C’est officiel ! Le Domaine agricole communautaire (Dac) de Keur Momar Sarr (Louga) est prêt à accueillir ses pensionnaires
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C’est officiel ! Le Domaine agricole communautaire (Dac) de Keur Momar Sarr (Louga) est prêt à accueillir ses pensionnaires
La 8ème revue du Programme d’amélioration de la qualité, de l’équité et de la transparence (PAQUET) du secteur de l’éducation et de la formation s’est tenue...
Economiste, enseignant-chercheur à l’université de Thiès, Dr Elhadji Mounirou NDIAYE a publié un nouveau livre. Dans cet ouvrage intitulé «Quelles aternatives socio-économiques au Sénégal: une contribution programmatique»
Dans son ouvrage à paraître, « Sénégal : thérapie pour un pays blessé» (Harmattan), Cheikh Bamba Dièye relève plusieurs points noirs de la gestion de Macky Sall. Il pointe l’absence de cap clair. Il dit : «J’ai toujours considéré que l’Etat du Sénégal n’a pas de programme de développement.
Les résultats d’une étude menée par une équipe de chercheurs au Sénégal démontrent que les transferts d’argent reçus des migrants affaiblissent la participation des ménages bénéficiaires au marché du travail.
Le leader du parti dénommé “Patriote du Sénégal pour le travail, l'éthique et la fraternité” (Fastef), par ailleurs inspecteur des Impôts et Domaines et longtemps secrétaire général du syndicat dudit corps, pense que le Plan Sénégal émergent (Pse) est un leurre.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la vision du Chef de l’Etat, le Gouvernement du Sénégal a élaboré en Novembre 2012, la Stratégie Nationale de Développement Economique et Social (SNDES) pour la période 2013-2017. Cette stratégie s’inscrit dans le cadre de la volonté politique visant à mettre le Sénégal sur la rampe de l’émergence.
2017 ! Ce chiffre figure dans la quasi-totalité des programmes et projets du président Macky Sall. Dans l’économie, le social, l’éducation, les infrastructures comme l’énergie, la fin de mandat du chef de l’Etat semble être la date butoir de presque toutes les initiatives. Macky est-il à la recherche de ce que Pathé Diagne appelle un ‘’bilan de rééligibilité’’.
Ousmane SONKO, le président des patriotes du Sénégal pour le Travail et la Fraternité (PASTEF) a déploré, samedi, la fuite des cadres sénégalais de la sphère politique en indiquant que cette situation est la cause de « la médiocrité ambiante du débat politique ».
Quelque 5, 3 milliards de francs CFA ont été dégagés du budget 2014 pour financer directement des programmes visant à améliorer la qualité de l'enseignement dans les écoles publiques sénégalaises, a indiqué, lundi à Dakar, le directeur de la planification et de la réforme de l'éducation, Djibril Ndiaye Diouf.
Le Programme Sénégal Émergent (Pse) présenté au Groupe Consultatif de Paris présente quelques failles. Invité dans l’émission ActuShow sur la 2Stv, l’économiste Mounirou Ndiaye a vertement critiqué le PSE.
Le Plan Sénégal émergent (Pse), et particulièrement sa mise en oeuvre n’en finit pas de susciter un vrai débat. Le ministre du Plan,Abdoulaye Baldé «Bibi», sort de sa réserve pour expliquer et justifier les raisons pour lesquelles la gestion du Pse devrait revenir à son département. Même s’il ne tape sur la table il reconnaît volontiers que le dernier mot revient au chef de l’Etat. Le ministre argumente et raconte par la même occasion son installation au ministère du Plan ainsi que les actions qu’il a déjà entreprises.
Dans le cadre des échanges sur le Plan Sénégal émergent (Pse), Mouhamadou Makhtar Cissé, ministre délégué chargé du Budget rencontrait hier, les membres du Conseil économique, social et environnemental (Cese) et les élus locaux. Une occasion pour ces derniers de demander à être impliqués dans le suivi-évaluation du plan.
Les organisations de la société civile (OSC) du Sénégal ont déploré, jeudi à Dakar, leur non implication dans l’élaboration du Plan Sénégal émergent (PSE) qui sera présenté lors de la tenue du groupe consultatif de Paris prévue les 24 et 25 février prochains.
Le ministre de l’Economie et des Finances Amadou Bâ a invité vendredi à Dakar les partenaires techniques et financiers (PTF) à rester mobilisés pour la recherche du financement additionnel nécessaire à la mise en œuvre des programmes de développement du Sénégal, en contrepartie de l’engagement du gouvernement à veiller à la Bonne gouvernance et à l’efficacité des politiques publiques.
La mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE) devrait se traduire par un décollage économique du Sénégal entre 2014 et 2018, avec un taux de croissance moyen de 7 à 8 % qui conduirait le pays vers l’expansion économique avant 2035, a indiqué, vendredi à Dakar, le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Bâ.
Un discours de fin d’année devrait être avant tout, un bilan officiel sur l’état de la Nation, décliné au plan économique, social, culture, et au plan de sa sécurité intérieure et extérieure, afin de mettre l’accent sur les principaux défis auxquels le pays aurait à faire face durant l’année nouvelle qui pointe à l’horizon, et les voies et moyens qu’il faudrait mettre en œuvre pour les relever.
Les 2,5 milliards que ce plan aura coûtés sont passés par pertes et profits, et le gouvernement a chargé l’administration sénégalaise de réfléchir à marches forcées à un autre plan de remplacement. Ce dernier devra toutefois intégrer les éléments positifs de la Sndes et du Pse, pour ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Surtout que l’eau aura coûté si cher.
Dans 70 jours, le Sénégal sera devant les bailleurs de fonds du Groupe consultatif de Paris. En prélude à cet événement important, un Conseil présidentiel s’est tenu hier sur le suivi des politiques publiques.
Le taux de croissance projeté à 4,6% en 2014 autorise une amorce correcte de la stratégie d’émergence économique du Sénégal, a déclaré lundi à Dakar le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Bâ.