Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Invité de l’émission "Seneweb Eco" du dimanche 31 août 2025, sur Seneweb TV, le président du Conseil national des entreprises du Sénégal (CNES), Babacar Diagne, a dressé un état des lieux des difficultés auxquelles fait face le secteur privé national.
Ce vendredi, le premier ministre Ousmane Sonko a présidé une réunion interministérielle sur la situation de la Sonacos. Le chef du gouvernement a assuré aux différents acteurs, que l’Etat continuera à soutenir l’entreprise. Mais, il veut, au-delà de tout, tirer au clair les conditions de privatisation et de reprise de l’entreprise.
Face aux difficultés (dette fiscale, perte d’emploi, détérioration des conditions de travail des journalistes, fermeture de certains médias) qui étouffent les entreprises de presse, le président du Conseil des diffuseurs et des éditeurs de presse au Sénégal (CDEPS), Mamadou Ibra Kane, déclare que les entreprises de presse doivent revoir leur modèle économique. À ce sujet, il présente quelques pistes de solution.
Malgré une expertise reconnue à l’échelle continentale, les entreprises sénégalaises du BTP peinent à s’imposer dans l’exécution des projets publics, 70 % des marchés publics leur échappant. Selon Abdel Kader Ndiaye, président du Syndicat national des entreprises du bâtiment et des travaux publics du Sénégal (SNBTP), certains donneurs d’ordre freinent leur accès à la commande publique au profit de majors étrangers.
GSIE TECHNOLOGY, entreprise sénégalaise de services numériques fondée en 1996 par l’ingénieur Antoine Ngom (École Centrale de Paris), a formellement démenti ce samedi toute connexion avec M. Badara Gadiaga, suite à des rumeurs circulant sur internet. « Ce lien est totalement infondé », affirme l’entreprise, qui œuvre depuis près de trois décennies à structurer le secteur numérique au Sénégal et dans l’UEMOA, notamment via une plateforme technique d’accompagnement des institutions de microfinance (IMF) pour l’inclusion financière.
Serigne Mboup, repreneur de la société de textile Domitexka Saloum, dans la commune de Kahone, et les travailleurs de l'unité industrielle sollicitent l'intervention de l’État pour sauver l’entreprise qui a un passif de 700 millions F CFA du par les pouvoirs publics. Un passif qui plombe l’entreprise, en dépit de plusieurs milliards investis pour relancer l'unité industrielle.
Les employés d’Africa Gold, une entreprise minière établie à Kharakheyna et Kolia dans la commune de Bembou ne supportent plus les retards récurrents du paiement de leurs salaires et les chômages techniques devenus la règle au sein de leur entreprise.
Développant son intervention sur la compétitivité des entreprises artisanales face aux marchés publics, Saloum Ndiaye a mis l’accent sur les contraintes majeures, notamment les difficultés d’accès des entreprises artisanales à la commande de l’État. Sur ce point, M. Ndiaye a insisté sur l’amélioration et l’évolution du niveau de formalisation des PME qui, selon lui, constituent la principale contrainte.
Les travaux de la 5ème édition des Journées de la Mise à Niveau des entreprises du Sénégal se poursuivent sur le thème : « La mise à niveau des entreprises : levier essentiel pour la compétitivité, la création d'emplois et la souveraineté économique du Sénégal »
À la date du 29 novembre, l’État du Sénégal ne reconnaît que 112 entreprises en conformité avec les dispositions du Code de la presse. Parmi elles, les journaux ne sont qu’au nombre de quatorze (14). Pourtant, quotidiennement, c’est une vingtaine de « Une » qui sont lues et partagées sur les réseaux sociaux. À interroger ces chiffres, l’on se demande comment s’en sortent financièrement ces entreprises de presse écrite ? Entre le modèle économique jugé obsolète et la multiplication des sites d’informations en ligne, quel avenir pour la presse écrite sénégalaise ?
