« On ne peut jamais savoir ce qu’il peut advenir
d’un homme qui possède à la fois une certaine
conception de ses intérêts et un fusil »
Georges CLEMENCEAU
Le vieillard a le visage délavé, les yeux livides et le regard assombri. Les spécialistes de la retouche n’ont fait aucun effort pour le rajeunir. Il doit rester vieux pour la circonstance. Devant lui se tient sa propre copie en plus jeune, les sourcils froncés, les yeux plissés comme pour affronter un avenir qui certes inquiète, mais ne lui fait pas peur. Il apparaît au premier plan sous des couleurs plus gaies, qui tranchent d’avec la silhouette en noir et blanc du père, la lèvre tuméfiée et le menton replié. Pour le reste, les infographes de Jeune Afrique font preuve d’un grand génie : même costume, même cravate en pois rouge et même chemise blanche au col relevé. On aurait dit un même personnage pris à différentes périodes de sa vie. La photo est quadrillée de lignes assez fines pour signer la perfection de l’œuvre sans gêner la titraille qui l’accompagne. Là aussi, les hommes de Béchir Ben Yahmed déploient un talent hors normes, propre aux biographes des grands dictateurs : « Docteur Karim et Mister Wade ». Ils mettent un grand soin à magnifier le changement des rôles attendu. Le fils qui avait déserté le champ de bataille le 23 et le 27 mars pour laisser le champ libre à l’opposition est revenu en force, au devant de la scène. Il protège un père passé au second plan, fier de transmettre le relais. Tous ces efforts ont été déployés pour préparer un plan de transition qui devait mener à la présidentielle de 2012 et au-delà. Mais tout ce que tente le fils d’Abdoulaye Wade est voué à l’échec. Au lieu de susciter l’enthousiasme, la couverture heurte les consciences. Au lieu de forcer l’admiration, la présence d’un père et d’un fils sur une même page suscite l’indignation. Au lieu de plaire, elle choque. Au lieu de démentir l’existence d’un plan monarchique, la couverture à elle seule le confirme. Les pages élogieuses, signées bien avant le 23 juin, étaient faites pour préparer les Sénégalais à cette donne nouvelle : élire le président et son fils-président sous un même ticket : le « Docteur et le Mister ». Et patatras ! Jeune Afrique ne lui est d’aucun secours. Pas plus que cette lettre sans consistance, pleine de fautes de syntaxe, qui révèle un homme dans la tourmente. L’équipe de « conninication » de Karim Wade déploie une somme d’efforts incommensurables, pour de piètres résultats. Seul motif de consolation, la lettre entretient le débat. On en oubliait la journée du 23 juin et la polémique qu’elle avait fait naître, quand le journal Le Figaro a écrit que Karim Wade a demandé, ce soir-là, l’intervention de l’armée française. Mais ce répit sera de courte durée. Mercredi, l’avocat Robert Bourgi, longtemps accusé de parrainer Wade fils, lui a porté le coup fatal, en confirmant qu’une telle demande lui a été faite et qu’il lui a opposé un refus catégorique.
Alain Jupé a encore marqué ses distances pour mieux clarifier la position de la France dans cette histoire de succession monarchique. Puisque le but de la manigance de Deauville était bien de donner l’impression que la France avait donné sa caution à ce plan machiavélique. Il n’en est rien. A l’Assemblée nationale où des compatriotes se sont massés mercredi, M. Jupé a demandé au président Wade de s’appliquer le même conseil qu’il a prodiguée à Kadhafi : qu’il parte. Sage conseil donné à un homme seul, lâché par les siens, traqué par le pays tout entier, obligé de se réfugier dans son palais pour négocier une honteuse stratégie de sortie de crise. Personne, pas même dans le Pds, ne veut risquer l’affrontement avec l’opinion pour défendre un homme qui a décidé de trahir son pays, ses alliés, sa famille politique pour installer son fils à la tête du pays. Maintenant qu’il est affaibli, tous ceux qu’il avait humiliés un jour lui tournent le dos. La sortie d’Abdoulaye Baldé illustre bien la débandade de ses troupes et le sentiment de révolte qui les anime. Après les élections locales de 2009, alors qu’il était le seul responsable du Pds à avoir gagné dans une grande ville, le président de la République l’a appelé dans son bureau pour lui proposer de devenir directeur de cabinet de son fils. Une insulte pour Baldé, alors que Karim Wade venait de perdre dans son propre bureau de vote et que tous les ministres défaits avaient été reconduits. L’ancien commissaire y a vu une marque d’ingratitude. Même chose pour Habib Sy, injustement évincé du ministère des Infrastructures. Ce sont ces humiliations que ses camarades de parti lui rappellent. Ils sont seuls à se battre dans la rue, quand Karim Wade voyage en jet privé. Ses deux plus zélés courtisans, Farba et Massaly, ont décidé de ne plus se battre. Ses principaux alliés, Iba Der Thiam, Djibo Kâ et Mamadou Diop Decroix dénoncent un comportement irresponsable et une gestion monocratique. Chacun travaille pour lui-même et essaie d’échapper au naufrage collectif. La semaine dernière, les maires libéraux, invités à se mobiliser pour apporter la riposte à l’opposition, lui ont opposé un refus poli mais ferme. Les jeunes et les femmes regardent faire, démobilisés, démoralisés et tétannisés par la peur de ce qui les attend. Plus personne, dans le Pds, ne croit à la candidature d’Abdoulaye Wade, qui a lui-même déclaré qu’il ne peut plus se présenter. Ses colères qui faisaient peur font rire désormais. Ce n’est pas encore le décès du monarque, mais c’est la fin de sa majesté. Toutes les flèches qu’il décoche lui retombent dessus. La France et les Etats-Unis le somment d’abandonner son projet et de sortir de la course.
Alors qu’il cherchait à se réconcilier avec l’Arabie Saoudite, le roi lui a encore opposé un refus catégorique : pas question de lui accorder la moindre faveur. Il ne peut pas lui fermer les portes de la Mecque, mais il ne lui fera aucune faveur. Les pays arabes sont désemparés, depuis qu’il a publiquement avoué son passé franc-maçon. En voulant plaire à Sarkozy, qui n’en demandait pas tant, il s’est aliéné tous les chefs d’Etat africains qui ont vu d’un mauvais œil son activisme dans le dossier libyen. Il voulait obtenir le consentement de la France, il lui est refusé. Voilà dans quelle galère se termine l’histoire d’Abdoulaye Wade. Un despote a toujours de bons moments, mais ils ne durent jamais longtemps.
