Élections en Guinée-Bissau : Un taux de participation de 65% annoncé, résultats attendus le 27 Novembre
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Élections en Guinée-Bissau : Un taux de participation de 65% annoncé, résultats attendus le 27 Novembre
L'enquête sur l’affaire relative aux graves accusations de corruption de « sages » du Conseil constitutionnel reste au point mort.
Remis en selle par le président Macky Sall aussitôt après sa retraite, l’ex président de la Cour Suprême, Cheikh Ahmed Tidiane Coulibaly...
Selon Yaye Awa Diagne, des responsables de l'APR sont à l’origine de cette situation.
Elu en Novembre 2009, pour un mandat de 5 ans, le président sortant refuse de remettre son poste en jeu. «Alors que son mandat est terminé, depuis le 14 novembre 2014, soutient Boubacar Touré, Sankoung, un des challengers et ancien soutien du sortant, Aliou José Boris Touré fait dans le dilatoire».
Malgré le démenti du ministère de l'Intérieur et de la sécurité publique, le Parti démocratique sénégalais (Pds) persiste et signe que les antennes mobiles de la Direction de l'Automatisation des Fichiers (Daf) du Ministère de l’Intérieur sont mises à la disposition des responsables de l’Apr (Alliance pour la république) pour l’établissement de cartes d’identité nationales puis de cartes d’électeurs.
Douze d’entre eux ont passé trois mois en prison et le glaive de dame justice plane toujours au-dessus de leur tête. Ils ne bénéficient que d’une liberté provisoire. Mais leurs mésaventures n’ont fait que décupler leur détermination à retrouver leurs terres « injustement attribuées » à la ferme "Mame Tolla", propriété de l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade.
Les auteurs présumés de crimes et de violences perpétrées lors de la période préélectorale seront poursuivis par la justice sénégalaise, a réaffirmé vendredi à Dakar, le garde des Sceaux, ministre de la Justice, Aminata Touré. "Les victimes de violences électorales doivent exercer leur droit, c’est-à-dire poursuivre ceux qui sont à l’origine (de tels faits), ceux qui ont conduit à des pertes en vies humaines", a-t-elle notamment déclaré.
La Constitution sénégalaise du 22 janvier 2001, dans son article 7 alinéa 5, dispose : " la loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats et aux fonctions ". Sans doute, dans sa volonté de rendre effectif ce principe, le législateur, sur initiative des autorités politiques sous le magistère du Président Abdoulaye WADE, avait adopté le 28 mai 2010 la loi instituant la parité absolue Homme-Femme dans les institutions totalement ou partiellement électives.
Le premier test de Macky Sall relatif à la bonne gestion des affaires de l’Etat sera intimement lié à l’indépendance de la justice. Une projection pleine de sens dès lors qu’on sait que l’affaire Barthélemy Dias est fortement politisée. Macky Sall s’immiscera-t-il dans la gestion judiciaire pour récompenser Jean Paul Dias qui s’est rangé de son côté lors des campagnes électorales ?
Le premier test de Macky Sall relatif à la bonne gestion des affaires de l’Etat sera intimement lié à l’indépendance de la justice. Une projection pleine de sens dès lors qu’on sait que l’affaire Barthélemy Dias est fortement politisée. Macky Sall s’immiscera-t-il dans la gestion judiciaire pour récompenser Jean Paul Dias qui s’est rangé de son côté lors des campagnes électorales ?
Voici l’intégralité du message à la nation du président de la République Abdoulaye Wade
Selon le maire socialiste de Colombes, Philippe Sarre, l'élue municipale n'a pas respecté le code électoral en mentant sur sa domiciliation.
Les cinq sages, des juristes universitaires, des avocats et la société civile planchent depuis hier (6 - 7 septembre) sur comment réformer le Conseil constitutionnel.Son fonctionnement, les modalités de recrutement de ses membres, son statut organisationnel, matériel… figurent au menu de la rencontre.
