La Direction générale du Cadre de vie et de l’hygiène publique a mené, ce samedi 11 octobre 2025, une importante opération de sécurisation et de désencombrement dans...
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
La Direction générale du Cadre de vie et de l’hygiène publique a mené, ce samedi 11 octobre 2025, une importante opération de sécurisation et de désencombrement dans...
Lamine Yamal est une belle promesse pour le football
Saint-Louis : le corps sans vie d’une femme retrouvé sur la berge du fleuve
L’hôpital Dalal Diam a tenu à alerter à propos de 16 corps sans vie d’inconnus, déposés au niveau de sa morgue "par réquisitions des officiers de police judiciaires".
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Un international togolais se brise le cou contre un panneau publicitaire et risque d’être handicapé à vie
En Corée du Sud, le taux de natalité est très faible
Mathématiques, sciences de la vie et de la terre, physique-chimie et technologie.
L’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) a lancé la semaine de l’assainissement ce mercredi 08 octobre à la Médina, après ses interventions à Grand-Yoff et aux Maristes lundi dernier.
« Chaque jour que Dieu fait, la population de Kédougou, une localité riche en minerais précieux comme l’or, qui devrait être un symbole de prospérité pour ses enfants, continue de vivre dans la pauvreté, marginalisée, alors que des orpailleurs étrangers envahissent nos mines et exploitent nos ressources avec une impunité totale ».
L'ouverture des classes est un moment de grand stress pour nombre de parents d'élèves salariés, mais plus pour le monde informel devant faire face à la cherté de la vie, à l'enfer des fournitures scolaires et des frais d'inscription.
Adrien Rabiot s’est longuement confié dans une interview accordée à Le Figaro.
L’ancien député Sanou Dione est l’invité de l’émission Tolluwaay
Une découverte macabre a secoué, ce lundi, le village de Poukham Tock, dans la commune de Mbellacadiao , (département de Fatick). En effet le corps sans vie d’une femme a été retrouvé , pendu à l’aide d’une corde dans un jardin de manguiers situé à l’entrée du village.
«Les crimes de sang, les atteintes graves à l'intégrité physique ou à la vie, ainsi que les actes de prévarication sur les deniers publics, ne sauraient bénéficier d'aucune indulgence. »
Âgé environ de 25 ans, M. Dia veut gagner sa vie sans fournir aucun effort.
Le ministère de la Santé vient de faire le point sur l’évolution des épidémies actuellement en cours dans le pays
À une semaine du lancement de la première édition de Dakar Slush’D, un sommet panafricain dédié à l’innovation et à l’entrepreneuriat à impact, une étape clé vient d’être franchie
La région de Sédhiou a été plongée dans la tristesse et la consternation ce samedi 4 octobre 2025, suite à la découverte du corps sans vie d'un berger dans...
Espagne : avant de mourir, l'ex-doyenne de l'humanité a livré six secrets pour vieillir en bonne santé et atteindre 117 ans