Pour revenir à cette demande d’intervention de Karim Wade, elle présente un autre intérêt. Elle donne à notre armée des raisons de rester unie et républicaine. Elle a déjà fait savoir au président Wade que jamais elle ne tirerait sur la foule, que son rôle n’est pas de tuer mais de protéger. S’il lui reste encore un peu de bon sens, Abdoulaye Wade doit arrêter son fils. Il faut que le pouvoir soit une drogue puissante, pour penser que la France peut intervenir dans ce pays au bénéfice d’une monarchie qui s’installe. Au lendemain des déclarations de Robert Bourgi, c’est la démission de Karim Wade qu’il faut exiger et son jugement. Et que tout dialogue commence par une seule exigence : qu’Abdoulaye Wade se conforme à la Constitution et qu’il renonce à la présidentielle de 2012. Tous ceux qui iront négocier avec lui sans ce préalable auront trahi les manifestants du 23 juin. Le courage est devenu, dans la situation présente, une activité sacrificielle. Il nous faut l’avoir à toute épreuve.
SJD
113 Commentaires
Ela
En Juillet, 2011 (08:24 AM)On dirait que LE tout puissant a décidé que l'heure des comptes est venu. Rien de ce que fait Wade n'aboutit. Tout se retourne contre lui!
On voit des actions désespéré Ca et lá ( comme cet inconnu marabout dolli lol), on voit serigne mbacké ndiaye, on voit la police qui essaye de tracker randomly quelques fauteurs de trouble... Mais au final, on sent un décompte inéluctable. Wade a tout misé sur sa carte Karim.
Aux yeux du monde entier il s'est avéré que Karim est l'homme politique avec le moins de matiére grise de l'histoire du Sénégal. Cherchez bien! vous ne verrez pas homme si peu efficace! Il a réussi á se faire trahir par bourgi! incroyable
Latdeuguèn
En Juillet, 2011 (08:28 AM)Bo
En Juillet, 2011 (08:33 AM)Demba Diop
En Juillet, 2011 (08:41 AM)Gardigné
En Juillet, 2011 (08:49 AM)Leonlafricain
En Juillet, 2011 (08:52 AM)Xman
En Juillet, 2011 (08:55 AM)PRÉSIDENTIELLES DE 2012 : Baldé tire sur les faucons qui complotent et travaillent l’oreille de Wade
En visite dans son fief de Ziguinchor, le maire Abdoulaye Baldé s’en est pris à ceux qui travaillent l’oreille du Président Wade et ne lui disent pas la vérité.
ZIGUINCHOR - Coup de gueule du Secrétaire général de la section communale Pds de Ziguinchor. À l’occasion de rencontres politiques le week-end dernier dans les quartiers de Niéfoulène 2, cité Famara Ibrahima Sagna et Boucotte-Est, en présence de différents responsables libéraux locaux, Abdoulaye Baldé, ministre d’Etat, ministre des Mines, a tiré à boulets rouges sur les faucons qui au sommet de l’Etat travaillent à diviser autour de Wade pour mieux régner. «Les véritables défenseurs du Président, du parti et de son bilan ne sont pas ceux-là qui, chaque instant, pour plaire au chef, vont raconter des contrevérités et concocter des plans qui ne correspondent pas à la réalité sur le terrain et qui passent tout leur temps à diaboliser leurs frères de parti», a accusé M. Baldé.
Selon lui, «les véritables défenseurs du parti et du Président, ce sont ceux qui de façon quotidienne descendent à la base rencontrer les militants, travailler à l’élargissement du parti et apporter un message d’espoir aux populations». Invitant ses frères à la raison et à se pencher sur l’essentiel, Baldé estime que «l’heure n’est pas à la division, à la calomnie, à la médisance, l’heure est au travail sur le terrain, à la re-mobilisation des militants, à l’inscription massive sur les listes électorales des jeunes militants».
Pour lui, c’est la voie du salut. «Nous devons être conscients que notre parti reste et demeure majoritaire dans le pays, que la victoire en 2012 est à notre portée si nous savons nous unir, nous aimer et être solidaires et persévérants dans le combat politique que nous menons», dit-il. Et d’indiquer que, dans les prochains jours, il va «faire convoquer toutes les instances locales, départementales voire régionales pour bâtir une stratégie de riposte et de re-mobilisation des militants en vue de la présidentielle de 2012».
Baldé s’est en outre prononcé sur les questions d’actualité. Au sujet du projet de loi sur le ticket présidentiel, le ministre d’Etat, ministre des Mines, de l’Industrie et des Pme a félicité le Président pour avoir eu «la grande lucidité et le courage politique de retirer à temps le projet de loi constitutionnelle qui avait fait l’objet de contestation de la classe politique, de l’opposition et d’une bonne partie de l’opinion nationale». À en croire M. Baldé, cela traduit l’attachement de Wade aux idéaux démocratiques.
S’agissant de la crise énergétique, le ministre d’Etat a dit que la crise était moins ressentie en Casamance depuis octobre dernier grâce aux efforts du ministre d’Etat Karim Wade qui a mis à la disposition de la région une capacité productive additionnelle. «Pour le reste du pays, je fais confiance au professionnalisme de Karim Wade qui, j’en suis certain, apportera dans les meilleurs délais une solution aux douloureux problèmes que nous vivons tous», dit-il.
Iba
En Juillet, 2011 (08:59 AM)Tt
En Juillet, 2011 (09:17 AM)Lenine
En Juillet, 2011 (09:23 AM)Le seul bon service qu'Abdoulaye puisse rendre au peuple sénégalais c'est de renoncer sans condition à sa candidature et de convaincre son fils à se laver les mains des affaires publiques. Qu'il aille faire valoir ses talents ailleurs. Les sénégalais ne le détestaient pas tant mais c'est son attitude malsaine qui les a poussés à avoir l'envie de vomir à chaque fois que son nom est évoqué.
Le règne d'Abdoulaye wade se résume sur ces mots wolof: " DEPAROU GAINDE, ARRIVE GUINAR"
tout simplement pour dire qu'il avait bien débuté suscitant du coup un sentiment d'espoir en nous tous mais hélas si on savait très tot que le bateau empruntait le chemin de l'enfer, Abdoulaye ne serait jamais au monde son driver.
Dof
En Juillet, 2011 (09:31 AM)Pour le reste, c'est une redite, la prophétie est inéluctablement en route pour mettre fin au parcours de Wade, fait de trahisons, renoncements, mensonges entre autres. Pas mêmes les gourous et magiciens noirs indiens convoqués secrètement au palais ou les pseudo borom xam xam (8 au total portant le même prénom) venus déclamer des versets sur sa calvitie naissante n'auront réussi à positionner rimka comme le 4e président de ce pays.
Nous disons NOOOOON Ngoné Latyr !!!!
Ce gosse n'a jamais suivi les cours d'instruction civique jadis enseignés dans nos écoles, sinon il saurait que dans chaque corps de sénégalais circule une veine qui relie son coeur avec de tout autre sénégalais, mort ou vivant.
Omar Ba
En Juillet, 2011 (09:47 AM)Le défi qu'il nous reste a relever sera de voter pour la bonne idéologie, qui fait preuve de moralité et de conscience du devoir envers son peuple, qui nous mènera vers une politique sans louanges ni mendicité ni népotisme.
