Si l’on en croit le ministre des Finances et du Budget, les nouvelles autorités n’entendent pas laisser tomber Air Sénégal.
il y a 3 mois
2,908 Lectures
26 Commentaires
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Si l’on en croit le ministre des Finances et du Budget, les nouvelles autorités n’entendent pas laisser tomber Air Sénégal.
L’effervescence religieuse s’empare de Yoff. A quelques heures de la commémoration de l’Appel de Seydina Limamoulaye. Les habitants de cette cité religieuse sont dans les préparatifs. Au Mausolée de Seydina Limamoulaye, on installe du matériel destiné à la cuisine, des tentes. Des bœufs sont attachés çà et là.
9 millions d’euros, ont été investis par le Partenariat Opérationnel Conjoint (Poc) pour accompagner le Sénégal dans la lutte contre l’émigration clandestine...
Etant donné la relation organique entre «autoformation» et «autonomie», nous avons jugé pertinent d’analyser les stratégies d’apprentissage que les instituteurs sénégalais mettent en œuvre pour développer leurs compétences professionnelles. Dans ce travail, nous avons aussi cherché à comprendre ce qui les motive à s’engager dans une dynamique auto formative, mais aussi les facteurs qui les démotivent sur ce trajet.
Le Premier ministre Mohammed Dionne a appelé, avant-hier, les futures femmes leaders à s’approprier le Plan Sénégal émergent (Pse) pour participer au développement du pays.
Bâtir un grand club, fort et lui doter des moyens dans la banlieue, tel était l’objectif principal du président de l’As Pikine, Mamadou Guèye plus connu sous le nom de Modou Fall. C’est pour cette raison qu’il n’a pas lésiné sur les moyens. Et certains n’ont pas hésité à le comparer au Russe et président du club anglais de Chelsea, Roman Abramovich. Car ils semblent utiliser les mêmes méthodes s’il faut mettre leur club dans des conditions de performance.
La dernière campagne de commercialisation de l’arachide a été une totale réussite du moment que les industriels ont collecté 313.836 tonnes de graines sur un volume prévisionnel de 300.000 tonnes, a indiqué, samedi à Wack Ngouna (Kaolack), Papa Abdoulaye Seck.
Pierre Lam Diom, l’ex-directeur de l’antenne Caritas de Louga, est attrait à la barre du Tribunal correctionnel de la capitale du Ndiambour pour abus de confiance et escroquerie. Le mis en cause, cloué au lit par un accident vasculaire cérébral (AVC) depuis des mois, a été représenté par son avocat,
« Pas question de compter sur Abdou Aziz Sow pour savoir la somme exacte qui a été injectée dans cette organisation », a déclaré Aziz Sow.
Faut-il déboulonner le Monument de la Renaissance Africaine ? C’est la question que nous avons posée à quelques acteurs de la Culture après les sorties de certains députés s’interrogeant sur l’utilité de cette œuvre lors des débats précédant le vote du budget du ministère de la Culture. Le Témoin a initié un débat autour de cette exigence des représentants du peuple.
La saison de lutte 2010-2011 a ouvert officiellement ses portes le 1er octobre 2010. Les promoteurs s’activent au niveau du Cng pour la matérialisation de leurs combats. Les lutteurs, eux, entretiennent leurs muscles en attendant le démarrage des premiers coups de poing prévu le 7 novembre prochain entre Papa Sow de l’écurie Fass et Tonnerre de l’écurie Pikine.
![[ V I D E O - CONTRIBUTION ] Honte à vous Monsieur le Président !](/sites/seneweb-com/v9/img/posts/content-horizontal/1.webp)
Les Américains disent « You can run but you can’t hide », vous pouvez courir mais vous ne pouvez pas vous cacher. Les réalités du pays sont en train d’être connues une par une et au grand jour. M. le Président, comment osez-vous laisser ces Sénégalais vivre sous les eaux pendant des années ? Vous n’avez pas eu le courage d’aller à leur rencontre pour voir comment ils vivent et mesurer l’étendue de leur misère. Vous vous contentez, vous et votre famille, de vivre dans un luxe insolent,
L’Etat du Sénégal peut-il, d’ores et déjà, se frotter les mains ? Après le prêt de 82 milliards de Fcfa, qu’il vient d’obtenir de la France, voilà que l’Ipres vole à son secours. C’est, en effet, la somme de 70 milliards qui a été injectée par cette institution dans les caisses du Trésor public. C’est sous la forme de bons du Trésor que l’Institution de prévoyance retraite du Sénégal (Ipres) met cette somme à la disposition de l’Etat. Avec une telle opération, l’Ipres en tire profit puisqu’elle cède à l’Etat des bons à un taux «beaucoup plus élevé que le taux bancaire». Pour voler au secours de l’Etat, l’institution dirigée par Alassane Robert Diallo a dû puiser dans ses réserves «estimées à plus de 80 milliards de Fcfa».
Touba aura elle aussi son programme spécial. L’annonce a été faite par le chef de l’état lors de sa dernière visite dans la cité religieuse. Contrairement aux autres villes-capitales régionales où 15 milliards ont été investies dans le cadre du programme indépendance initié depuis 2004, l’état a prévu de changer le visage de la capitale du mouridisme. 100 milliards, ce sera la rondelette somme qui sera injectée à Touba dans le cadre d’un programme étalé sur cinq ans. L’argent servira à financer des travaux d’assainissement, de voierie et à construire d’autres types d’infrastructures socio-économiques de base, confient des sources dignes de foi.
APA - Dakar (Sénégal) La saison 2005-2006 de lutte sénégalais (avec frappe comme à la Boxe, moins les gants) ferme ses portes dimanche 31 juillet, par un alléchant gala mettant aux prises deux lutteurs parmi les plus populaires du pays, Moustapha Guèye et Yakhya Diop alias Yekini, du nom de l’ancien buteur des Super Eagles du Nigeria. Pour le montage de cette affiche, l’organisateur communément appelé « promoteur » au Sénégal, Gaston Mbengue, a cassé sa tirelire : 250 millions de francs CFA de budget dont 100 millions de cachet pour les deux lutteurs, en raison de 50 millions pour chacun d’eux. 1euro = 656 FCFA, environ. C’est la plus forte somme d’argent jamais mobilisée pour un gala de lutte. Pour cela, il a fallu l’implication de sponsors. « L’arène, c’est une affaire de relations et de sponsors », explique Gaston Mbengue surnommé le « Don King de la lutte sénégalaise », en référence au célèbre promoteur de boxe américain.