Il y avait de la violence ce jeudi à Vélingara. Des jeunes surexcités ont saccagé des édifices publics et se sont affrontés farouchement avec les gendarmes et les militaires. La gendarmerie a été attaquée et les personnes arrêtées libérées. Deux jeunes de 15 et 13 ans ont été grièvement blessés et évacués à l’hôpital régional de Tambacounda. Des faits qui ressemblent à ceux survenus à Kédougou en décembre 2008. Ibrahima Baldé, 15 ans, blessé au genou et de Chérif Ibrahima Barry, 13 ans, touché à la cuisse, ont été évacués à l’hôpital régional de Tambacounda.
Selon toute vraisemblance, les élections consulaires dans la région de Dakar riquent d’être fortement entachées d’irrégularités. Si tel était le cas, les ressortissants agricoles de la région de Dakar tiendraient le gouverneur pour principal responsable. Au cours de leur point de presse d’hier, ils ont développé des arguments allant dans ce sens. Les élections consulaires prévues le 27 décembre prochain, risquent d’être perturbées à Dakar, si rien n’est fait par l’autorité administrative pour permettre aux 2500 électeurs de la section agricole d’accomplir leur devoir.
Dans la nouvelle région de Kaffrine, les installations des bureaux de certaines communautés rurales ont été émaillées de violents incidents. Vendredi dernier déjà, la devanture de la maison communautaire de Darou Miname Saloum a été le théâtre d’empoignades d’une rare violence ayant opposé deux tendances rivales du Pds qui se sont affrontées à coups de pierres, de barres de fer, mais aussi d’armes à feu. Bilan des échauffourées : des blessés graves dont certains ont été acheminés à l’hôpital. Dans la communauté rurale de Ida Mouride également remportée par la coalition Sopi, le feu couve.
Initialement prévues le 18 mai 2008, les élections locales ont été reportées au 22 mars prochain au terme de l’adoption par l’Assemblée nationale de la proposition de loi introduite par la député du Parti démocratique sénégalais (Pds), Aminata Tall. Le vote de la loi a été assorti de la prorogation du mandat des conseillers régionaux, municipaux et ruraux élus le mai 2002. À deux jours de la date « impérative » de clôture du dépôt des listes de candidature, demain mardi 20 janvier à minuit au plus tard, partis politiques et coalitions de partis politiques, notamment de l’opposition sont à la bourre.
Amath Dansokho, secrétaire général du Parti de l'Indépendance et du Travail (PIT) et ex-maire de la ville de Kédougou fait partie de ces hommes politiques qui ne mettent pas de gants pour affirmer avec force ses convictions. Il revient avec nous sur les vives tensions qui existent entre la presse et le pouvoir, la Goana. Il a aussi évoqué dans cet entretien qu'il nous a accordé à son domicile sur les "différents tripatouillages" de la constitution, l'assassinat de Me Babacar Sèye. Il a en outre confirmé les menaces dont sont victimes les membres du FSS et laisse transparaître le désir de certains libéraux de vouloir liquider Macky Sall, Président de l'Assemblée nationale.
Annoncé pour la semaine prochaine, le premier gouvernement post-alternance ère II, se cherche désespérément cheftaine ainsi qu’équipe. Me Wade peine à se trouver « Première » ministre, qui répond au portrait-robot qu’il en a dressé. De guerre lasse, se résoudra-t-il à conserver l’actuel occupant, Macky Sall signalé pourtant au perchoir de l’Assemblée nationale ? Avec quelle troupe ? Puisée où ? Véritable casse tête-chinois pour celui qui a rempilé le 25 février dernier. Pour un dernier mandat ? En outre, le président de la République n’a pas que la question du team gouvernemental et de son chef ou cheftaine à dénouer. Il a également à délier celle des animateurs des nouvelles et/ou renouvelées institutions : le Sénat et l’Assemblée nationale.