Voici qu'arrive le moment tant redouté pour les parents aux revenus modestes. La rentrée scolaire montre le bout de son nez en ce début du mois d'octobre au Sénégal, coïncidant, pour ne rien arranger à l'affaire, avec la fête de Tabaski (mi-octobre).
L'Enquête de faire remarquer qu'entre les inscriptions et l'achat de fournitures scolaires à côté, l'acquisition du mouton (une obligation pour ceux qui en ont les moyens) et des habits de l'autre, les Gorgorlus, étranglés par la chaleur, le manque d'eau et d'électricité, risquent de s'arracher les cheveux (s'il leur en reste bien entendu) et de finir boule à zéro. Ou de troquer les " cheveux naturels " de leurs dames, si les vendeurs de moutons en veulent pour les leurs.
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