
Le procès de Baltasar Engonga et de ses coaccusés a débuté lundi devant le tribunal provincial de Bioko Norte en Guinée Equatoriale. L’ancien directeur général de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF) répond des accusations de corruption.
On lui reproche d’avoir détourné des fonds publics vers des comptes privés situés aux iles Caïmans. Le procureur a requis contre lui, 18 ans de prison pour détournement de fonds publics, abus de pouvoir et enrichissement illicite.
Le parquet propose de répartir la peine comme suit : 8 ans pour détournement de fonds, 6 ans pour abus de pouvoir et 4 ans pour enrichissement illicite.
Il n’est pas jugé pour l’affaire des sextapes
Incarcéré depuis novembre 2024 à la prison de Black Beach, Baltasar Engonga, sera très certainement fixé sur son sort dans les prochaines semaines. Rappelons que le procès se tient à huis clos.
De toute évidence, "Bello" (son surnom) n’est pas jugé pour l’affaire des sextapes, parce qu’il faut bien rappeler que c’est la fuite des vidéos intimes le mettant en scène avec plusieurs femmes qui avaient suscité l’ire du régime de Malabo.
Cela a presque fait oublier l’affaire de corruption dans laquelle M. Engonga est impliqué selon les autorités du pays.
9 Commentaires
@dsk.specialiste
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il y a 2 semaines (18:47 PM)Reply_author
il y a 2 semaines (18:56 PM)Aliou Badara à
il y a 2 semaines (18:16 PM)@18h38
il y a 2 semaines (20:58 PM)Reply_author
il y a 2 semaines (00:03 AM)Madame
il y a 2 semaines (18:34 PM)Mane Mi
il y a 2 semaines (18:38 PM)Décidément le luc coûte cher à Malabo.
Next time viens à Dakar, les femmes te su-cer et te traire jusqu’à la dernière goûte.
Badou
il y a 2 semaines (21:40 PM)Participer à la Discussion