Votez bien , votez pour le futur de nos enfants et de notre pays afin que l'on retrouve la dignité qui caractérisait nos ancêtres qui ont lutter pour que l'on reste digne et fier d’être sénégalais !!!
Vive les sénégalais ! Vive les Africains ! Vive la dignité !!
Ndongo Li
En Juillet, 2011 (10:01 AM)Notre pays le Sénégal vient de connaitre un moment historique qui constitue une première, depuis l’avènement de l’Alternance.
Des manifestations ont été orchestrées par les opposants au projet de loi sur le ticket présidentiel ; il convient de saluer leur forte mobilisation qui constitue une des preuves les plus flagrantes de la liberté et du dynamisme de la démocratie de notre pays car le Ministère de l’Intérieur avait donné l’autorisation à toutes les forces politiques de la Nation de marcher pour marquer publiquement leur opposition ou leur adhésion au projet de loi, conformément à l’esprit démocratique qui prévaut dans notre pays et que l’Etat a toujours prôné, dans ses rapports avec l’opposition.
Eu égard à toutes les mesures prises de manière régalienne pour la sécurité des personnes et des biens et la préservation de l’ordre public, l’opposition républicaine devrait marquer sa défiance à l’endroit du Pouvoir et des Institutions de la République de manière à éviter les conséquences regrettables que nous n’avons pu malheureusement que constater.
J’invite solennellement les citoyens respectueux des lois et règlements de notre pays à plus de retenue ; le débat politique doit être un débat civilisé qui peut se tenir sans violence, dans le respect des institutions garantes de la paix et de la stabilité sociales.
J’appelle l’opposition à un discours plus modéré à l’encontre de nos Institutions politiques et judiciaires ; la séparation des pouvoirs est une réalité tangible dans notre pays de longue tradition politique, et l’opposition doit savoir par expérience que les différents pouvoirs, chacun en ce qui le concerne prendront toutes les mesures requises, pour le respect des principes démocratiques et juridiques.
Je salue solennellement l’implication citoyenne des autorités religieuses et ecclésiastiques pour un dialogue politique apaisé entre les acteurs de la mouvance et de l’opposition, et pour la paix sociale.
Le dynamisme du jeu politique dopé par l’émergence de nouveaux acteurs est tangible, et cette mobilisation de grande envergure qui en est l’expression est aussi un signe, celui de l’engagement d’une frange non négligeable de la population, qui a choisi désormais de faire entendre sa voix lorsqu’elle jugera que les décisions émanant de l’exécutif ne sont pas conformes aux aspirations des populations.
C’est aussi le signal que le défi de la victoire du candidat de la coalition Sopi en 2012 ne sera relevé qu’au prix de la remobilisation de tous ceux qui se réclament de notre idéologie et soutiennent les actions de notre leader, Me Wade.
C’est pourquoi j’appelle tous les acteurs du jeu politique qui mesurent pleinement cet enjeu à rejoindre la mouvance Horizon Libéral Sans Frontières autour de notre projet de grand rassemblement de toutes les élites politiques qui partagent notre vision.
Le régime de l’Alternance sous la conduite éclairée de son Excellence Me Abdoulaye WADE a engrangé des acquis considérables sur tous les plans, et l’avancée démocratique notoire consacrée par des dispositions inscrites dans notre Loi fondamentale fait du Sénégal un phare en matière de démocratie, en Afrique et dans le monde entier.
Aujourd’hui l’accès à une éducation de qualité est un des objectifs majeurs des OMD que le Sénégal est en passe d’atteindre.
Dans le domaine de la Santé un maillage global en postes de santé et d’établissements sanitaires de référence au niveau national permet un accès de toutes les populations et de toutes les couches sociales de notre pays aux soins de santé de qualité.
Sur le plan économique et industriel, par son ouverture au niveau régional et sur l’international, le Sénégal se positionne désormais en leader de la sous région grâce au dynamisme de ses acteurs et aux initiatives prises par l’Etat. Je citerai notamment l’APIX ainsi que la réhabilitation du réseau routier national, qui fait du Sénégal grâce à son port le hub régional leader.
Les grands chantiers du quinquennat une fois achevés installeront durablement le Sénégal dans le gotha des nations émergentes ; le déploiement diplomatique de notre pays grâce à une stratégie bien menée a fini, sous le régime de l’Alternance, d’élever notre pays au rang des nations petites par la taille certes, mais grandes par leur poids et leur influence sur la marche du monde, par la présence remarquée et remarquable de notre président dans les plus grandes instances où on décide de l’avenir du monde.
Rappelons d’autres parts la multiplication au moins par deux de tous les revenus des fonctionnaires et assimilés, depuis l’Alternance.
Aujourd’hui, je lance un appel vibrant à Me Abdoulaye WADE, notre leader ;
Me Wade a toujours préféré la légitimité populaire et la symbiose avec les masses laborieuses de notre nation, à la prétendue légalité factice d’un régime politique que notre action et notre engagement commun ont fini par chasser du pouvoir.
Par son sacrifice personnel et son aura historique il a contribué à faire avancer durablement la démocratie dans notre pays et l’a engagé dans la voie de l’Alternance démocratique, après avoir incarné pendant 20 ans l’opposition significative à la base du multipartisme.
Aujourd’hui que la pérennisation des acquis immenses engrangés par notre pays est une des questions brulantes de l’heure, face au débat en cours sur l’opportunité de sa candidature pour les échéances de 2012, il est clair qu’au vu de son cursus, de son prestige immense et de son sens élevé de l’intérêt supérieur de la Nation que sa démarche recoupera fondamentalement les attentes du peuple sénégalais tout entier.
J’invite pour cela Me Wade à décrypter avec calme et avec objectivité le message du peuple sénégalais, et à analyser avec une objective lucidité les signaux envoyés par les différentes fanges de la population, le 23 juin, et bien avant.
Les structures et autres institutions budgétivores doivent être supprimées, et cela serait un signal fort à l’endroit de nos populations qui endurent au quotidien la souffrance des délestages et d’autres difficultés dont l’opposition veut faire son propos de campagne.
De même, le Gouvernement pléthorique actuel n’a pas réussi à apporter les réponses conformes aux espérances des Sénégalais. La mobilisation exceptionnelle du 23 juin sonne comme la sanction négative de son action rejetée au même titre que le projet de loi. Cet échec retentissant commande la révocation du gouvernement, et son remplacement par une équipe plus restreinte composée de leaders capables de prendre en charge les aspirations des sénégalais et de conduire la politique gouvernementale conforme à leurs attentes.
Au plan politique, l’installation en urgence d’un directoire politique collégial pour conduire le Parti à un congrès d’investiture pour le choix d’un candidat à l’élection présidentielle de 2012 est une nécessité impérieuse.
