Le président du Comité Sénégalais des Droits de l’Homme est pour la dépénalisation du délit de presse, parce que « les journalistes doivent être protégés dans le cadre de leur travail ». Alioune Tine l’a dit à la radio privée Rfm et regrette que les députés n’aient pas voté le nouveau code de la presse.
Commentaires (0)
Participer à la Discussion