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Le département de Médina Yoro Foulah, au nord de la région de Kolda, partage la frontière avec la Gambie.
Une vague de protestation au Port autonome de Dakar. Le collectif regroupant les transporteurs maritimes
A quelques jours de la célébration de la ziarra annuelle de Leona Niassene, le porte-parole de la famille, Cheikh Ahmed Babacar Niass, a fait un appel auprès du service régional de la douane pour une tolérance vis-à-vis des pèlerins...
« Le prix d’un sac de ciment de 50 kg ne dépassait jamais 60 000 francs guinéens ici. Aujourd’hui, il se vend aux alentours de 85 000 francs »
«Nous savons tous que le commerce intra-africain, dans la perspective de la mise en place de la zone de libre échange continental, est encore entravé par des coûts élevés des transports et des services logistiques...
Nous disons que cela entre dans cette politique de dumping. D’ailleurs, nous avons même formé une délégation et nous sommes partis voir l’ambassadeur de la Chine au Sénégal pour qu’il nous explique ce qui en est.
Le mot d'ordre de grève est bien suivi par les membres de l’association des commerçants et industriels du Sénégal (ACIS) qui ont décidé de paralyser les commerces du pays pendant 72 heures,
Le Collectif des transporteurs et conducteurs routiers du Sénégal iront en grève les 17 et 18 août pour protester contre ‘’les tracasseries douanières’’, rapporte le journal Le Quotidien dans son édition de samedi.
Le ministre de la Santé et de l’Action Sociale Eva Marie Coll Seck, a procédé officiellement vendredi à Dembancané (Matam, Nord), l’introduction du vaccin contre l’hépatite B dans le programme élargi de la vaccination nationale, a constaté l’APS.
Le président Macky Sall, en visite de travail et d'amitié au Burkina Faso, depuis samedi, a reçu en audience, dimanche à Ouagadougou, diverses personnalités dont des parlementaires. Il s’agit notamment de Laarlé Naaba, député à l’Assemblée nationale burkinabé, Mme Béatrice Daniba, présidente du Conseil supérieur de la communication du Burkina Faso, l’équivalent du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) au Sénégal.
Le ministre des Sénégalais de l’extérieur, Seynabou Gaye Touré, vient de boucler une tournée en Italie et en Espagne. Aux Iles Baleares, les autorités ont annoncé qu’elles sont prêtes à financer la formation des jeunes émigrés sénégalais pour leur réinsertion au pays. Le week-end dernier, la délégation s’est rendue à Barcelone et à Saragosse.
Invité à réagir sur les propos du Premier ministre qui les a exhortés à mettre un terme aux tracasseries que subissent souvent les usagers de l'axe routier Dakar-Bamako, le directeur général des Douanes sénégalaises, Makhtar Cissé, a déclaré qu’« il n'y a pas de tracasseries douanières sur le corridor et depuis longtemps ».
Les pays en voie de développement doivent s'efforcer de "donner corps à l'intégration économique sous régionale", au regard du con texte actuel marqué par une économique mondiale à la peine, a estimé, mardi à Dakar, le Premier ministre sénégalais Abdoul Mbaye. "Dans un contexte économique international difficile, marqué par un ralentissement de la croissance et une montée en puissance de l'insécurité dans les frontières, il est d'une impérieuse nécessité pour nos pays en voie de développement de donner corps à l'intégration économique sous-régionale", a-t-il déclaré.
Pour 1000 FCFA seulement deux policiers Maliens ont passé à tabac un chauffeur Sénégalais non loin du poste de Kati. C’était avant l’incident qui s’est déroulé le vendredi 05 avril 2013 au Groupement mobile de sécurité (GMS) au cours duquel un soldat a perdu la vie pour des questions d’intérêt personnel. Lire notre récit.
A la suite de leurs collègues maliens qui ont immobilisé leurs camions, hier, à la frontière malienne pour protester contre les tracasseries policières et douanières, les camionneurs sénégalais ont, eux aussi, décidé d'arrêter le trafic vers le Mali. Ils ont ainsi stationné leurs camions à Kidira et refusent de reprendre la route tant qu'une solution n'est pas trouvée à ces tracasseries. Ils tiennent actuellement une Assemblée générale à Kidira, avec le soutien de leurs collègues maliens qui ont eu gain de cause, à en croire nos confrères de la radio Zik Fm.
Le Directeur général des Douanes sénégalaises, Mouhamadou Makhtar Cissé, a invité, jeudi à Pikine (banlieue de Dakar), ses compatriotes à se doter d’un "un esprit constructif" pour créer les conditions de la stabilité du pays, condition sine qua non du développement économique et social.‘’(…) Nous avons besoin tous d’avoir un esprit constructif pour aider le Sénégal à être stable parce que si nous ne sommes stables, nous ne pouvons pas nous développer. Et pour être stable, il faut que les différents acteurs, dans tous les domaines, entretiennent des rapports apaisés, et que l’intérêt du Sénégal prime sur tout le reste", a-t-il indiqué.
Macky Sall, candidat au second tour de la présidentielle du 25 mars, a réitéré lundi à Dakar sa promesse de baisser les prix des produits alimentaires de base, expliquant que cette mesure reposera sur des ‘’mécanismes consensuels’’ entre l’Etat et les commerçants.
Entre le Port autonome de Dakar (PAD) et Bara Sady, son directeur général, c’est une longue histoire. L’homme, qui boucle sa vingt-troisième année au sein de cette institution (dont dix en tant que directeur général), voit grand. Son ambition : faire du PAD une plateforme logistique de référence en Afrique et dans le monde.
Trop c’est trop, semble dire Cheikh Diop, le secrétaire général de la Cnts/Fc. Avant-hier, en marge de la conférence de presse des travailleurs de Dakar Dem Dikk, il a affirmé que sa centrale ne peut plus accepter les tracasseries subies par les transporteurs routiers. La Cnts/Fc en a ras-le-bol des tracasseries policières et administratives auxquelles sont confrontés les transporteurs routiers, surtout ceux qui s’activent dans le transport transfrontalier entre le Sénégal et le Mali. Profitant de la conférence de presse des travailleurs de la société de transport urbain Dakar Dem Dikk (Ddd), son secrétaire général, Cheikh Diop, a indiqué que sa centrale syndicale ne pouvait plus supporter les conditions de travail difficiles des transporteurs. ‘Ceci est inacceptable.
Voyager entre les pays africains par voie terrestre est souvent un véritable cauchemar. Un vrai parcours du combattant entre les tracasseries douanières et policières de toutes sortes et l’insécurité sur les routes. Le transport est dans la plupart des cas, assuré par de vieux bus ou de vieilles guimbardes surchargées sur des routes en piteux état et mal éclairées la nuit, faisant encourir aux passagers des accidents inévitables. Un virage ou un ravin mal négocié et le drame est subitement arrivé. Si ce n’est pas le risque élevè d’accident sur certains axes, c’est la peur d’être la cible d’une bande armée ou de coupeurs de route qui hante le sommeil du passager.