Ce directoire devrait se pencher aussi sur le choix d’un dauphin consensuel qui pourrait dans ce cadre être positionné comme le successeur de notre leader et porter à ses côtés le combat politique pour la pérennisation des acquis de l’Alternance.
Sénégalaises, sénégalais,
Je lance à votre endroit un vibrant appel, un appel au dépassement pour l’instauration d’un dialogue politique responsable, dans la paix des cœurs et des esprits, pour l’intérêt supérieur de la Nation.
Opposition comme pouvoir, nous souhaitons tous par notre action et notre engagement au quotidien améliorer les conditions de vie de nos concitoyens.
Je vous remercie de votre aimable attention
Message de Serigne Fallou Mbacké
Député à l'Assemblée nationale
Président du Conseil régional de Diourbel
Le Citoyen
En Juillet, 2011 (10:05 AM)QUI VA T'ON CHOISIR?
-LE TORTUEUX ET VOLEUR IDY?
-LE COMPLICE GADIO?
-LE RENEGAT MACKY?
DESOLE MAIS LES SENEGALAIS VONT ENCORE SE FAIRE PETER LA GUEULE.
Siga
En Juillet, 2011 (10:06 AM)REVUE DE PRESSE
Obama en colère après sa poignée de main avec Karim
NETTALI.NET - Le président Américain n’aurait pas aimé l’exploitation de la photo qui immortalise sa poignée de main avec le fils du président de la République sénégalais, Karim Wade. La presse informe qu’il a appelé le président Français, qui a introduit Karim Wade auprès de lui, pour lui mettre les points sur les i. Est-ce ce qui a poussé Paris à se brouiller avec Dakar ? En tout cas la presse est unanime à dire que Sarkozy a lâché les Wade après que Robert Bourgi a confirmé l’appel de Karim demandant l’intervention des militaires français au Sénégal et que Alain Juppé a recadré le chef de l’Etat.
« Retour sur la fameuse poignée de mains entre le président des Usa et Karim Wade lors du Sommet du G.8 de Deauville en mai dernier. Selon des sources dignes de foi, le président de la première puissance mondiale a dernièrement câblé son homologue français –metteur en scène de cette farce- pour lui mettre les points sur les i. Et nos interlocuteurs de préciser que Barack Obama a indiqué à Sarkozy de ne plus refaire le coup de Deauville », écrit « EnQuête ».
Siga
En Juillet, 2011 (10:07 AM)« EnQuête » pense que « si Obama s’est plaint, c’est aussi dû au fait qu’il a pu, par divers canaux, se rendre compte à quel point la fameuse photo le montrant aux côtés de Karim Wade, a fait des ravages. Soucieux de la bonne réputation des Etats-Unis et ne voulant point être associé à des initiatives de type monarchiques, Barack Obama a initié, nous dit-on, un contre-lobbying, pour déconstruire ce qui avait été monté ».
Ce qui fait dire à « EnQuête » que « Les Etats-Unis ont pesé sur la balance » pour le lâchage de Sarkozy de Wade.
Prési
En Juillet, 2011 (10:11 AM)Al
En Juillet, 2011 (10:12 AM)Bravo Jules, tu as parfaitement "descendu" Wade dans cette chronique. Je doute fort qu'il puisse s'en relever !
Siga
En Juillet, 2011 (10:20 AM)Kou La Fan
En Juillet, 2011 (10:24 AM)Bedford
En Juillet, 2011 (10:29 AM)Abx
En Juillet, 2011 (11:35 AM)Notre seul soucis est motiver tous les jeunes à s'inscrire .
La solution la plus realiste et la plus importante c'est bien un vote massif des sénégalais .
Nous sommes maître de notre destin .
Ouly
En Juillet, 2011 (11:39 AM)Pour Un P De Plus
En Juillet, 2011 (11:45 AM)Ouly
En Juillet, 2011 (11:48 AM)M.a.n.n
En Juillet, 2011 (11:57 AM)Karim WADE fait là encore état de sa naivété aigue et de son ignorance extrême des affaires étatiques!
Cela ne nous étonne nullement du Gouvernement de Gorgui quand on fait le tour de table des gens qui le constituent... Sérigne Mb. NDIAYE ne doit pas connaître ce mot "honte"; je pense qu'il ne figure pas dans son dictionnaire, s'il en a un bien sûr!
Seulement, un doute subsiste dans nos têtes quant à votre objectivité et votre vouloir d'éclairer les lanternes des Sénégalais que nous sommes...Comme l'as soutenu un de mes frères sur ce forum du nom de "Demba Diop", on ne vous entend quasi jamais parler des gens comme l'ex premier ministre Idrissa SECK qui, tantôt valse avec le pouvoir en place; et quand cela lui chante emboîte des pas de danse dans les rangs de l'opposition!
Mr DIOP, merci de tourner la page des WADE car elle finie pour les Sénégalais et entrons de plein pied dans celle d'Idrissa SECK car 2012 frappe à nos portes et les Sénégalais seraient bien heureux d'en savoir plus sur ce personnage surtout qu'il compte briguer le suffrage universel...
D'aucuns soutiennet que vous soyez une de "ses machinations" et d'autres, le contraire. Le temps est venu pour vous Jules, de mettre fin à ces spéculations.
Le Peuple Sénégalais a MURI et ne se laissera plus jamais embarquer dans des distortions de quelque nature que ce soit...Les 23 et 27 Juin derniers attestent cet état de fait...
Chers frères et soeurs, je n'ai rien contre la personne d'Idrissa SECK; je voue au contraire une parfaite admiration pour l'Animal Politique qu'il est! Seulement, j'attire juste votre attention quand on sait qu'il est "UN PUR produit" du Prési WADE... Nous savons tous en Afrique, que rares sont les pays dans lesquels l'élève dépasse son maître... A MEDITER
Caty
En Juillet, 2011 (12:14 PM)Caty
En Juillet, 2011 (12:15 PM)Caty
En Juillet, 2011 (12:16 PM)Caty
En Juillet, 2011 (12:16 PM)Caty
En Juillet, 2011 (12:17 PM)Manu Chao
En Juillet, 2011 (12:23 PM)Pijo
En Juillet, 2011 (13:03 PM)Le jour viendra ou Karim et son satané pére paieront tout ce qu ils ont fait aux SENEGALAIS.
Quand aux defendeurs des Wade (Serigne Mbacké et autres) le ridicule ne les tue pas car comment peut il (Serigne Mbacké) dementir en organisant une conference de presse que Karim n a jamais appele Mr Bourgi pour faire intervenir l armée française et qu aujourdhui Mr Bourgi confirme lui meme etre appelé par Karim et a l heure donné par la journaliste française? Il doit vraiment avoir honte ce transumant. Mis comme au Senegal le ridicule ne tue pas!!!!
