Membre de la coalition DiomayePrésident, le président de l'Union des panafricanistes sénégalais (UPS) n'est pas de ceux qui pensent à une trahison, dans le différend qui oppose Sonko à Diomaye.
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Membre de la coalition DiomayePrésident, le président de l'Union des panafricanistes sénégalais (UPS) n'est pas de ceux qui pensent à une trahison, dans le différend qui oppose Sonko à Diomaye.
À travers une note, Bougar Diouf, président de l’Union des Panafricanistes Sénégalais (UPS), exprime sa vive inquiétude face à la possible mise en accusation de l’ancien président Macky SALL, initiée par le groupe parlementaire du PASTEF dirigé par Mohamed Ayib DAFFÉ.
Diffusion de fausses nouvelles : Bougar Diouf envoyé en prison
Le président de l'Union des panafricanistes sénégalais (UPS) est en état d'arrestation pour diffusion de fausses nouvelles ! Selon une source autorisée de Seneweb, Bougar Diouf vient d'être placé en garde à vue dans les locaux de la Division spéciale de cybersécurité (DSC), à l'issue de son audition.
Fervent défenseur de la liberté d'expression, le président du Forum du justiciable ne tolère cependant pas les propos tenus par Bougar Diouf.
Cybersécurité : Bougar Diouf convoqué
Au début des années 1990, le vent du multipartisme souffle sur l'Afrique de l'Ouest et Aïcha Koné remplit des salles sur l'air d'"Africa Liberté".
Le point sur la visite de Mélenchon à Dakar et sur les premiers mois du duo Faye-Sonko à la tête du Sénégal
Le combat s’internationalise.
Hier lundi 13 mars, on apprenait que la chaîne française LCP avait déprogrammé la diffusion d’une interview accordée à Kemi Seba. Le militant panafricaniste serait un relais de la propagande russe.
Message à la Nation : l’intégralité du discours de Macky Sall
Quel homme politique sénégalais ou responsable de la Société civile s’accommoderait de voir à la tête de son pays, une junte militaire pendant presque deux ans et que cette même junte demande à s’octroyer un «mandat cadeau» de 5 ans ?
C’est un Cheikh Tidiane Gadio qui accueille dans son bureau de l’Institut panafricain de stratégies (Ips), en boubou blanc, «dans l’air de Maouloud», sourit-il à ses collaborateurs. Ce panafricaniste jusque dans ses portraits de Nkrumah et autres qui ornent les murs, aborde les crises au Mali, en Centrafrique et ailleurs avec conviction, mais surtout avec l’habileté diplomatique qu’il faut. Normal pour un ex-ministre des Affaires étrangères qui n’est pas à l’ex-térieur des indiscrétions étranges.
Vraiment le Président Laurent Gbagbo avait promit de respecter sa parole donnée et d’accepter le verdict des urines (résultats) pendant son face-à-face avec le Dr. Alassane Dramane Ouattara télévisée sur l’antenne de la RTI avant le deuxième tour d’élection, mais il n’avait pas promit de tenir sa promesse.
Le guide libyen Mouammar Kadhafi a appelé, mardi à Dakar, à la mise en place d’un "gouvernement d’union" et d’une armée unique africaine, pour rendre effective l’unité du continent et par la même occasion donner sens aux combats et sacrifices consentis par les Africains à travers l’histoire.
Dans un entretien accordé il y a quelque temps à Afrique Magazine, Wade y étale ses grands travaux avec des questions parfois bien complaisantes de la journaliste Emmanuelle Pontié. Dimanche 14 février. Le président Abdoulaye Wade nous reçoit au Palais présidentiel, dans l’un des salons de l’immense salle du rez-de-chaussée, en compagnie de Mamadou Bamba Ndiaye, ministre conseiller, chargé de la communication, des relations avec la presse, des affaires religieuses et porte-parole de la présidence de la République.
Lorsque le 19 mars 2000, le candidat du FAL (Front pour l’Alternance) Abdoulaye Wade réussit à déboulonner le candidat du PS (Parti socialiste) Abdou Diouf à l’issue du second tour de la présidentielle, une page entière de l’histoire du Sénégal était tournée. L’événement est d’autant plus historique que les Socialistes ont régné sans partage à la tête du Sénégal depuis son accession à l’indépendance et que l’alternance s’est déroulée dans un esprit démocratique exemplaire. Retour sur les péripéties d’un événement démocratique fondateur. « Il faut le réveiller, dites lui que c’est le Président de la République qui veut lui parler. C’est très important ! » Quelques heures plus tard, il revient à la charge : « Je vous félicite Abdoulaye, vous avez gagné l’élection présidentielle ! »
Depuis quelques années, l’Afrique de l’Ouest est encore secouée par des crises dont l’origine n’est rien d’autre qu’une mal gouvernance de ses dirigeants. Si ce n’est pas un coup d’Etat militaire classique (Mauritanie, Guinée, Niger), c’est une manipulation d’ordre constitutionnel (Sénégal, Côte d’Ivoire et Niger) organisée par des dirigeants qui voudraient s’éterniser au pouvoir. Quelquefois aussi on assiste à un règlement de comptes sanglant entre responsables politiques, qui se termine par la mort d’un des protagonistes comme en Guinée-Bissau. Ainsi va l’Afrique après cinquante années (50) d’"indépendance". Pour le Sénégal, la réalité est que la présidence de la République avec les différentes constitutions élaborées entre 1963 et 2001 et les nombreux privilèges que se sont toujours octroyés ses différents occupants, constitue un enjeu
APA-Dakar (Sénégal) Dakar abrite du 27 au 30 juillet 2009, un Symposium consacré aux Etats-Unis d’Afrique, et suivi d’un Forum sur le Rôle et la Place de l’Afrique dans la Gouvernance mondiale, a appris APA auprès du ministère sénégalais des Affaires étrangères. Quelque 300 éminents intellectuels, universitaires et hercheurs d’Afrique et de la Diaspora prendront part à cette importante rencontre dont le Président d’honneur est le chef de l’Etat sénégalais, Me Abdoulaye WADE, lui-même étant connu comme un éminent panafricaniste.
Dakar, 3 juil (APS) - Le Conseil des Ministres s’est réuni le jeudi 3 juillet 2008, à partir de 10 heures, au Palais de la République, sous la présidence de Son Excellence Maître Abdoulaye WADE, Président de la République. Dans sa communication au Conseil, le Chef de l’Etat est revenu sur sa participation au 11ème Sommet de l’Union Africaine tenu à Sharm El Sheikh, en Egypte, du 30 juin au 1er juillet 2008. Ce Sommet dont le thème central était : « Réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement pour l’Eau et l’Assainissement », a vu les débats porter, entre autres, sur le Gouvernement de l’Union et sur la situation au Zimbabwe.