L'hôpital général de Grand-Yoff (Hoggy), ex-Cto, reçoit annuellement 17 000 accidentés de la circulation, soit environ entre 45 à 55 malades par jour.
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L'hôpital général de Grand-Yoff (Hoggy), ex-Cto, reçoit annuellement 17 000 accidentés de la circulation, soit environ entre 45 à 55 malades par jour.
L'Académie Nationale des Sciences et Techniques du Sénégal (Ansts) a...
Le Service d’accueil des urgences (SAU) du Centre hospitalier régional El Hadj Ibrahima Niass de Kaolack (centre) reçoit en moyenne 60 à 70 patients par jour, depuis le démarrage de ses activités le 17 mars 2014, a-t-on appris de son responsable, Youssou Cissokho. ''Depuis mars 2014 jusqu'au 31 décembre de la même année, le SAU a enregistré 8.759 consultations'', a indiqué le docteur Cissokho dans un entretien avec l'APS.
Les accidents de circulation provoqués par les deux roues font trop de victimes au Sénégal : Au moins 80 personnes perdent la vie chaque mois, alertent la Nouvelle prévention routière et les organisations des usagers de deux roues.
Le taux de fréquentation est en nette augmentation au service de chirurgie orthopédique et traumatologique de l’Hôpital général de Grand Yoff. Au total, 24.954 personnes y sont consultées et 1621 opérées. Mais, selon les responsables de ce service, le manque de moyens freine les ambitions. Le service de Chirurgie orthopédique et traumatologique de l’hôpital général de Grand Yoff a pris en charge près de 24.954 malades en urgence et en consultations programmées. « Mais cette activité se déroule sans de gros moyens. Depuis 2006, nous n’avons noté aucun investissement en équipement », se désole le chef du service, Pr. Mouhamadou Habib Sy.
Le Sénégal ne compte qu’une cinquantaine de médecins anesthésistes et onze médecins urgentistes pour plus de 11 millions d’habitants. Mais, malgré leur nombre fort limité, ces derniers éprouvent d’énormes difficultés liées à l’exercice de la profession qui souffre d’un manque de considération et à leur intégration dans un corps. Des machines qui tombent en panne, des ruptures de consommables, un nombre insuffisant de médecins urgentistes et d’anesthéistes…, tels sont les maux dont souffrent les services d’accueil des urgences des hôpitaux sénégalais en particulier et l’exercice de la médecine d’urgence en général. La Société sénégalaise d’anesthésiste-réanimation et de médecine d’urgence l’a rappelé hier au ministre de la Santé et de la Prévention médicale, le Dr Safiétou Thiam...