Sonko entre mort sociale et survie politique
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Sonko entre mort sociale et survie politique
«Un chevalier de la plume dont la disparition laisse une monumentale béance dans le débat intellectuel. Ses étincelles de génie, adorées ou craintes, dans le traitement de l’actualité politique sénégalaise ne laissent personne indifférent». Ainsi réagit le journaliste Mansour Dieng qui rend hommage à un confrère, Tamsir Jupiter Ndiaye, décédé le mardi 13 juin dernier. Journaliste controversé, sa mort est une perte pour la presse sénégalaise :
Seneweb a appris la disparition, ce mardi, du journaliste Tamsir Jupiter Ndiaye. Selon nos informations, il a succombé à un malaise.
On le susurre depuis quelque temps. Toutes les conditions commencent à être réunies pour la libération de Karim Wade. D'ailleurs, ses coaccusés ont humé l'air de la liberté ce mardi 31 mai. Soit “pour des raison humanitaires” (Bibo Bourgi et Alioune Samba Diassé), soit parce qu'ils ont bénéficié de “libération conditionnelle” (Pape Mamadou Pouye). Le boulevard qui mène vers son élargissement de prison est ainsi ouvert.
La mairie de Solingen, une ville allemande, a décoré du « Soulier d’Argent » une étudiante sénégalaise nommée Awa Guèye. Ce prix récompense son courage civique et sa tolérance.
Il est sorti de prison le lendemain de Noël. Lui, c’est Tamsir Jupiter Ndiaye, jugé et condamné une seconde fois pour actes contre nature. Dans cet entretien accordé au journal Enquête, le chroniqueur clame une fois de plus son innocence, parlant d’avoir été accusé à tort. Selon lui, c’est une accusation dégueulasse et inadmissible à son encontre.
Tamsir Jupiter Ndiaye, qui a eu à côtoyer Karim Wade à Rebeuss, a fait quelques confidences sur la vie du fils de Me Wade en prison. « En ce qui concerne Karim Wade, j’ai été extrêmement impressionné par sa force et sa solidité.
Tamsir Jupiter Ndiaye refuse d’être considéré comme étant un homosexuel. Jadis condamné pour actes contre nature et récemment élargi de prison, il se blanchit dans cette interview accordée au journal Enquête
Tamsir Jupiter Ndiaye a été libéré ce samedi 26 décembre 2015. Il vient de finir de purger sa peine de 6 mois ferme, infligée par le tribunal des flagrants délits de Dakar.
De prime abord et à l’évidence, les affaires Ndèye Guèye « Guddi Town », Diomboss Diaw, Cheikh Yérim Seck, Tamsir Jupiter Ndiaye, Serigne Bara Doly, les jeunes filles de Grand Yoff et aujourd’hui ces jeunes mineures prises à flagrant délit d’attentat à la pudeur à la plage de Hann, n’ont rien à voir entre elles.
Depuis son incarcération, Tamsir Jupiter Ndiaye est gravement malade et interné à l’infirmerie de la prison de Rebeuss. Hier (jeudi), son état de santé s’est dégradé au point qu’il a piqué une crise d’épilepsie, informe le quotidien Le Témoin.
Apprenant que Cheikh Yerim Seck prendrait la suite de Aziz Samb dans l’émission Oscar des vacances, j’ai d’emblée été frappé par un constat consternant : au Sénégal, les médias sont devenus le champ privilégié de toutes les ordures de notre société. La scène médiatique sénégalaise venge les insignifiants et réhabilite les raclures. Elle assure la dignité des indignes. Hélas !
Le verdict est tombé ce matin. Tamsir Jupiter Ndiaye a été finalement condamné à 6 mois d’emprisonnement ferme. Il a été reconnu coupable d’acte contre nature commis sur une personne du même sexe, par le tribunal des flagrants délits de Dakar. Poursuivi pour trois chefs d’accusations, il a été relaxé pour les deux faits qui lui avaient valu son arrestation.
Tamsir Jupiter Ndiaye serait un danger public, un malade qui a besoin d’aller se faire soigner. Me Khoureychi Ba, lui, voit tout autrement son client. Etant seul à s’être constitué, dès les premiers balbutiements de l’enquête, il a, à ses côtés, un de ses confrères, Me Ndiaye, pour assurer la défense du journaliste-chroniqueur, poursuivi pour acte contre-nature et deux autres délits. Dès l’entame de sa plaidoirie, l’avocat a déploré de la plus rigoureuse des manières, les propos avancés par le parquet pour asseoir la culpabilité de son client
Entendu à la barre de l’audience des flagrants délits Tamsir Birame Ndiaye, alias Jupiter a juré la main sur le cœur qu’il est innocent des faits à lui reprochés. Ayant vu le jour en 1970, poursuivi pour trois délits (acte impudique ou contre nature commis sur un mineur de moins de 21 ans – enlèvement sans fraude ni violence de mineur de moins de 18 ans – conduite en état d’ivresse ou sous l’emprise d’un état alcoolique), il a nié être l’auteur des faits pour lesquels il comparait à la barre.
Bientôt la fin du suspense pour Tamsir Jupiter Ndiaye. L'étape décisive de son procès se joue, le 31 juillet prochain. Le juge du Tribunal de Dakar devra alors rendre son verdict dans cette affaire de pédophilie, actes contre nature et détournement de mineur. Jugé ce 28 juillet, l'affaire a été mis en délibéré. En attendant ses avocats plaident la relaxe pure et simple de leur client, sans peine ni dépens. Et aussi, la fin des poursuites et disent ne pas vouloir de relaxe au bénéfice du doute.
Si les procès des libéraux et celui de Barthélémy Dias ont été renvoyés, celui du journaliste Tamsir Jupiter Ndiaye a vécu ce matin au tribunal de Dakar. Poursuivi pour actes contre nature, pédophilie et détournement de mineur, l'ancien chroniqueur de Nouvel Horizon a nié les faits à lui reprochés.
Après plusieurs renvois, l'avocat, Me El Hadji Amadou Sall, sera jugé aujourd'hui par la Cour d'appel de Dakar. Il sera jugé par le premier président de la Cour d'appel, Demba Kandji, pour offense au chef de l'Etat et appel à un mouvement insurrectionnel. Arrêté et placé sous mandat de dépôt pendant plusieurs mois, il a finalement été libéré.
Le journaliste chroniqueur devra prolonger son séjour carcéral à Rebeuss. Son dossier ayant fait l’objet de plusieurs renvois, il fera face au juge le 28 juillet prochain.
Le procès de Tamsir Jupiter Ndiaye qui devait se tenir aujourd'hui après un premier renvoi, a été à nouveau renvoyé au 21 juillet prochain. La première fois, c'était pour la production de l'acte d'état civil de la victime de l'ex-chroniqueur, K.Sy, qui serait un mineur.