Pour ses concitoyens de Louga, Abdou Diouf est définitivement et depuis toujours « un brillant élève, un homme sérieux, un travailleur infatigable, un être serein...
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Pour ses concitoyens de Louga, Abdou Diouf est définitivement et depuis toujours « un brillant élève, un homme sérieux, un travailleur infatigable, un être serein...
Dans «La Mecque de l’islam noir», la religion régit tout et tout le monde. Pour ceux qui veulent boire, fumer ou danser, il suffit de passer dans la ville voisine pour se retrouver dans un autre monde.
Le leumbeul trés hot de Kiara à la Soiree « taille basse » de Ngone Ndiaye Gueweul Regardez
Ce n’était plus un secret pour personne. Entre Fatou Laobé et Ngoné Ndiaye Guewel ça n’a jamais été la grande amitié. Les deux dames qui excellent toutes dans la danse du « Leumbeul » ne se sont jamais appreciées. Pis les deux artistes ne rataient d’ailleurs jamais l’occasion de se lancer des piques s’autoproclamant chacune de son côté « reine du leumbeul ».
Photos. Soiree "taille basse" avec Ngone Ndiaye Gueweul
La tenue taille basse sera à l'honneur le 19 avril au théâtre national Daniel Sorano pour une soirée dénommée « Nuit de la taille basse », initiée par l'artiste Ngoné Ndiaye Guéwel.En répétition depuis quelques jours, l'ex-femme de Pipo Diop compte marquer d'une pierre blanche cet événement, le premier du genre sur la scène musicale, précise Le Populaire.Ngoné Ndiaye Guéwel veut offrir à son public une soirée très spectaculaire. « Ce sera du super ‘mbéraye’, c’est tout un arsenal où va coexister le moderne et le traditionnel », dit-elle en précisant que « toutes les sonorités vont cohabiter, ce sera une nuit d'enfer.
Le tribunal des flagrants délits de Dakar a jugé, hier, une affaire de détournement de mineure, viol collectif avec séquestration et de recel. La victime S. O. Sylla est une fugueuse et est en prison pour vol au préjudice de sa patronne, depuis le 25 janvier. Les prévenus risquent des peines allant de 2 ans, dont 6 mois ferme à 5 ans de prison. Les faits se sont déroulés le 12 janvier dernier au complexe culturel Léopold Sédar Senghor de Pikine.
À quelques encablures de la fin des vacances scolaires, les jeunes ziguinchorois se bousculent devant les boîtes de nuit de la capitale du Sud, histoire de se la couler douce, le temps d'une soirée. Et la pluie n'altère en rien la volonté des inconditionnels des virées nocturnes. Ce, malgré l'inaccessibilité de certaines discothèques de la place. S'il pleut, une petite toile ou un parapluie fait l'affaire pour les adeptes de la «bamboula». Les soirées dansantes souvent affichent complet malgré la crise économique qui frappe la jeunesse. On compte sur un frère, un proche pour la plupart des cas, pour faire la fête. L'accalmie aidant, vacanciers et vacancières y trouvent leurs comptes.
À quelques encablures de la fin des vacances scolaires, les jeunes ziguinchorois se bousculent devant les boîtes de nuit de la capitale du Sud, histoire de se la couler douce, le temps d'une soirée. Et la pluie n'altère en rien la volonté des inconditionnels des virées nocturnes. Ce, malgré l'inaccessibilité de certaines discothèques de la place. S'il pleut, une petite toile ou un parapluie fait l'affaire pour les adeptes de la «bamboula». Les soirées dansantes souvent affichent complet malgré la crise économique qui frappe la jeunesse. On compte sur un frère, un proche pour la plupart des cas, pour faire la fête. L'accalmie aidant, vacanciers et vacancières y trouvent leurs comptes.
Talons aiguilles, bottiers ou compensés ? Les fashionistas seront résolument haut perchées. En version verticalement correcte. Forcément mince. Anorexiquement droite comme un «I» pointé. Une tige. Les talons en «jettent». Ils permettent à une fille en treillis, taille basse et tee-shirt moulant de jouer les contrastes. De se montrer à la fois «casual» et sophistiquée, accessible et imprenable. Le talon est aux pieds ce que le lipo est aux lèvres. Il arrive même qu’il le remplace aujourd’hui. On la joue altière mais pas coquette. Huit, dix, douze centimètres. Et même seize. Rien n’arrête cette fascinante escalade. Pas même ces perchoirs qui font tourner la tête des victimes de la mode et enrichissent les ostéopathes.
Révélée au public sénégalais il y a de cela quelques années, Ndèye Fatou Tine plus connue sous le surnom de Titi a refait surface dans le paysage musical avec un nouvel opus. Une absence de près de trois ans qu’elle explique par le fait des recherches qui doivent toujours être le credo d’un artiste qui se respecte et veut produire un album riche de plusieurs sonorités et des textes « qui éveillent et éduquent ». Aussi, elle a accordé à votre magazine préféré une grande interview où elle revient sur plusieurs aspects relatifs à ses débuts dans la chanson, ses études, ses parents, et ses enfants.
Est-ce la nature de la soirée ? Est-ce l’effet des restrictions du sommet de l’Oci ? Ou tout simplement Coumba Gawlo Seck qui s’est mariée avec la banlieue dakaroise ? En tout cas, le Ravin night-club a refusé du monde samedi dernier. Mieux, il y a eu du monde jusqu’à 100m de la boîte de nuit, créant un embouteillage à 1 heure du matin sur la route des Niayes. 01 heure 45 du matin. La route des Niayes est bloquée. C’est juste au niveau du centre de sauvegarde de Guédiawaye. Les voitures n’avancent plus. Il n’y a pas de coups de klaxon. Parce qu’il fait nuit, mais aussi parce que les conducteurs ne sont pas indisposés par la chaleur. La nuit est douce. C’est un embouteillage !
Jeans « taille basse », hauts décolletés, poitrine bombée, seins mi-découverts… Tels sont les caractéristiques de la mode au Sénégal. Les Sénégalaises se sont occidentalisées, et imitent l'habillement, la manière de vivre et les comportements les plus fous de nos voisins de l'autre coté de l'Atlantique. Ces comportements devenus habitudes, ne sont pas typiquement pour les « sénégalaises » ; car, les hommes non plus ne sont pas en reste. Le Sénégalais « in » est devenu victime de la mode occidentale, du romantisme et tenues « sexy » des filles et de l'érotisme des toubabs (blancs) comme diraient les vieux.
La pudeur, les bonnes habitudes ne sont plus un problème pour les filles. Aujourd’hui tous les moyens sont bons pour draguer un mec. Les filles n’ont plus froid aux yeux. Les tabous, elles ne connaissent plus. Maintenant c’est le monde du « tu me plais, je te drague ». Jadis, c’était aux hommes de prendre les initiatives, mais maintenant, avec la l’évolution des mœurs, cette tendance est renversée. La tache incombe de plus en plus aux demoiselles. Il suffit simplement d’un clin d’œil pour faire craquer les hommes. Tenue sexy, hauts talons, sac à la main, tête bien coiffée, les filles sont toujours bien nippées comme si elles allaient à une soirée dansante. Que nenni ! Elles parcourent les rues de Dakar pour tout simplement aller à la conquête d’un mec. C’est la mode. Pourtant, jusqu’à une époque récente, une fille restait chez ses parents.