernier dans le JDD.
NETTALI.NET - Le démenti du porte-parole de la Présidence de la République relatif à la sortie de Robert Bourgi laisse sur sa faim Idrissa Seck. Dans une déclaration signée par le chargé de la communication de "Rewmi", le maire de Thiès invite Abdoulaye Wade et Karim Wade à s’expliquer publiquement sur les déclarations de l’avocat français.
Alors que l’encre n’a pas fini de couler au sujet de la sommation interpellative du huissier Me Malick Sèye Fall, pour le compte de Mes Rasseck Bourgi et François Sarr, agissant à la requête de M. Karim Wade, analyste financier, Rue A X 7, Point E, contre le directeur de publication de « 24 heures », « son frère » Abdoulaye Baldé, sert une autre sommation interpellative à El Malick Seck. Et ce dernier de répliquer : « Qui se sent morveux se mouche ». Agissant en sa qualité de directeur exécutif de l’Anoci, Abdoulaye Baldé est entré dans la danse, ce matin, car s’estimant, lui aussi, diffamé par un article du journaliste El Malick Seck. En effet, dans son édition n° 004 de 24 heures, El Malick Seck écrivait : « Sommet de l’Oci, le scandale du Musica risque d’éclater ».
Moins de vingt-quatre heures après la diffusion d’un article intitulé : « Pour une affaire de business : Karim Wade entre en guerre contre Bara Tall », le Directeur de publication du nouveau quotidien en quadrichromie dénommé « 24 heures » a reçu une sommation interpellative du huissier Me Malick Sèye Fall, pour le compte de Mes Rasseck Bourgi et François Sarr, agissant à la requête de M. Karim Wade, analyste financier, Rue A X 7, Point E. Et c’est bille en tête qu’El Malick Seck a déclaré, parlant du fils du Président de la République, « s’il n’est pas content, qu’il saisisse les tribunaux ».