"Absence de Sonko en conseil des ministres", "brouille Sonko-Diomaye" : PressAfrik fait son mea culpa
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
"Absence de Sonko en conseil des ministres", "brouille Sonko-Diomaye" : PressAfrik fait son mea culpa
"Absence de Sonko en conseil des ministres", "brouille Sonko-Diomaye" : PressAfrik fait son mea culpa
À la suite des informations faisant état du décès d'une étudiante dans sa chambre au campus social, le Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD) n'a pas perdu de temps pour apporter un démenti.
Le site chinois de commerce électronique Temu a retiré en France et au Royaume-Uni une campagne de promotion après une polémique sur l’utilisation des données des clients, a indiqué samedi la société.
Plus de 190 candidats vont aller à la rencontre des Sénégalais afin de recueillir le nombre de parrainage nécessaire pour participer à la présidentielle du 25 février 2024. Ceux qui optent pour le parrainage citoyen tout comme ceux qui seront parrainés par des élus vont renseigner essentiellement des données personnelles. L’expert en cybersécurité, Babacar Charles Ndoye alerte sur l’utilisation finale de ces données collectées et donne des recommandations aux candidats à la candidature.
Candidat à la Présidentielle de 2024, Boubacar Camara propose, selon ses termes...
Tout a commencé le 07 juillet 2021.
Les producteurs de riz de Matam alertent sur les menaces qui pèsent sur l’approvisionnement en engrais, surtout pour l’Urée dans la région.
Tivaouane dément les informations selon lesquelles elle serait en colère à cause du placement sous mandat de dépôt de Khalifa Sall. La Cellule de communication de la Zawiya Tidiana dans un communiqué exploité par Enquête apporte la rectification. Mais, confirme toutefois l’appel téléphonique de Serigne Abdoul Aziz Sy Al Amine au président Macky Sall.
Après plus de deux ans de relations heurtées suite à une série de violences entre ressortissants mauritaniens et sénégalais et des relations diplomatiques rompues, les deux pays limitrophes ont décidé à nouveau de coopérer. Le 23 avril 1992, leurs relations diplomatiques, rompues en août 1989, sont reprises. Chacun des deux pays rouvrant son ambassade.La rupture de leurs relations diplomatiques est consécutive à des violences inouïes entre les deux pays déclenchées en avril 1989.Le 9 avril 1989, à Diawara (localité du Sénégal oriental), des bergers peulhs mauritaniens et des paysans soninké Sénégalais ont eu un accrochage. Selon des informations relatées par la presse sénégalaise en son temps,
Il n’a pas perdu cette verve qui a construit sa réputation. Youssou Touré, coordonnateur national des enseignants de l’Apr, analyse la situation du pays sous plusieurs angles. S’il voit le remaniement comme une nécessité, il persiste à signer que le mécontentement est général et généralisé. Nommé pourtant Pca de la Bhs, il soutient mordicus qu’il est aussi frustré.
Au niveau de l’Apr, sa visibilité n’est pas vue que d’un bon œil. Aussi, pour être conséquent avec lui-même, Mahmoud Saleh a décidé de rallier la formation de Macky Sall. Mais, pas pour l’accompagner dans un processus de retour au Pds. Sur ce point, Saleh est catégorique : un retour n’est pas envisageable. Même pas en songe ! De tous ces points ainsi que du dialogue politique, le nouveau ‘républicain’ nous entretient dans cette seconde et dernière partie de l’interview qu’il nous a accordée.
Le 9 avril 1989, Diawara (localité du Sénégal oriental) devient le théâtre d'un nouvel accrochage entre des bergers peuls mauritaniens et des paysans soninké Sénégalais. Selon des informations relatées par la presse sénégalaise, l'armée mauritanienne avait intervenu. Deux Sénégalais sont tués, plusieurs grièvement blessés, et une douzaine retenus en otages. Le ministre d'alors André Sonko prend ouvertement position en déclarant dans le journal "Le Soleil" du 17 avril 1989 que "trop c'est trop".
Ce qui, il n’y a pas longtemps encore, n’était que rumeur semble aujourd’hui devenir réalité, même si le représentant de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) au Burkina Faso, Yarcé Boukaré Pafadnam, refuse toujours d’y croire. A la surprise générale, il y a eu d’abord Madagascar. Aujourd’hui, c’est le Sénégal, lequel abrite d’ailleurs le siège de l’institution, qui a décidé de quitter le navire ASECNA, suscitant ici comme ailleurs un tonnerre d’indignation et de désapprobations. Oui, il s’agit bien de la Grande Ile et surtout du Sénégal de Me Abdoualaye Wade, ce chantre de l’intégration africaine et apôtre des Etats-Unis d’Afrique.
« On ne peut pas à l'instant où nous sommes, garantir des forces de sécurité pour encadrer une marche pacifique et préparer en même temps la mobilisation de ces troupes pour la bonne tenue de la campagne électorale ». C'est en ces termes que le ministre de l'Intérieur s'est adressé à la presse hier lors d'une rencontre qui a lieu dans ces locaux. En effet faisant allusion à la manifestation que les partis de l'opposition ont décidé de remettre le vendredi prochain, Me Ousmane Ngom s'est voulu clair : « Nous serons intransigeants par rapport à la loi si cette marche est interdite ».