Guardien
En Juillet, 2011 (13:09 PM)Idrissa Seck vaut il le sacrifice de votre integrite? C'est la question. Nous veillons, comme tout bon Guardien.
Mr Ndiaye Cem Gadapara/kolda
En Juillet, 2011 (13:29 PM)sur ce chemin de determination c sur k le senegal peut devenir le japon de demain guem sa bop rek té kham ki nga doone yar ak téguine ndioub si gestion bi
Xeuss
En Juillet, 2011 (13:57 PM)Peuls,
En Juillet, 2011 (14:44 PM)Sangoo
En Juillet, 2011 (16:53 PM)Bilahi
En Juillet, 2011 (17:09 PM)Wa Clanq Bi
En Juillet, 2011 (17:11 PM)Vrai
En Juillet, 2011 (17:14 PM)Elygermany
En Juillet, 2011 (17:16 PM)yalla dafa firr! donc nous ne devons jamais oublier de Le remercier quand il nous vient en aide te dikko dello limou yello.
God bless Senegal Amin!!!
Yéyé
En Juillet, 2011 (18:12 PM)Sénégalais Contre Les Wade
En Juillet, 2011 (18:33 PM)M. WADE,
J’accuse réception de votre lettre en date du dimanche 3 juillet 2011. Je suis désolé de vous avoir fait travailler le week-end. Je sais que vous auriez préféré prendre votre jet privé pour un pays du Golfe.
Je souligne aussi que c’est plus par politesse que je me donne la peine de vous répondre. Ce n’est ni pour votre mérite, ni par respect. Je ne peux pas respecter quelqu’un qui ne me respecte pas en retour.
Je signale également que je n’ai pas perdu un marché public, ni une position, encore moins une faveur, un privilège, un titre, une fonction. Aussi, n’ai-je aucune raison de vous en vouloir pour des raisons personnelles. Ma réaction est donc celle d’un humble citoyen sénégalais, qui pense devoir partager avec ses frères sénégalais (tous ceux qui aiment ce pays d’un amour sincère et respectent leurs compatriotes) sa pensée sur le régime de votre père dont je n’attends plus rien, et cela, depuis longtemps. En effet, cela fait déjà dix ans que je suis découragé de la gestion de Abdoulaye WADE. Dix ans, me direz-vous ?
Oui, vous répondrais-je. Dix ans ou presque. Cela fait dix ans que j’ai compris que le Sénégal allait dans l’impasse avec votre père de président à la tête de mon pays. Un petit rappel s’impose.
Nous sommes à la veille des législatives de 2002, quand votre frère Idrissa SECK, a eu l’idée wadienne (donc plus que machiavélique) de faire figurer l’ombre de votre commun père sur les bulletins du PDS, comme pour préfigurer la calamité dans laquelle ce parti allait nous plonger. Le Conseil constitutionnel de l’époque (un vrai conseil) jugea illégal cette pratique.
Sans aucun tact, aucun sens des responsabilités et de la mesure et, surtout, aucun esprit de dépassement, toutes choses attendu d’un Président de la République, M. A. WADE prend alors sa plus belle plume, pour, dans deux éditions successives du quotidien « le Soleil », soit disant commenter la décision de cette juridiction supérieure. En fait de commentaire, il s’agissait en réalité de critiques d’un très bas niveau intellectuel et politique. De là date mon découragement. Votre père n’avait pas encore bouclé sa deuxième année à la tête du pays.
La suite m’a donné raison. Ainsi, là où vous vous glorifiez de son ¼ de siècle d’opposition (un grand mérite, je vous l’accorde même si je ne crois plus qu’il l’ait fait pour « l’approfondissement de la démocratie et pour la conquête des droits individuels et collectifs », ni « pour la liberté d’expression et pour la transparence des élections »), je suis prêt à vous opposer son 1/8ème de siècle ou presque de recul démocratique, de gabegie, de népotisme, de prévarication des finances publiques, de gestion tatillonne de l’Etat, de manipulations et manœuvres de bas niveau… et j’en passe. Tout autre sénégalais honnête et sincère peut citer au moins autant de méfaits de WADE ressentis de façon individuelle ou collective.
Pour en revenir à vous, certains passages de votre lettre me laissent rêveur, parce que je refuse d’en rire, même une seconde. Lorsque vous dites que rien ne vous a été donné, adressez-vous s’il vous plait, à vos contempteurs qui sont prêts à vous approuver sans réfléchir.
Parce que moi, je vous poserai simplement la question de savoir où vous étiez durant les années de braise ? En 1988, 1993, 1994 et toutes les années suivantes jusqu’au 19 mars 2000. Je ne me souviens pas vous avoir vu, entendu ou même senti dans l’espace public que vous vous gargarisez d’occuper aujourd’hui. Où vous étiez, Karim WADE pendant que votre père, alors opposant, manipulait la jeunesse, les amenant en 1988 à une année blanche, en 1993 à une session unique et en 1994 à une année invalidée ? Assurément pas à ses côtés. Les témoins de cette époque sont encore là : Talla SYLLA, Bacar DIA, Fada, Idy, Macky… et même Aliou SOW sont parmi les plus connus.
En réalité, vous aviez choisi de le laisser se battre à côté d’autres sénégalais. Vous n’êtes apparu dans l’espace public qu’une fois les fruits mûrs, récoltés ou cueillis, et décortiqués ou épluchés. Vous n’êtes donc apparu qu’une fois les fruits prêts à consommer. Et même pour les manger, il a fallu que votre père vous les mette à la bouche et vous flanques de quelques sbires pour vous tenir la mâchoire. Permettez-moi donc, Karim WADE, de ne pas croire, un seul instant que l’on ne vous a rien été donné. Je suis plutôt d’avis que, dans ses desseins monarchiques et monarchistes, votre père de président-roi ne vous a rien refusé.
Vous me permettrez aussi de vous rectifier quand vous affirmez avoir choisi la difficulté. Parce que si je ne vous rectifie pas, il faudra que vous répondiez à d’autres questions. Ainsi, combien sont-ils de sénégalais plus diplômés, plus compétents et plus méritants que vous qui gagnent dignement leur vie, au Sénégal ou à l’extérieur, sans avoir l’opportunité de devenir ministre de la terre et des cieux dans leur propre pays ? Combien d’entre eux seraient prêts à rentrer si on leur promettait des milliards à gérer sans avoir à en rendre compte ? Même au sein du PDS, combien sont-ils de militants plus compétents et plus méritants que vous ? Quel concours avez-vous réussi pour devenir conseiller spécial (sic) de votre père, être porté à la tête de l’ANOCI ou devenir ministre ? Quelle difficulté avez-vous surmonté pour être là où vous êtes aujourd’hui ? Non, M. WADE, je vois plutôt en vous un grand adepte, pour ne pas dire un maître de la facilité. Si c’est votre entourage qui vous convainc du contraire, alors il vous trompe.
