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Le patron de Tracto Service Equipement (TSE), Cheikh Amar, est assigné en expulsion. Un commandement-assignation en expulsion lui a été servi par l'huissier de justice Fatma Haris Diop, agissant pour le compte de l'étude de Me Guédel Ndiaye.
Le plus jeune maire du Sénégal (28 ans), Arona Camara, a échappé de peu à la mort, a appris Seneweb. Son véhicule, qui fait partie du lot des 400 véhicules Pick-up destinés aux collectivités locales du Sénégal, réceptionnés à la fin du mois de septembre par le Président Macky Sall et livrés par la société Tracto Service Equipement (Tse) de Cheikh Amar, a fait des tonneaux.
L'homme d'affaires sénégalais Cheikh Amar a annoncé vouloir contribuer à l'atteinte des objectifs de l'Etat sénégalais dans le domaine de l'autosuffisance alimentaire en offrant ''plus de 10.000 tonnes'' de phosphate de fond pour la fertilisation des sols.
A la tête des groupes de presse au Sénégal, on retrouve de plus en plus des hommes d'affaires. Cette mainmise de personnes n'exerçant pas la profession de journaliste est diversement appréciée. Si certains hommes de médias et propriétaires de groupes de presse jugent utile l'arrivée des privés, d'autres y voient par contre des risques d'entrave à l'exercice de la profession.
Le PDG de Tracto Service Equipement (Tse), Cheikh Amar devra attendre encore avant de pouvoir exécuter le marché contesté que lui a octroyé le ministère de l’Aménagement du Territoire et des Collectivités locales.
L’administrateur de la société Sinafrica Falco Limited, Abdoulaye Mar Faye Fall, a été déféré au Parquet de Dakar hier, pour une affaire d’abus de confiance au préjudice de l’homme d’affaires. Le préjudice est estimé, dans la plainte déposée le 16 janvier dernier à la Division des investigations criminelles (Dic), à hauteur de 228 millions de francs Cfa.
Les travaux de récolte du périmètre agrosylvo pastoral de Khelcom ont été l’occasion pour le patron de Tracto Service Equipement (TSE), Cheikh Amar, de rappeler aux jeunes ''la nécessité'' de retourner à l’agriculture, pour développer le Sénégal.
"Dix (10) millions de dollars dans l’escarcelle de Cheikh Amar". Tels sont les termes employés par les chroniqueurs du quotidien La Tribune pour parler du juteux marché décroché par l'entreprise du puissant homme d'affaires sénégalais Cheikh Amar.
La récolte du mil au périmètre agro-sylvo-pastorale de Khelcom devrait dépasser largement la quantité obtenue l’année dernière, pour atteindre plus de 10 000 tonnes, a appris samedi le correspondant de l’APS.
Cheikh Amar, président Directeur Général de Tse, Ousmane Diop, Directeur de Senbus, Serigne Mboup, patron de la Ccbm, Kader Mbacké, Directeur général de Degote Group, Racine Sy étaient parmi les plus grands actionnaires de cette compagnie… Après son décès, on s’interroge sur l’identité de la personne qui devra remplacer Kader Mbacké au sein du Conseil d’Administration de Sénégal Air Lines. Le Conseil d’Administration du Groupe Dangote devrait se réunir pour désigner celui qui le représenter au niveau de cette compagnie. Mais le président Wade qui aurait une forte influence au niveau de Dangote pourrait s’occuper de ce dossier.
S.A. Comme société anonyme. S.A. Comme Senegal Airlines. En portant sur les fonts baptismaux la nouvelle compagnie aérienne du Sénégal, détenue à 64% par le « secteur privé national », en clair une partie du patronat sénégalais, jamais actionnaires de société anonyme n’auront été moins ….anonymes. Cheikh Amar, Président Directeur Général de «Tracto Service Equipement» (Tse), Serigne Mboup, Directeur général de CCBM, Ousmane Joseph Diop, Directeur Général de Senbus, Kader Mbacké, Président Directeur Général de Dagote Group, Mamadou Racine Sy, Président de la Fédération des organisations patronales de l’hôtellerie et du tourisme (Fopaht) et Président du Conseil d’administration de la Caisse de Sécurité Sociale , Layousse, Directeur Général de «Layousse Transport» , Baidy Agne, Président du Conseil National du Patronat Sénégalais….
Il gère le plus gros chiffre d’affaires dans le secteur privé sénégalais. Cheikh Amar est le nouvel homme fort des affaires. Portrait de cet homme que Business 24 surnomme désormais le Bolloré sénégalais. Route de Rufisque ou route des hydrocarbures, c’est selon. Là parmi les innombrables chemins qui mènent entre entrepôts et usines, un bâtiment quelconque au fronton duquel est inscrit TSE (Tracto service équipement). C’est le nouvel antre d’un dandy tropical, un self made man, un capitaliste au visage humain, un jeunot de 40 hivernages : Cheikh Amar.
Remettre les paysans au cœur des décisions prises pour eux, c’est l’ambition déclarée du projet présidentiel de « Révolution Verte ». Rendue publique à l’issue du dernier conseil des ministres. Cette Initiative du président de la République vise à restaurer la dignité du monde agricole et rural à travers la suppression des subventions et des intermédiaires. En clair, Me Wade veut que nos braves producteurs prennent en main leurs destinées, en passant du statut d’éternels assistés à celui d’agriculteurs. Cette initiative a suscité une forte adhésion de la part des agriculteurs, notamment ceux de la vallée.
La cérémonie des Sédar a vécu samedi dernier au théâtre national Daniel Sorano. Un moment solennel, au cours duquel plusieurs décideurs sénégalais ont été récompensés. Toutefois, le palme a été remporté par Cheikh Amar, directeur de Tracto Service Equipement qui a reçu la distinction décernée à « l’homme de l’année ». Encore une autre distinction accrochée à l’arc de Cheikh Amar, patron de Tracto service équipement (Tse). En effet, avant-hier, il a décroché la plus haute distinction de la cérémonie des Sédar, « le Sédar de l’homme de l’année ». Ce, après celui du Sédar de l’entreprenariat reçu durant la même cérémonie, eu égard aux grandes innovations apportées dans son secteur d’activité. Une distinction amplement méritée.
L’aveu fait hier par le président de la République est d’une précision horlogère. «Au cours de ces dernières années, le prix du pétrole a été multiplié par quatre. Je n’y peux rien, et personne ne peut échapper aux inflations du baril du pétrole», s’est résigné Me Abdoulaye Wade. Face à une marée humaine venue à lui comme les enfants allaient devant le Christ, et criant son ras-le-bol du fait de la cherté des denrées de première nécessité, il joue profil bas et nie : «je n’ai jamais promis de transformer le Sénégal du tic au tac et en un laps de temps». Aussi, pour justifier l’incapacité de son régime à transformer le plomb en or, le locataire du Palais surfe sur le registre international : «même la France se lamente toujours du fait du coût élevé du pétrole dont elle souffre, mais elle est incapable de changer le cours des évènements», argumente-t-il.
