"Déchets" venus de "pays de merde": Trump s'en prend aux migrants avec une violence renouvelée
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"Déchets" venus de "pays de merde": Trump s'en prend aux migrants avec une violence renouvelée
Les réactions en France et à l'international se multipliaient, lundi, après l'annonce officielle...
Depuis plusieurs décennies, la maîtrise des eaux pluviales fait l’objet de nombreux débats...
Donald Trump va annoncer lundi son colistier pour la campagne électorale au premier jour d'une convention républicaine historique à Milwaukee, bouleversée par la tentative d'assassinat de l'ancien président.
UNE VALSE EN DEUX (2) TEMPS ENTRE LE PRESIDENT MACKY SALL ET LES « SEPT SAGES » DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL.
Le chef religieux et homme politique Serigne Mansour Sy Djamil a rendu un hommage à « son mentor » Desmond Tutu...
Il est l’un des plus grands philosophes de notre temps.
La maison de l’écrivain avait été touchée, comme l’avaient été la plupart des habitations dans le quartier populaire de la capitale où elle est située.
Homélie : Eminence, Excellences, Monsieur le Premier Ministre Chers fidèles pèlerins, Chers amis croyants venus honorer Marie, Chers auditeurs et téléspectateurs qui êtes en communion avec nous par le génie des médias ici présents,
Mardi 11 Septembre 2001, Mercredi 11 Septembre 2013 ; 12 ans exactement après les séries d’attentats qui ont frappé les USA, occasionnant des milliers de morts de nationalités et de conditions diverses. L’homme venait de connaitre là une autre horreur qui a interpellé ses valeurs, ses principes, ses références et tout simplement son humanité. La différence doit elle conduire fatalement au différend ? La violence est elle un moyen fiable d’expression de son identité et de ses préoccupations ? Sur quels socles culturels et axiologiques fonder la démocratie comme système de gouvernance qui promeut les libertés des acteurs et des familles d’acteurs ? Quel type de leadership faut-il pour piloter nos organisations et assurer l’émancipation de toutes leurs composantes ?
La Gouvernance d’Etat, en tant que processus, est soumise, par nature, à une logique d’évolution, comme tout phénomène lié à la sociologie politique. L’irréversible mutation des sociétés nécessite une adaptation continue de l’offre d’Etat, aux besoins et aux exigences nouveaux de la machine démocratique. De nos jours, cette machine ne se satisfait plus seulement de l’organisation régulière de consultations électorales, moments, pour le peuple souverain, de reprendre la parole afin de se prononcer sur l’œuvre des dirigeants ayant exercé un mandat délégué. Les citoyens de notre époque contemporaine exigent d’avoir leurs mots à dire, chaque fois que de besoin. Dès lors, il appartient à l’Etat de s’organiser pour offrir ce cadre permanent d’expression citoyenne, avant la présentation du bilan général à l’appréciation souveraine du collège national.
BISMILLÂHI ARRAHMÂNI ARRAHÎMI - Majestés, -- Altesses,
A la veille du pèlerinage de Poponguine, le Cardinal Théodore Adrien Sarr, patron de l’Eglise, évoque les grands défis de la communauté chrétienne, mais aussi ceux qui se posent à la société sénégalaise
Le Conseil des ministres s’est réuni le jeudi 29 décembre 2011, à partir de 11 heures, au Palais de la République, sous la présidence de son Excellence Maître Abdoulaye WADE, Président de la République.
C'est avec une sérénité déconcertante, que Babacar Gaye accueille sa nomination au poste de ministre d'Etat, en charge des affaires politiques. Expérience oblige, le président du Conseil régional de Kaffrine, dans l'entretien qu'il nous a accordé, compte tirer tous les enseignements de sa fonction de Directeur de Cabinet politique dont il ne garde pas que de bons souvenirs. Celui qui, dans sa vie, a eu la malchance d'être toujours pionnier : Groupe Parlementaire Libéral et Démocratique, Directeur de Cabinet Politique du chef de l' Etat et Président de Conseil Régional d'une toute nouvelle région, révèle qu'il n'est jamais évident de démarrer une mission.
Cela se passe de commentaire. Des camions en provenance de la Gambie déversant leur contenu humain au poste frontalier de Karang sans aucune explication. Le comble, les expulsés ne sont pas que des Sénégalais, mais aussi des Guinéens, des Ghanéens, des Nigérians, etc. La Gambie ne veut plus d’eux parce qu’ils n’ont pas payé leur carte de séjour ‘Alliance carte’ qui coûte environ 23 mille francs Cfa et doit être renouvelée chaque année. Alors, le pays décide de se débarrasser d’eux en les déversant à la frontière avec le Sénégal. Même si d’aucuns parviennent à repartir en Gambie dans la clandestinité, plusieurs d’entre eux élisent domicile à Karang sans être inquiétés.
Une économie délabrée, une jeunesse désespérée, des conflits internes au Parti socialiste gouvernant qui menacent l’unité nationale, une confiscation systématique des médias du service public au profit du parti-Etat socialiste, la faillite des entreprises nationales, la concentration de tous les pouvoirs, c’est l’essentiel des maux que l’ex-opposant, Me Wade devenu président de la République en mars 2000 juge incompatible avec les intérêts supérieurs du Sénégal. D’où son souhait d’alors de mettre en place une Direction nationale de l’appel à la nation.
Secrétaire général de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme, Alioune Tine, a entrepris une médiation pour renouer le dialogue entre le pouvoir et la frange la plus importante de l’opposition qui a décidé de boycotter les élections législatives du 03 juin prochain. Il demande aux deux parties de faire des pas en avant pour sauvegarder le modèle démocratique sénégalais. À cet effet, M. Tine exhorte l’opposition à reconnaître les résultats de la présidentielle du 25 février dernier, et au chef de l’État d’ouvrir des négociations sérieuses avec elles. -Entretien-
Nous sommes horrifiés par l’enlèvement et l’assassinat du président du Conseil régional de Ziguinchor, Omar Lamine Badji, la veille de la Tabaski. Cette récente tragédie, après tant d’autres, prouve à l’évidence que le président Abdoulaye Wade leurrait le pays et l’opinion internationale en annonçant solennellement à l’orée de son mandat qu’il a, à la suite des négociations avec des rebelles indépendantistes, obtenu un accord pour une pause des hostilités devant déboucher sur la paix. Le prétendu succès nous a valu, on s’en souvient, un jour chômé et payé.
La plainte de certains proches du chef de l’Etat n’ébranle nullement le directeur de publication de la collection de l’Harmattan qui a édité l’ouvrage : «Affaire Me Sèye – un meurtre sur commande». Babacar Sall dit attendre cette plainte avec sérénité et détermination. Une plainte qui va lui permettre de livrer la vérité sur cette affaire qui a secoué le Sénégal. Dans la première partie de l'entretien qu'il nous a accordé, Babacar Sall revient sur le sens du livre de Latif, la liberté au Sénégal, entre autres. Wal Fadjri : Il y a quelques mois, vous publiez le livre d’Abdou Latif Coulibaly intitulé : Affaire Me Sèye, un meurtre sur commande. Si vous devez faire un bilan. Quel bilan tireriez-vous de cette publication ?