En Guinée Bissau pour échanger sur le développement de nos Petites et Moyennes Entreprises (PME) qui composent l’essentiel du tissu économique de nos pays respectifs, Ibrahima Thiam, secrétaire d’état aux Pme Pmi est longuement revenu sur la place des Petites et moyennes entreprises dans l’écosystème des économies africaines.
Le secteur des paiements électroniques en Afrique connaît une évolution fulgurante, et le Sénégal n’est pas en reste. Acteur majeur de cette révolution, HPS (Hightech Payment Systems) se distingue aujourd’hui comme l'une des trois plus grandes entreprises mondiales en matière de solutions de paiement. Fondée en 1995, cette entreprise 100% africaine déploie ses technologies dans plus de 95 pays, y compris en Afrique de l’Ouest, où le Sénégal occupe une place stratégique.
Le secteur des paiements électroniques en Afrique connaît une évolution fulgurante, et le Sénégal n’est pas en reste. Acteur majeur de cette révolution, HPS (Hightech Payment Systems) se distingue aujourd’hui comme l'une des trois plus grandes entreprises mondiales en matière de solutions de paiement. Fondée en 1995, cette entreprise 100% africaine déploie ses technologies dans plus de 95 pays, y compris en Afrique de l’Ouest, où le Sénégal occupe une place stratégique.
Le secteur des paiements électroniques en Afrique connaît une évolution fulgurante, et le Sénégal n’est pas en reste. Acteur majeur de cette révolution, HPS (Hightech Payment Systems) se distingue aujourd’hui comme l'une des trois plus grandes entreprises mondiales en matière de solutions de paiement. Fondée en 1995, cette entreprise 100% africaine déploie ses technologies dans plus de 95 pays, y compris en Afrique de l’Ouest, où le Sénégal occupe une place stratégique.
Le gouvernement malien a récemment dévoilé une initiative importante, l'allocation de 200 milliards de FCFA pour rembourser une partie de la dette intérieure d'ici le 31 décembre 2024. Cette décision, largement saluée par les opérateurs économiques et les entreprises locales, intervient dans un contexte économique marqué par des défis budgétaires complexes et un besoin pressant de soutien pour les petites et moyennes entreprises (PME).
Un incendie s'est déclaré ce matin, vers 11h30, dans les locaux de l'Agence Principale Commerciale de Ouakam, a rappelé la Senelec dans un communiqué. Selon l’entreprise, « l'incendie a été rapidement maîtrisé par les soldats du feu », ce qui, selon l’entreprise, a permis de limiter l'ampleur des dégâts, qui sont uniquement matériels.
Le ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique a fait le point sur la situation dans le secteur des médias. Sur la dette fiscale des entreprises de presse, la tutelle a révélé la liste des principaux détenteurs de cette dette. Le Groupe futurs médias (GFM) détient 40 % de la dette fiscale des entreprises de presse, suivi de la Radiodiffusion télévision sénégalaise avec 28 % et du groupe Dmedia avec 11 %.
Suite à la publication d’un appel à financement destiné aux petites et moyennes entreprises, à la date du 21 avril 2024, le ministère de l’Industrie et du Commerce « précise », à travers un communiqué publié ce vendredi 17 mai, «qu'aucune opération de financement d'entreprises n'a été lancée». Les internautes sont, ainsi,invités à ne pas donner suite à cette annonce.
Ce lundi, le président Macky Sall a reçu des acteurs de la presse et a annoncé l'effacement de toutes les dettes fiscales des entreprises de presse pour toute la période antérieure au 31 décembre 2023, comprenant également les redevances dues par les entreprises de presse à l'ARTP.
Ce lundi, le président Macky Sall a reçu des acteurs de la presse et a annoncé l'effacement de toutes les dettes fiscales des entreprises de presse pour toute la période antérieure au 31 décembre 2023, comprenant également les redevances dues par les entreprises de presse à l'ARTP.