Cary-Hiroyuki Tagawa, acteur du «Dernier empereur» et de «Mortal Kombat», est mort à l'âge de 75 ans
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Cary-Hiroyuki Tagawa, acteur du «Dernier empereur» et de «Mortal Kombat», est mort à l'âge de 75 ans
La Coupe d'Afrique des nations (CAN) 2025 débutera dans trois semaines (du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026).
L'avionneur européen Airbus a annoncé, vendredi 28 novembre, le rappel de quelque 6 000 avions A320, pour remplacer en toute urgence un logiciel de commande vulnérable aux radiations solaires, après un incident fin octobre aux États-Unis. Plusieurs compagnies ont déjà annulé des vols.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé vendredi 28 novembre la démission de son directeur de cabinet Andriy Iermak.
Au moins 44 personnes ont perdu la vie, mercredi 26 novembre, dans un incendie ayant éclaté dans un complexe résidentiel de Hong Kong.
"5 erreurs yii Diomaye déf ak piège biiko Sonko tagal mu danu si...": (Ancien de Rfi, Seck Ndiaye)
La France va-t-elle vivre « son hiver le plus violent » depuis quarante ans ? Prudence
«Tous des menteurs» : Kim Kardashian s'en prend aux voyants qui lui avaient assuré qu'elle réussirait à passer le barreau
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Soudan : ce que nous disent les images de massacres dans la ville d’El-Facher
Non, Mamadou Niang n'a pas été invité à l'Elysée et n'a reçu aucune offre d'emploi de Diomaye Faye
Le président de la République a fini par renommer, vendredi, Sébastien Lecornu Premier ministre, en dépit des appels de la plupart des forces politiques à choisir un chef de gouvernement non macroniste
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Le président américain a annoncé dans la nuit du 8 au 9 octobre qu'Israël et le Hamas ont approuvé la première phase de son plan de paix.
Des négociations indirectes entre les délégations du Hamas et d'Israël ont commencé à Charm el-Cheikh, en Égypte, pour mettre fin à la guerre à Gaza sur la base du plan de Donald Trump.
Deux personnes ont été abattues mercredi soir alors qu'elles tentaient "de prendre d'assaut" une brigade de gendarmerie dans le sud du Maroc. Ces violences se sont produites en marge de protestations pacifiques pour de meilleurs systèmes d'éducation et de santé, et alors que pour la première fois, les manifestations avaient été autorisées.
Donald Trump a publié lundi 29 septembre son plan en 20 points pour mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza, qui doit encore être accepté par les parties, prévoyant notamment qu'il préside un comité supervisant la transition dans le territoire palestinien.
Les cas de Covid-19 ont augmenté de 37% chez les adultes lors de la semaine du 15 au 21 septembre, selon Santé publique France. Une hausse qui serait en partie due au variant XFG, qui se répand en Europe en provenance d’Asie et des États-Unis.
Les réactions en France et à l'international se multipliaient, lundi, après l'annonce officielle...