Et quand vous vous attaquez à l’opposition ou à la presse, j’en déduis que vous n’avez encore rien compris, à moins que votre intelligence soit telle que vous ne puissiez comprendre les choses les plus élémentaires. Laissez-les donc tranquilles, M. WADE. Elles n’étaient pas dans le bureau de vote du point E le 22 mars 2009. C’est plutôt les citoyens de ce quartier qui ont refusé de vous confier leur commune, alors que votre père de président ne voulait pas que vous rendiez compte de votre gestion de l’ANOCI. Comme les citoyens sénégalais refusent aujourd’hui de vous confier leur pays.
Pour dire que le 23 juin 2011, si l’opposition n’était pas absente à la place Soweto (la bien nommée), c’est surtout le peuple sénégalais qui, à la suite de sa faction du point E, vous a rejeté en donnant à votre père une leçon qu’il n’est pas près d’oublier. Espérons qu’il aura l’intelligence d’en tirer d’autres leçons plus démocratiques et plus respectueuses des sénégalais. Il comprendra alors que le peuple sénégalais ne lui a jamais assigné pour mission de se désigner un successeur.
Pour finir, la seule chose que je préfère retenir de votre courrier, c’est lorsque vous semblez accepter qu’au Sénégal, le pouvoir ne s’hérite pas et qu’il se conquiert par la voie des urnes, à travers les voix des sénégalais. Il est juste malheureux que votre père et vous ayiez attendu le 23 juin 2011 pour enfin y réfléchir sérieusement. Parce que je doute encore que vous y croyiez. Il y a bien eu un 22 mars 2009 dont vous n’avez retenu aucune leçon, WADE père ayant promu le fils que le peuple souverain avait rejeté, comme pour l’imposer davantage et continuer à narguer ses compatriotes.
Mais, les sénégalais vous attendent au tournant. Lui, s’il insiste pour sa candidature anticonstitutionnelle ; et vous, si vous en avez encore le courage et surtout l’inintelligence, aux prochaines élections. Nous verrons si les urnes vous permettront d’accéder au pouvoir, pour continuer les méfaits…, pardon « l’œuvre » de Papa WADE.
Mor FALL
El
En Juillet, 2011 (18:48 PM)A force d'insister , on a l'impression que sa candidature constitue une menace , alors que non ! A force d'insister ,
on risque de le conforter sur ce qu'il a toujours cru , c.à.d qu'il est au dessus de tout le monde , alors qu'il n'est Rien ! Ce que les Sénégalais doivent plutôt exiger , ce sont des élections libres et transparentes pour ne pas rééditer le coup de 2007 où tout le monde savait , mais sans preuves concrètes ! Si on a la garantie d'élections libres et transparentes , Wade-père , Wade-femme , Wade-fils , Wade-fille , Wade-valets , Wade-courtisans et que sais-je encore , ils n'ont qu'à se présenter tous , dougnou am touss , dara ( ils n'auront rien ).
C'est celà qui doit être le leitmotiv des Sénégalais ! Merci à tous et à toutes !
Papisco
En Juillet, 2011 (20:16 PM)Senegalndiaye@sen-elf
En Juillet, 2011 (22:31 PM)...."Les politiciens sont une race qui ne sont mûs que par leurs propres intérêts donc ils ne peuvent en aucun cas tenter de nousfaire croire qu'ils ont les solutions à nos problèmes."
Nous sommes sur la meme longueur d'onde.
Toutes mes excuses! Je suis une tete vide!
Pravda
En Juillet, 2011 (23:43 PM)Info/intox
En Juillet, 2011 (04:04 AM)(j'ai été la 1ere a dire que la femme de Karim Wade est morte et je l'ai dit dans ce thread 10 jours avant que l'avis de décès ne soit émis. J'avais dit aussi - et ici également - que l'Armée ne tirera pas sur la foule et expliqué ce que serait son rôle, si elle sortait de ses casernes).
Benn Peul
En Juillet, 2011 (09:43 AM)A la dernière par exemple, jusqu'à la 23e minute vous disiez encore être à l'introduction. Pour une émission d'une heure c'est qand même disproportionné.
Je comprends que c'est parce que vous avez plein de choses à couvrir mais au lieu d'ilmproviser peut- être devriez vous "timer" les points à traiter! Cordialement.
Dacoura
En Juillet, 2011 (10:09 AM)Que le bon DIEU vous guide et vous protége. Amine
Atention Karim
En Juillet, 2011 (10:48 AM)Quant à KARIM WADE,il est inutile de revenir sur son passé car je crois qu'il est déjà disqualifié depuis 2009.Mais son père WADE est tellement tignasse qu'il veut coute que coute le mettre au devant de la scène.Mais il est temps qu'il rouvre les yeux c'est NON partout les sénégalais ont encré dans leur tète que wade veut leur imposer son fils comme un héritage familial alors qu'il s' agit ici d'un pouvoir d'état démocratique.
Quelque soit le candidat du PDS je voterai toujours libéral mais WADE doit au préalable renforcer son gouvernement,faire appel aux anciens qui se sentent lachés,sortir KARIM du palais et dire à sa Maman VIVIANE que son fils n'est pas encore mature pour affronter les ténors de la politiques sénégalaise.
Pour désamorcer la bombe qui peut exploser à cause des coupures d'électricité il faut demettre karim de ses fonction d'abord de ministre de l'énergie.Aprés lui retirer petit à petit les autres responsabilités étatiques.
A SUIVRE
Moda
En Juillet, 2011 (10:49 AM)Laskha
En Juillet, 2011 (10:51 AM)D.
En Juillet, 2011 (12:32 PM)Une soit disant "société civile" surgie de nulle part demande un "dialogue" (Senegal eternel pays de dialogue et de paix selon cette litanie...) avec Wade.
L'opposition ressucitée par les indigné du 23 juin doit maintenant savoir ce qu'elle veut (au delà de ce que chacun d'eux veut). Elle est en position de forcer Wade au moins à renoncer publiquement de se présenter, de de mettre Wade fils et le ministre de l'interieur et d'organiser des élections libres et transparentes.
Elle peut même exiger le départ de Wade et sa traduction devant la justice ainsi que sa famille.
Dire que c'est ce viellard de 90 ans à l'orée de la mort qui se paie cash un terrain à plus d'un milliard cfa dans un Sénégal en pleine crise ! Il faut lui appliquer la jurisprudence Bourguiba!
Merci Résistant SJD pour vos pertinences dans DEg deg et la Chronique ! Merci pour le Senegal !
Au nom de tous les Malick Ba
il faut que
les WADE DEGAGENT !
SENEGALAIS, INDIGNONS-NOUS !!!
D.
