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A quelques encablures de l'élection présidentielle de février 2019, on peut affirmer sans risque d'être démenti que la situation nationale du Sénégal est marquée par une crise sans précédent dans tous les domaines plus particulièrement aux plans économique, social et politique.
Samba lampsar SALL Vendredi 7 Avril 2006 Vendredi 7 Avril 2017, 11 ans déjà En ce vendredi 7 Avril 2006, tout le Sénégal s’est réveillé sous le choc.
Il aurait eu 39 ans en 2017. Il s’appelait Samba Lampsar Sall et a été tué à l’âge de 28 ans. Onze ans après sa mort, la condamnation de ses 14 assassins apparaît comme le symbole d’une lutte anti raciste en Russie où les Africains vivent dans l’oppression.
Le 7 avril 2006, un jeune étudiant de 28 ans du nom de Samba Lampsar Sall, avait été assassiné à Saint-Pétersbourg, en Russie. Il venait de terminer ses études d'ingénierie en télécommunication et s'apprêtait à rentrer au bercail.
Défense des polygames, rejet de la discrimination raciale, corruption d’un fonctionnaire du FMI, immigration, entre autres thèmes de société dont traite « Altercultures », le nouvel opus de l’écrivain sénégalais Asmalick Ndiaye, natif de la Casamance et professeur de littérature, langues et cultures francophones à l’université de Columbia à New York. Publié aux éditions Phoenix et préfacé du professeur Souleymane Bachir Diagne, l’ouvrage sera dédicacé ce samedi 25 juin à la librairie Athéna à Dakar.
Le verdict sur l’affaire du jeune étudiant sénégalais en télécommunications, assassiné en Russie en 2006, est tombé avant-hier, avec un goût d’inachevé. Des condamnations, il y en a certes eu, même la perpétuité a été prononcée. Seulement, le cerveau de cet assassinat court toujours.
Surprise et déception. Deux mots qui reviennent souvent dans la bouche du père de Samba Lampsar Sall, cet étudiant sénégalais, ingénieur en télécommunication à l’âge de 28 ans, assassiné à Saint-Pétersbourg, en Russie, le 7 avril 2006
Il y a six ans, jour pour jour, l’étudiant sénégalais Samba Lampsar Sall, en fin de formation pour l’obtention d’un diplôme d’ingénieur en télécommunication, a été assassiné par un groupe de jeunes d’extrême droite, dans la ville de Saint-Pétersbourg, en Russie.
L’affaire Samba Lampsar Sall, ce jeune étudiant sénégalais assassiné froidement à Saint-Pétersbourg (en Russie) en avril 2006, refait surface. Alors que le procès est dans sa dernière ligne droite avec le début des plaidoiries prévu ce 13 janvier, des sources proches de la famille du défunt font état de leur inquiétude face au mutisme des autorités sénégalaises qui ne les informent plus de l’évolution de la situation.
Ouvert le 1er juin dernier, le procès de Samba Lampsar Sall, du nom du jeune sénégalais étudiant en télécommunications, tué le 7 avril 2006 en Russie, suit son cours. En attendant le verdict attendu au mois de septembre prochain, la maman du défunt, Fatou Diop Sall, qui a répondu à une convocation du juge, a bien voulu témoigner pour le Soleil. L’audition de Mme Sall a été articulée autour de la vie de son défunt fils. Dans une ambiance tendue et devant juges, jurés, prévenus, avocats (dont 15 pour les prévenus), Mme Sall a laissé entendre qu’elle est largement revenue sur le parcours de son défunt fils.
Quatorze jeunes russes d’extrême droite comparaîtront, à partir de lundi prochain, devant la Cour d’assises de Saint-Pétersbourg pour répondre de l’assassinat de Samba Lampsar Sall, un jeune étudiant sénégalais en télécommunications tué, le vendredi 7 avril 2006, dans cette ville située dans le nord-ouest de la Russie. Sur le banc des accusés, le skinhead qui l’a abattu d’une balle dans la tête. Trois ans après l’assassinat à Saint-Pétersbourg de l’étudiant sénégalais en télécommunications, Samba Lampsar Sall, ses meurtriers passent en jugement.
L'Etat du Sénégal s'est constitué partie civileAprès deux ans d’instruction, l’enquête judiciaire sur le meurtre de l’étudiant sénégalais Samba Lampsar Sall à Saint-Pétersbourg est sur le point d’être bouclée. Ses présumés meurtriers seront bientôt jugés. L’acte d’accusation traduisant les quatorze militants de l’extrême droite russe, arrêtés dans le cadre de l’assassinat de l’étudiant sénégalais Samba Lampsar Sall, en dernière année de télécommunications, à Saint-Pétersbourg, le 7 avril 2006, devrait être déposé le 9 décembre et le procès s’ouvrir quinze jours plus tard. Ces présumés meurtriers de Samba Lampsar Sall seront jugés en Cour d’assises pour répondre de leur acte odieux qui avait choqué les Sénégalais, mais également toute la communauté internationale.
