Après les événements malheureux de mars 2021 et de juin 2023 sur toute l’étendue du territoire sénégalais, toutes les voix se sont élevées, sur le plan national et international.
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Après les événements malheureux de mars 2021 et de juin 2023 sur toute l’étendue du territoire sénégalais, toutes les voix se sont élevées, sur le plan national et international.
Commençons par Sonko.
La légende du cinéma français a tiré sa révérence, lundi, à 88 ans. Si sa carrière est bien connue et jalonnée de succès, vous ne connaissez peut-être pas certaines anecdotes qui ont émaillé sa vie.
Alioune Sarr, un commerçant qui se prenait pour un gendarme, a fait passer un sale quart d'heure à un...
Aujourd’hui adulés et parfois enviés, certains de...
Trois faux policiers tombent sur un vrai flic
Trois faux policiers tombent sur un vrai flic
Première Afro-Américaine à recevoir le prix Nobel de littérature en 1993, l'écrivaine est morte dans la nuit de lundi à mardi à l'âge de 88 ans, selon son éditeur.
Nous ne parlerons pas de l’attaque meurtrière qui a coûté la vie à 13 personnes dans le sud du pays en proie à une rébellion endormie et réveillée subitement après le discours de nouvel an de Roi MaRcky. Nous ne parlerons pas non plus du procès du maire de Dakar poursuivi pour avoir perforé un trou dans la couche d’ozone de la caisse d’avance de sa mairie.
L'humoriste français d'origine sénégalaise Ahmed Sylla, qui s'est produit vendredi et samedi à Dakar, au Grand-Théâtre national, fait l'éloge de sa double culture, alimentée par des racines sénégalaises et un vécu plutôt français, se refusant absolument à choisir entre deux pôles qui inspirent ses spectacles et font son ouverture au monde et à la vie.
Ma niakhtou après tes deux lettres adressées à notre ami commun Ndiaye du Canada
De la déception et des interrogations après le «mono-lock» lancinant de Mo John, le chef du «gouver-nous-ment» qui a dit toute sa «véri-taire» sur l’affaire des contrats pétroliers, excepté ce que l’opinion avait envie de savoir. En essayant d’éclairer les lanternes, John, dans sa «décla-ratée» de presse, a fini par enfoncer l’opinion dans ses suspicions et accusations selon lesquelles il se passe quelque chose de pas très net au sujet des frères «Bogdanov», au point que des «ignorants» qui posent de banales questions, sur les contrats pétroliers et gaziers, soient menacés aussi ouvertement, d’emprisonnement. Plan Sénégal Emprisonnement. On y est, le Pse en marche à Rebeuss. Qui dit mieux ?
Accusés de brutalités, mais cibles de manifestants plus violents, les agents viennent d'obtenir le droit d'être armés. Envoyée spéciale à Alexandrie Il a finalement eu gain de cause. Lui, le flic honni sous Moubarak et haï sousMorsi, l'agent de sécurité d'Alexandrie qu'on envoie au casse-pipe pour un salaire de pacotille, vient d'obtenir l'autorisation de porter une arme.
Dans son édition de mercredi 27 juin, Le Canard enchaîné révèle comment, lorsqu'ils ont accompagné François Hollande au Brésil pour le récent sommet Rio+20, les membres du groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) se sont rendus compte qu'ils avaient tout simplement oublié leurs armes à Paris.
Si la satisfaction est le sentiment le mieux partagé pour les habitants de la Cité « Jaxaay », il n’en reste pas moins des choses à faire. La cité des sinistrés n’a ni marché, ni maternité, encore moins de cimetière. La question de l’état civil se pose également avec acuité.
Khadim Mbacké - Restons dans cette zone, plus précisément à Mbour. Où, à la suite d’un article paru dans notre édition d’hier, le bureau des relations publiques de la police a tenu à faire certaines précisions. Et, selon le Lieutenant-Colonel Alioune Ndiaye, «l’affaire concernant Serigne Khadim Mbacké n’est nullement liée à l’affectation des vaillants limiers du poste de police de Diamaguene à Mbour». «Manaam», ils ont été redéployés dans le cadre d’une rotation des forces de police qui ont été orientées «vers les services opérationnels qui avaient besoin de sang neuf».
"Let them bleed !’ (Laissez-les s’étriper !). A la lecture du ‘Guest édito’ signé Cheikh Diallo et paru dans les colonnes du Soleil le vendredi 3 juillet 2009, suivi de la réplique de Racine Talla dans L’Observateur du 6 juillet 2009, après un haussement d’épaules, il était très tentant de suivre cette cynique recommandation d’un membre de la défunte administration Bush, alors excédé par la guerre interminable entre Israéliens et Palestiniens. Seulement, la République du Sénégal est une chose trop sérieuse pour la laisser entre les seules mains des ouailles de Messieurs Wade junior et senior.
Démenti - Ce n’est pas tous les jours que l’on voit cela. Notre « ami » Farba Senghor a sorti hier un communiqué pour démentir l’information selon laquelle il aurait été nommé ministre conseiller chargé des missions du président de la République. « Il apparaît important pour la presse de recouper de telles informations auprès de l’intéressé ou du cabinet du chef de l’Etat. En effet, la nomination des ministres ou des conseillers ne présente aucun caractère secret », écrit Ngoutoute. En tout cas, c’est une excellente nouvelle qu’il nous donne. C’est la République qui s’en porte mieux…
Sa présence, avant-hier, aux côtés du chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, à la traditionnelle rencontre du Conseil de sécurité, qui se tient chaque lundi au Palais, a fait croire que le Premier ministre, Cheikh Hadjibou Soumaré, reprenait du poil de la bête. Apparemment, Hadjibou n’a pas encore retrouvé toutes ses forces. Conséquence, le chef du gouvernement a pris, dans la même soirée du lundi, aux environs de 23 heures, un vol à destination de la capitale française, Paris, sur «insistance du Président Wade qui veut qu’il prenne, entre une semaine et dix jours de repos. Histoire de recharger les batteries.
Après avoir reçu son récépissé du ministère de l'Intérieur le 12 mai 2007, concept déposé le même jour auprès de l'Organisation africaine de la propriété intellectuelle (Oapi), la Génération du concret est, aujourd’hui, à la croisée des chemins. En butte à une bataille interne entre Assane Bâ et Abdoulaye Baldé, pour la place de N° 2, ce mouvement est de plus en plus cité comme étant le bourreau de ces «empêcheurs de succéder en rond». Le dernier exemple en date serait le Secrétaire général de la présidence de la République et patron du Parti démocratique sénégalais (Pds) à Ziguinchor, par ailleurs Secrétaire exécutif de l’Anoci, Abdoulaye Baldé.