En Juillet, 2011 (12:34 PM)Warou
En Juillet, 2011 (15:13 PM)Fay
En Juillet, 2011 (17:29 PM)Spartacus
En Juillet, 2011 (17:36 PM)Apres que l' etat Republicain ait maitrise les pulsions monarchiques
de
cette maree montante de la mediocrite wadienne ,il nous faudra
leur imposer
d' observer les regles du jeux et jeter avec desinvolture une derniere
pierre sur le monument national :(Alternance )que les derives de ces hommes au pouvois
ont fini par mettre en peril .Wade va-t-il changer de fusil d 'epaule et ne plus nous provoquer ?
Ous voici dans l' indignation.
Lui
En Juillet, 2011 (18:45 PM)Marcus
En Juillet, 2011 (20:00 PM)Lache la bride et soit plus objectif pour la crédibilité de ton oraison éjaculatoire.Ton manque de principes dans un combat soit-disant pour le peuple est de plus en plus criarde,et sément le trouble jusque chez tes compagnons de circonstances,dans ce combat hélàs de circonstances.Ce n'est pas à toi de distribuer des notes aux supposées coupables ou non.Tt sénégalais qui a eu des responsabilités est comptable de ses propres actes et devra un jour rendre compte au peuple,seul maître de son destin.Qu'il s'appelle Karim wade,Idrissa seck,Macky sall,ou Baldé.C'est au peuple sénégalais,en tte démocratie de les juger au mm pied d'égalité.
Purée,encore ce plouc de PEULS!
Papa Bakary
En Juillet, 2011 (00:29 AM)Bachir Diallo
En Juillet, 2011 (00:30 AM)CIVITAS (1)
Le «soleil des indépendances» s’est levé depuis prés d’un demi-siècle déjà et l’humoriste de citer le président fondateur:
«Vous êtes indépendants mais pas libres ».
Cette Afrique là semble mal barrée (pour ne pas dire mal partie), barrée sur la liste des continents en devenir et sur les «feuilles de route» du développement.
Opposants d’hier, hors la loi d’aujourd’hui…
Ainsi, après traques, traversées du désert ; ils arrivent pour quelque peu étancher leur soif !
Devenant dans les faits des «alter noceurs», au moment ou le monde célèbre l’avènement des altermondialistes ; ses hippies du 21eme siècle prêts à en découdre pour sauver ce qui reste de la planète.
Après les oppositions armées qui ont été quelques peu tempérés par le TPI, viennent au pouvoir les «nouveaux opposants»: fauchés et fâchés.
Fauchés …L’opposant venu au pouvoir n’avait _il pas donné des assurances à ses «protégés» sur toutes leurs craintes financières futures?
Fâchés…Ne l’ont _ils pas mérité ce pouvoir après tant d’années d’opposition/oppression, clament ils ?
D’où ces velléités de jouer les prolongations à la Gbagbo ou Wade…
Ont-ils médité les actes du sage Mandela au lieu d’en médire ?
Ils pensent disposer du même droit divin de décréter d’une vie ou d’une mort. Le temps du crépuscule de «Sirat» (2) ; ou démonstration sera faite que toute cette vie ici bas et au-delà, ne tenait qu’à ce fil.
Sur ce pont, sûr qu’on n’y dansera point !
In version janvier 2011, BACHIR DIALLO
Notes
1) Civitas : l’on serait tenter de le traduire par civilité mais c’est presque un faux ami ; en effet, ce mot latin traduit l’ETAT. Mais ce dernier n’est il pas la somme de toutes les civilités dans le sens de bonnes dispositions citoyennes ?
2) Sirat : Il est dit dans le saint coran que c’est le pont du «partage» entre les damnés (charriés sous le pont par une mer de feu) et les «admis » au ciel et c’est pendant le crépuscule que tout se déroulera.
L'appel Du Maudit
En Juillet, 2011 (04:40 AM)On imagine le malaise de Karim Wade et du porte-parole, face à cette mise au point du conseiller du président français. Cette information soulève maintes interrogations et observations. Karim Wade a-t-il informé son père avant de passer ce coup de fil ? L’a-t-il fait sur instructions ou de son propre chef ? On ne peut s’empêcher de se demander aussi pourquoi Wade fils s’est tourné vers l’armée française. A-t-il essuyé, au préalable, une fin de non-recevoir de la part de l’armée de son propre pays au point de recourir aux troupes françaises au Sénégal pour faire le « sale boulot » ? En tout cas, cet acte traduit un vrai malaise dans le système en place au pays de Gorgui. Cet appel au secours du fils du président sénégalais laisse percevoir une certaine frilosité, une panique dans son camp.
C’est le genre de comportements révélateurs d’un régime aux abois. Certes, il y a des accords militaires entre le Sénégal et la France. Mais, à supposer que le Sénégal ait vraiment besoin d’un appui militaire de la France, Karim Wade n’est pas, dans l’orthodoxie républicaine, l’autorité compétente pour demander cette aide. Cela est évident du moment où il n’est ni le chef de l’Etat, ni le Premier ministre, ni même le ministre de la Défense. Des choses de ce genre ne peuvent pas se faire dans un Etat de droit souverain. Par cet acte, Wade fils donne la preuve qu’il manque de culture et de maturité politiques solides. Comment a-t-il pu prendre un tel risque de voir l’armée française intervenir pour « mâter » des Sénégalais qui manifestent dans leur propre pays ? A-t-il seulement pensé, un seul instant, aux conséquences désastreuses d’un tel acte pour son pays et surtout pour son avenir politique à lui ?
A-t-il pensé au tollé prévisible de tous les anti-impérialistes et autres souverainistes, tant au Sénégal que sur le continent, que cela aurait provoqué ? Il est vrai que comme le dit, en substance, un dicton, en situation de noyade, on s’accroche à tout, même à un serpent. * Inutile de dire que tout cela est grave et surprenant pour un pays comme le Sénégal, censé être un des Etats africains les plus respectables en termes de démocratie et à cheval sur les principes de souveraineté nationale. Me Abdoulaye Wade n’avait-il d’ailleurs pas demandé le démantèlement des bases militaires françaises dans son pays, symboles forts du néo-colonialisme français ?
En sollicitant une intervention militaire française dans son pays, Wade Junior donne du Sénégal, l’image d’un pays irresponsable, incapable de faire face à ses propres problèmes. En posant cet acte qui s’inscrit en droite ligne des agissements déplorables de la Françafrique, il infantilise son pays. Pour sa part, cette sortie de Robert Bourgi sonne comme un désaveu pour le ministre Karim Wade, mais aussi pour Abdoulaye Wade et son régime. Un ami ne vous jette pas en pâture de la sorte, sauf si, cette amitié bat de l’aile. Le fils du chef de l’Etat sénégalais a visiblement oublié qu’en politique, les intérêts priment sur l’amitié, que les temps ont quelque peu changé, que l’Elysée a maintenant de la peine à soutenir des régimes comme le leur, sans s’attirer les foudres de l’opinion.
