Gabriel Alexandre Sar, ancien ambassadeur du Sénégal au Royaume Uni et au Japon, s’est paisiblement éteint après avoir lutté contre une maladie qui...
il y a 2 ans
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Gabriel Alexandre Sar, ancien ambassadeur du Sénégal au Royaume Uni et au Japon, s’est paisiblement éteint après avoir lutté contre une maladie qui...
La décision du Président Macky Sall de ne pas se présenter aux élections présidentielles de 2024 continue à être magnifiée.
La décision du Président Macky Sall de ne pas se présenter aux élections présidentielles de 2024 continue à être magnifiée.
Dans une lettre ouverte adressée à son "ami et frère" Aliou Sall, Yakham Mbaye descend en flammes Moustapha Diakhaté. Sans le nommer. Le qualifiant d'"insulteur" et de "félon". Dont il faudra se méfier et contre qui il faudra livrer bataille. Seneweb vous propose l'intégralité de la correspondance du secrétaire d'État à la Communication qui, pour s'adresser au maire de Guédiawaye, a troqué son titre officiel contre celui de "citoyen sénégalais".
Depuis plus de trois décennies il anime, des conférences religieuses avec une méthodologie et un style uniques. Il est un redoutable dialecticien doté d’une vaste culture et d’un esprit ingénieux qui, à travers l’Université du Ramadan dont il est le Recteur et le Professeur attitré, l’amènent à façonner son auditoire et à faire passer son message tiré de l’enseignement du Prophète, de Cheikh Ahmed At Tidjani, de Seydi Hadji Malick Sy , Serigne Babacar Sy et de son père. Regard sur un Meneur de foule qui impressionne.
C’était il n’ y a pas longtemps, le lundi 28 juillet 2008 , le Républicain, l’Homme d’Etat, l’Homme politique, le Mystique et l’Humaniste s’éteignait. Il fut Prince et Dieu sait que tout en lui indiquait le possesseur légitime d’un charisme inné et d’un héritage royal qu’il n’a jamais trahi. Il s’appelait Mansour Ndiaye, du nom Serigne Mansour Sy , l’aîné de Sokhna Safiétou Niang, Princesse du Djiolof et épouse de Seydi Hadji Malick Sy. Mais on l’appelait Mansour Ndiaye Bouna, le nom de son père, Bouna, demeurant inextricable à sa personnalité.
Ce qui s’est passé la semaine dernière à Touba devrait inquiéter, et susciter plus qu’un simple agacement. Un chef d’Etat, soit-il le mieux élu, n’a pas le droit de puiser dans le parc automobile de l’Etat pour contenter son marabout. Je ne veux pas m’attarder sur les conditions dans lesquelles ces « huit-cylindres » pimpantes ont été offertes, puis rachetées par l’Etat dans des conditions douteuses. Mais j’imagine la détresse de tous ces chefs religieux qui regardent, impuissants, le spectacle que ce troubadour de président leur offre.
Il est arrivé rarement, ces 7 dernières années, qu’une mesure rende pareil bonheur à vos sujets. Vous avez « décidé » de baisser le prix du riz de « 10% ». J’ai, dois-je avouer, cédé au lyrisme ambiant qui l’a accompagné. Je me suis dit que pour une fois, le souverain remplit sa fonction, son cœur bat au même rythme que celui de son peuple. Un grand moment d’exaltation, alors qu’une grogne sourde et une vague de scepticisme s’emparent du pays, portées par les professionnels du dénigrement. Je ne vous aurais pas dérangé de votre sommeil, croyez-moi, si ce n’était pour vous féliciter de cette opération de secours en Sénégal land.
Dans son roman paru au début de l'année 2007, "Le stagiaire, roman d'un président de la République", Babacar Sall décrit une scène dans laquelle les ministres du président de la République lui font allégeance. De la pure fiction décrite avec un réalisme surprenant, et qui se découvre comme une réalité avec la dernière prestation de serment des ministres de la République. Senewebnews vous propose en exclusivité les passages de ce roman publié aux éditions L'Harmattan
