Le Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal (Snttrs/Cnts) n'en peut plus.
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										Le Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal (Snttrs/Cnts) n'en peut plus.
 
										Le Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal (Snttrs/Cnts) n'en peut plus.
 
										La Coordination des professionnels des transports routiers du Sénégal (CPTRS) a appelé, jeudi, les pouvoirs pouvoirs publics sénégalais à ramener à 550 francs CFA le prix du carburant, actuellement de 795 et 835 francs CFA respectivement pour le gasoil et le diesel.
 
										 Le gouvernement et le Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal (SNTTRS/CNTS) entament dans l’après-midi leurs réunions de concertation destinée à "réfléchir de manière approfondie sur les doléances des syndicalistes", a appris l’APS de source officielle, jeudi.
 
										Conformément aux décisions de la rencontre, issues de la première rencontre du mardi 20 aout 2013 entre le Gouvernement et le Syndicat National des Travailleurs des Transports Routiers du Sénégal (SNTTRS), affilié à la CNTS, les six (06) commissions mises en place pour réfléchir de manière approfondie sur les doléances des syndicalistes, ont été mises en place.
 
										C'est le quotidien Libération qui rapporte ce matin un fait pour le moins cocasse qui s’est produit, hier, lors de la rencontre entre le ministre des Infrastructures et des Transports, et les syndicats des transporteurs.
 
										Le ministre de l’Equipement, des Infrastructures et des Transports, Thierno Alassane Sall, a annoncé, mardi, la mise en place de six commissions chargées, dans un délai de trois semaines, de trouver des solutions approfondies aux problèmes du transport.
 
										 La grève des transporteurs, à l'appel du Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal (SNTTRS), est largement relayée par les quotidiens dont certains reviennent dans le même temps sur la décision des grévistes de suspendre leur mouvement en attendant la reprise des négociations
 
										L’Etat, après l’ouverture de la gare routière les Baux maraîchers, va trouver le moyen d’assurer l'insertion économique des rabatteurs, communément appelés "coxeurs" ainsi que des autres intermédiaires, a indiqué lundi le directeur des transports routiers, Elhadji Seck Ndiaye Wade. 
 
										Video. GREVE DES TRANSPORTEURS : Les charrettes nouveaux moyens de transports à Dakar
 
										Depuis ce lundi 12 août 2013, le Syndicat National des Travailleurs des Transports Routiers du Sénégal (SNTTRS/CNTS) dirigé par M. Alassane Ndoye, observe une grève de 48 heures, sur l’ensemble du territoire national.
 
										Le mot d’ordre de grève des chauffeurs et transporteurs de la région de Sédhiou a paralysé la mobilité urbaine et interurbaine.
 
										Le transport urbain et inter-urbain est paralysé à Dakar et dans plusieurs localités du Sénégal, lundi matin, en raison d'une grève de 48 heures à l'appel du syndicat des transporteurs affilié à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS), ont constaté les reporters de l'APS.
 
										 La grève dans les transports, la fin de l’administration provisoire à Dubaï Port World (DPW) Dakar et les révélations sur la société Add-Value Finance qui administre provisoirement Aviation handling service (AHS) sont traités en priorité par les journaux reçus à l’APS, lundi.‘’Alassane Ndoye et cie veulent paralyser le transport’’,
 
										L’annonce d’une grève les 12 et 13 août par le Syndicat national des transports routiers du Sénégal (Snttrs) ne semble point ébranler la tutelle. Le ministre des Infrastructures et des Transports Thierno Alassane Sall estime au contraire, dans le journal L’Enquête de ce lundi, que « l’Etat ne doit pas accepter qu’il y ait des organisations qui imposent leur loi ». Parce que ce prochain mouvement d’humeur, ne relève que de la volonté d’individus et de groupes de manifester leur colère, liée au fait qu’on ne les ait pas associés à la gestion de la nouvelle gare des Baux Maraîchers.
 
										Les chauffeurs routiers sénégalais, qui en ont assez de verser des pots-de-vin aux postes de contrôle de la police malienne, commencent à se révolter. Samedi, les transporteurs sénégalais, excédés, ont décidé de bloquer dans la ville de Kidira, au Sénégal, l’unique route qui mène au Mali. Ils ont ainsi exprimé leur solidarité avec leurs collègues blessés quelques heures auparavant lors de heurts avec la police malienne au poste de contrôle de Diboli, une ville située juste de l’autre côté de la frontière.