L'évolution de la technologie et l'intelligence artificielle touche le secteur de la cuisine. À Dakar, c'est maintenant la cuisine 2.0
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L'évolution de la technologie et l'intelligence artificielle touche le secteur de la cuisine. À Dakar, c'est maintenant la cuisine 2.0
Buffet princier, petit-déjeuner royal... À Touba, le "berndé" (festin) prend de plus en plus un air de luxe.
Le mois béni du ramadan tire à sa fin. Beaucoup de personnes ont la tête à la fête.
Ils sont bien partis pour devenir les futures figures de proue du concept Etudiant-entrepreneur au Sénégal. Ce sont trois étudiants de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar qui sont en passe de truster le marché de l’alimentation et de la livraison au campus social...
Ainsi, 185 jeunes en majorité des femmes, seront bénéficiaires.
Comme leurs voisins, les Français aimeraient en particulier être fixés sur les vacances : pourront-ils se déplacer et se réunir en famille ?
Donald Trump a annoncé vendredi un programme de 19 milliards de dollars pour aider les agriculteurs américains à faire face à l'impact de l'épidémie de Covid-19.
Les tournées tous azimuts des autorités administratives et sanitaires dans la région ont permis de constater que malgré les mesures prises pour freiner la propagation du coronavirus, des personnes insouciantes ou tordues continuent de braver les interdits.
Avec une mortalité possible de 10% due aux conditions d’hygiène précaires et aux systèmes médicaux défaillants, l’Afrique risque gros face au coronavirus.
Buffet princier, petit-déjeuner royal... À Touba, le "berndé" (festin) prend de plus en plus un air de luxe.
Le mois béni du ramadan tire à sa fin. Beaucoup de personnes ont la tête à la fête.
Ils sont bien partis pour devenir les futures figures de proue du concept Etudiant-entrepreneur au Sénégal. Ce sont trois étudiants de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar qui sont en passe de truster le marché de l’alimentation et de la livraison au campus social...
Gorgé de sucre, le grain de raisin revient tout de même à près de 330 euros ! La grappe de raisin « Ruby Roman » a été vendue près de 10.000 euros jeudi au Japon lors de la première vente aux enchères de la saison.
Après le fils du président équato-guinéen Teodoro Obiang qu’ils ont mis en examen, la famille de Sassou Nguesso: les juges financiers parisiens chargés de l’enquête dite des biens mal acquis ciblent l’entourage du président congolais.
Tout se ligue en ce moment pour que vous soyez fatigué(e), même si les jours commencent à rallonger un tout petit peu. En attendant que vous puissiez dîner dehors en pleine forme, quels sont les aliments qui vont vous requinquer ?
Le ministre des Affaires étrangères, Me Madické Niang, l’avait dit : « Il faut mettre fin à l’indiscipline et au manque d’hygiène constatés lors du pèlerinage aux lieux saints de l’Islam, sans ôter aux braves femmes sénégalaises leur pain quotidien ».
Les opérateurs économiques ne veulent pas être tenus pour responsables de la pénurie du riz que subit actuellement le peuple sénégalais. Ils ont par contre indexé le gouvernement à qui ils reprochent de ne pas honorer ses engagements de verser la subvention qui leur permettrait de relancer leur activité. Ils indiquent, par ailleurs, que le train de vie de l’Etat contribue fortement à la cherté de la vie. Dans leur volonté de dégager toutes leurs responsabilités dans la situation que vit le peuple sénégalais, les membres de l’Unacois jappo ont rejeté sur le dos de l’Etat, les maux qui leur sont collés.
Entamée le 15 avril, la grève de quelque 350 salariés sans-papiers en région parisienne pose crûment la question du travail clandestin. Certains syndicats patronaux, en manque de main-d'oeuvre, en appellent au gouvernement pour revoir les conditions de régularisationne grève de 338 salariés sans-papiers déclenchée de façon coordonnée pour la première fois en France dans une vingtaine d'entreprises franciliennes de la restauration, du bâtiment ou du nettoyage, a obligé une partie du patronat à s'engager pour obtenir leur régularisation.
Subitement, un groupe de quatre personnes fait irruption sous la tente dressée devant cette maison à étages des Parcelles assainies à Dakar. L’une d’elles s’empare du micro et commence à dire des poèmes à la gloire du prophète Mouhamed (Psl). Ses compagnons reprennent en écho son rythme. L’animation augmente sous la tente qui se remplit au fur et à mesure. De la maison, sortent des femmes et des hommes d’un âge mûr, tous tirés à quatre épingles. Ici, les grands-boubous teints à la mode « ganila », un tissu qui fait fureur au Sénégal et sa proche sous-région, ont la côte. Leur « froufrou » ne dérange personne puisqu’il fait partie du décor.
«JE fais ce job depuis 1992, parce que j’avais du mal à sortir du chômage». Cet aveu de Ibrahima Diallo, qui prépare les repas à l’occasion des réceptions et fêtes familiales, montre clairement les raisons qui ont poussé les jeunes dakarois à investir le créneau. Pour eux, face à crise économique et à la nécessité de trouver un pis-aller en attendant mieux, il n’y a plus de sot métier... Signe des temps, être cuistot à l’occasion des cérémonies familiales n’est plus l’apanage des femmes. Il n’est donc plus surprenant de voir de jeunes dakarois s’affairer autour des fourneaux, de piler les ingrédients destinés à l’assaisonnement, d’éplucher les légumes, de rincer les bols et de raviver le feu avec maestria. «Nous avons la main et l’avantage de faire le boulotvite et bien. Il est vrai que nous ne possédons pas cette grâce féminine, mais cela ne diminue en rien la saveur des mets que nous préparons », souligne l’un d’eux, qui souhaite garder son anonymat.