7 février 2006-7 février 2008. Voilà deux ans que le jeune étudiant sénégalais, Samba Lampsar Sall, a été froidement abattu dans la seconde ville russe : Saint-Pétersbourg. Plus meurtris que jamais, les parents du brillant étudiant sénégalais, vers qui nous sommes allés, attendent l’ouverture du procès, maintenant que l’instruction du dossier est close et 14 personnes interpellées. Ils veulent simplement que justice soit rendue. Leur quotidien est à jamais affecté, mais ils se remémorent avec bonheur du souvenir impérissable du « bon garçon » et semblent quittes avec eux-mêmes d’avoir donné à l’enfant le meilleur des présents : une bonne éducation
Le vendredi 7 avril 2006, Samba Lampsar Sall, un jeune étudiant en télécommunications, a été abattu à Saint-Pétersbourg (en Russie) par des inconnus, d'une balle dans la tête, alors qu'il sortait d'une manifestation d'étudiants dans une boîte de nuit. La police et le parquet de la ville qui mènent l'enquête ont évoqué l'hypothèse d'un assassinat à caractère raciste. Quelque 18 mois après cet assassinat, des sources bien informées renseignent que l’instruction est bouclée depuis le 29 août dernier. ‘La date du procès va être fixée incessamment’, ajoutent-elles. Ces sources saluent la célérité dont a fait montre la justice russe pour le traitement de cette affaire qui, on se le rappelle, avait fait grand bruit et avait été largement médiatisée. S’il en a été ainsi, c’est qu’elle suscite, également, beaucoup d’intérêt dans les milieux universitaires et intellectuels russes. Elle est, également, suivie de très près par l’Ong de défense des droits de l’homme, Amnesty International.
Samedi prochain, cela fera un an, jour pour jour, que le jeune étudiant Samba Lampsar Sall tombait sous les balles de militants de l'extrême droite russe. Son père qui était, hier, dans nos locaux, a voulu nous faire le point de l'enquête. Du moins, de ce qu'il peut en dire sans violer le secret de l'instruction. 7 avril 2006-7 avril 2007. Dans cinq jours, le Sénégal se souviendra de l'assassinat du jeune étudiant Samba Lampsar Sall. L'affaire, on se le rappelle, avait fait grand bruit et avait été largement médiatisée.
Assassiné dans les rues de St-Petersbourg vendredi dernier, Samba Lampsar Sall rejoint les siens aujourd’hui. Second fils de ses parents, il a été tué par balle par des éléments d’un mouvement raciste russe. Il est 13 heures. Nous sommes à Sacré cœur III plus précisément chez la famille Sall. Une maison grouillante de monde. À l’entrée, un homme nous accueille, c’est un membre de la famille. Il nous conduit chez la maîtresse des lieux. Mme Fatou Diop Sall est la mère de l’étudiant sénégalais Samba Lampsar Sall assassiné à St Petersbourg en Russie le vendredi dernier. Elle est professeur de Russe au lycée Blaise Diagne. Emmitouflée dans un foulard, les yeux embués de larmes, elle nous reçoit dans la salle d’attente.
MOSCOU 10/04 (BELGA/AG) = Un homme de 28 soupçonné d'avoir tué vendredi un étudiant sénégalais à Saint-Pétersbourg a été arrêté dans la deuxième ville de Russie. Samba Lampsar Sall, étudiant en télécommunications, avait été tué d'une balle dans la tête alors qu'il sortait, avec un groupe d'Africains, du club Apollo, une boîte de nuit où était organisée une fête estudiantine. Il avait été abattu par des inconnus munis d'un fusil à pompe orné d'une croix gammée, selon un représentant du Parquet de Saint-Pétersbourg. S'exprimant quelques heures après le meurtre, ce dernier a estimé que la haine raciale était le mobile le plus probable.
Samba Lampsar Sall, 28 ans, étudiant en télécommunications, de nationalité sénégalaise, a été tué ce vendredi matin, en pleine rue à Saint-Pétersbourg. D’après les premiers éléments de l’enquête, les meurtriers auraient utilisé un fusil à pompe orné d’une croix gammée, symbole nazi. Cet assassinat s’ajoute à une liste de plus en plus longue. Les étrangers affirment être victimes d’actes racistes à répétition, notamment dans cette ville russe. Les organisations de défense des droits de l’Homme dénoncent l’impunité dont bénéficient souvent les auteurs de ces violences, qui s’inspirent parfois ouvertement des thèses néo-nazies.
Le gouvernement du Sénégal a condamné samedi l'assassinat vendredi d'un étudiant sénégalais, Samba Lampsar Sall, dans la ville russe de Saint-Pétersbourg, et exigé une punition des auteurs du crime, indique un communiqué officiel. "Le gouvernement du Sénégal condamne avec force cet acte criminel qui serait le fait de groupe d'obédience raciste", note le texte signé du ministère sénégalais des Affaires étrangères. Le Sénégal "exige que toute la lumière soit faite sur cette affaire et que les auteurs de ce crime soient recherchés, poursuivis et sévèrement sanctionnés".
Un étudiant sénégalais a été tué vendredi matin en pleine rue par des inconnus munis d'un fusil à pompe ornée d'une croix gammée. Un nouvel épisode dans la série d'agressions racistes qui frappe la deuxième ville de Russie. Samba Lampsar Sall, un étudiant en télécommunications originaire du Sénégal, a été tué d'une balle dans la tête alors qu'il sortait d’une boîte de nuit où était organisée une fête estudiantine. Les policiers ont indiqué avoir retrouvé l'arme présumée du crime: un fusil à pompe orné d'une croix gammée. « En raison de l'absence apparente de raison pour ce crime, nous considérons que le mobile est la haine raciale », déclaré le vice-procureur de Saint-Pétersbourg.
