Ndéné Mbodji est depuis hier le nouveau directeur du Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD). Cet enseignant-chercheur en philosophie connaît déjà un pan de ce qui lui est confié.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Ndéné Mbodji est depuis hier le nouveau directeur du Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD). Cet enseignant-chercheur en philosophie connaît déjà un pan de ce qui lui est confié.
Lancée en 2018 par Aita Magassa, cette entreprise immobilière se positionnait comme une solution avec une gamme de servicesalléchants.
C’est sous une vague de contestations que le Monument de la Renaissance africaine a été officiellement inauguré, le 3 avril 2010.
Alors qu’il s’apprête à clôturer l’année par son traditionnel discours à la Nation, Seneweb revient sur l’année du Président de la République...
Il y a bientôt un siècle, exactement 95 ans, l’Aéropostale reliait la France et le Sénégal.
Quelle profonde douleur m'a saisi, terrifié et réduit depuis hier dans un silence toujours encore étonné face à la disparition de Babacar Toure, une immense plume à qui me liait une solide amitié de trente ans.
Ndéné Mbodji est depuis hier le nouveau directeur du Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD). Cet enseignant-chercheur en philosophie connaît déjà un pan de ce qui lui est confié.
Lancée en 2018 par Aita Magassa, cette entreprise immobilière se positionnait comme une solution avec une gamme de servicesalléchants.
C’est sous une vague de contestations que le Monument de la Renaissance africaine a été officiellement inauguré, le 3 avril 2010.
Alors qu’il s’apprête à clôturer l’année par son traditionnel discours à la Nation, Seneweb revient sur l’année du Président de la République...
LA FEMME : CE SOLEIL DE NOTRE ÂME QUI SE LÈVE À L’EST DE NOS VIES, ET SE COUCHE À L’OUEST DE NOS CŒURS.
Les quotidiens reçus vendredi à l’APS évoquent l’inauguration de la centrale solaire de Malicounda, la guerre de leadership au Parti socialiste (PS, mouvance présidentielle) et de supposées magouilles au Port de Dakar. Le Soleil se fait écho de l’annonce, par le chef de l’Etat, Macky Sall, de la mise en service de 5 nouvelles centrales solaires dès 2017. ‘’Après Bokhol et Malicounda, le gouvernement ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.
Casey Neistat n'est pas un youtubeur comme les autres. Au-dessus du jeu, monsieur voyage en première classe d'Émirates Airlines, pour le plus grand plaisir de ses 4.512.529 abonnés. Il teste tout, use et abuse de tous les gadgets et s'en amuse énormément. Vous n'imaginez pas à quoi ça peut ressembler? C'est normal. Un indice, c'est du luxe, du luxe et encore du luxe, comme vous pouvez le voir dans notre compilation ci-dessus.
Il arrive que des voix se lèvent pour argumenter sur la nécessité de transférer la capitale du Sénégal ou du moins lancer le débat sur l’opportunité d’un tel choix. Les principales raisons évoquées sont l’encombrement de Dakar et le besoin de dynamiser les autres régions. Les interrogations sont certes légitimes, mais Il convient tout d’abord de s’interroger en préliminaire sur les rôles que joue la ville de Dakar avant d’abonder dans cette direction.
La nouvelle de l‘inculpation de Karim Wade, pour enrichissement illicite, est le principal sujet traité par les quotidiens parvenus jeudi à l’APS. Le fils de l’ancien président, Abdoulaye Wade, tout-puissant ministre d’Etat dans différents Gouvernements sous le règne de son père
C’est un destin en perpétuel mouvement. Une histoire que la météo et l’horloge n’arrivent pas à confiner dans le rôle des figurants sur la grande scène des destins exceptionnels. Même dans l’après-pouvoir, Wade a toujours le pouvoir de bouger et de séduire.
Entre les deux, il y a Senghor. Niasse et Fada partent pour une législature marquée par les éclats de voix et le poids de l’orgueil.Le Sénégal des polémiques porte les blessures d’images surréalistes. Deux fois Premier ministres et deux fois « faiseur de roi », Président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse en est réduit à échanger des salacités avec Modou Diagne Fada, jeune Président du Groupe Parlementaire des Libéraux et Démocrates. Entre les deux hommes, il y a la génération Senghor.
Au Sénégal, pendait, depuis plusieurs années, un dossier dans lequel l’ancien président de la République du Tchad, Hussein Habré, a été accusé de malveillance, de viols d’hommes réputés intègres, d’assassinats d’hommes et de femmes patriotes, délibérément sacrifiés.
Le PDG du holding Tall Company est en procès contre un fournisseur néerlandais. S’il gagne, l’image controversée de l’importateur sénégalais de riz pourrait s’en trouver redorée. Retour sur un parcours qui suscite l’admiration autant qu’il intrigue. Rue Raffenel, à Dakar. Il discute un moment avec un badaud, sort une pièce de sa poche, la donne et se fait remercier en wolof. Sur ces images d’un reportage diffusé en avril sur la chaîne franco-allemande Arte (Main basse sur le riz), Moustapha Tall, l’un des plus gros importateurs de produits agroalimentaires du Sénégal (notamment de riz, avec 200?000 t par an).
Le Sénégal « d’en bas » s’est exprimé, s’exprime encore et ne va plus jamais arrêter de s’exprimer. Faire aveu qu’il ne s’en privera jamais plus est, pourrait-on dire, une lapalissade. Quelque chose comme un jeu dont les populaces ne se priveront pour rien au monde ; ayant surtout acquis conscience pleine que le salut, comme les libertés, ne se donne pas mais s’arrache et se conquiert. Par la plume. Par un uppercut du gauche, singulièrement. Par des coups de marteau. Par des pneus que l’on fait brûler à l’épicentre de rues bien fréquentées. D’autant que les brassards rouges paraissent avoir fait leur temps, dit-on, entre cénacles et grand’places qui demeurent des espaces de prédilection de l’ethnologie moderne. Le Sénégal « d’en bas » s’est exprimé, s’exprime encore et ne va plus jamais arrêter de s’exprimer.