Ce comportement de Bourgi tend à confirmer ce qui se murmurait déjà : la France, consciente du rapport de force qui se dessine, se serait rapprochée de l’opposition sénégalaise, au détriment de Wade. Cette ruade de la diplomatie « officieuse » fait écho aux propos tenus dernièrement par Alain Juppé -diplomatie officielle- suite aux émeutes survenues au Sénégal, sur les risques liés à la volonté de Wade de se maintenir au pouvoir à tout prix. C’est un signe qui ne trompe pas. Quand on considère que tout cela se passe à quelques encablures de l’élection présidentielle, ces bévues ont toutes les caractéristiques des signes avant-coureurs d’une fin de règne. Mal négociée comme le fait le pouvoir actuellement en place au Sénégal, cette fin de règne est source de risques énormes. Aux Wade de savoir se ressaisir et d’éviter le pire à eux-mêmes et à leur pays.
« Le Pays »
L'appel Du Maudit
En Juillet, 2011 (04:43 AM)A-t-il pensé au tollé prévisible de tous les anti-impérialistes et autres souverainistes, tant au Sénégal que sur le continent, que cela aurait provoqué ? Il est vrai que comme le dit, en substance, un dicton, en situation de noyade, on s’accroche à tout, même à un serpent. * Inutile de dire que tout cela est grave et surprenant pour un pays comme le Sénégal, censé être un des Etats africains les plus respectables en termes de démocratie et à cheval sur les principes de souveraineté nationale. Me Abdoulaye Wade n’avait-il d’ailleurs pas demandé le démantèlement des bases militaires françaises dans son pays, symboles forts du néo-colonialisme français ?
En sollicitant une intervention militaire française dans son pays, Wade Junior donne du Sénégal, l’image d’un pays irresponsable, incapable de faire face à ses propres problèmes. En posant cet acte qui s’inscrit en droite ligne des agissements déplorables de la Françafrique, il infantilise son pays. Pour sa part, cette sortie de Robert Bourgi sonne comme un désaveu pour le ministre Karim Wade, mais aussi pour Abdoulaye Wade et son régime. Un ami ne vous jette pas en pâture de la sorte, sauf si, cette amitié bat de l’aile. Le fils du chef de l’Etat sénégalais a visiblement oublié qu’en politique, les intérêts priment sur l’amitié, que les temps ont quelque peu changé, que l’Elysée a maintenant de la peine à soutenir des régimes comme le leur, sans s’attirer les foudres de l’opinion.
Ce comportement de Bourgi tend à confirmer ce qui se murmurait déjà : la France, consciente du rapport de force qui se dessine, se serait rapprochée de l’opposition sénégalaise, au détriment de Wade. Cette ruade de la diplomatie « officieuse » fait écho aux propos tenus dernièrement par Alain Juppé -diplomatie officielle- suite aux émeutes survenues au Sénégal, sur les risques liés à la volonté de Wade de se maintenir au pouvoir à tout prix. C’est un signe qui ne trompe pas. Quand on considère que tout cela se passe à quelques encablures de l’élection présidentielle, ces bévues ont toutes les caractéristiques des signes avant-coureurs d’une fin de règne. Mal négociée comme le fait le pouvoir actuellement en place au Sénégal, cette fin de règne est source de risques énormes. Aux Wade de savoir se ressaisir et d’éviter le pire à eux-mêmes et à leur pays.
L'appel Du Maudit
En Juillet, 2011 (04:44 AM)Ce comportement de Bourgi tend à confirmer ce qui se murmurait déjà : la France, consciente du rapport de force qui se dessine, se serait rapprochée de l’opposition sénégalaise, au détriment de Wade. Cette ruade de la diplomatie « officieuse » fait écho aux propos tenus dernièrement par Alain Juppé -diplomatie officielle- suite aux émeutes survenues au Sénégal, sur les risques liés à la volonté de Wade de se maintenir au pouvoir à tout prix. C’est un signe qui ne trompe pas. Quand on considère que tout cela se passe à quelques encablures de l’élection présidentielle, ces bévues ont toutes les caractéristiques des signes avant-coureurs d’une fin de règne. Mal négociée comme le fait le pouvoir actuellement en place au Sénégal, cette fin de règne est source de risques énormes. Aux Wade de savoir se ressaisir et d’éviter le pire à eux-mêmes et à leur pays.
Zomar
En Juillet, 2011 (10:49 AM)Dokhoss
En Juillet, 2011 (11:46 AM)Tir
En Juillet, 2011 (22:39 PM)P. B.
En Juillet, 2011 (19:30 PM)La frustration a quitté les claviers et est enfin dans la rue.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (19:35 PM)INCERTITUDE SUR LA FIN DE RÈGNE DE NJOMBOOR … LE CHAOS GÉNÉRALISÉ OU L’APRÈS CHAOS !
En attendant la déclaration de Njomboor WADD prévue le 14 juillet prochain sur la situation nationale, on ne pas s’empêcher de se demander ceci : partira ou partira pas, et son fils avec. Il est vrai que depuis le 23 juin, une conjonction de circonstances a entraîné une accélération de l’histoire.
La toute dernière, et non la moindre, a été le lâchage de Njomboor et de son fils par R. BOURGI et par la France après la sortie du Ministre des A.E. Alain JUPPÉ.
Dès lors, la folle course contre la montre, de Njomboor afin de tout mettre en oeuvre pour pour un 3ème mandat pour ensuite donner le pouvoir à son médiocre fils, est condamnée à s’arrêter.
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (19:41 PM)Maintenant, l’impératif est de maintenir la pression à l’intérieur tout comme à l’étranger en organisant des manifestations (affichage, mailing, siting, meeting, points- presse) afin de vilipender davantage Njomboor et de montrer la véritable nature de ce régime chaotique.
Lors d’un entretien avec le site français «Slateafrique.com», notre président en exercice Njomboor a fait une déclaration,pour le moins surprenante :
« Moi, je ne serai plus au pouvoir au moment où mon successeur sera élu. Je ne vais pas organiser moi-même l’élection de mon successeuder.»
Au regard de la conjoncture actuelle, on peut s’attendre à plusieurs cas de figures :
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Qui Est Ce?
En Juillet, 2011 (21:26 PM)Kourourof
En Juillet, 2011 (01:24 AM)Hamidine
En Juillet, 2011 (01:32 AM)Citizen Lambda
En Juillet, 2011 (08:27 AM)dixit l'honorable T.D il y a un an. Imparable.
Citizen Lambda
En Juillet, 2011 (08:56 AM)Chif
En Juillet, 2011 (09:13 AM)El Hadji Bara
En Juillet, 2011 (12:50 PM)El Hadji Bara
En Juillet, 2011 (13:43 PM)Siga
En Juillet, 2011 (15:29 PM)D'après l'article du journal Le Quotidien "D’abord, avant la notification de leur garde à vue, les jeunes opposants ont été formellement identifiés derrière une vitre teintée, par un chef d'entreprise en même temps fonctionnaire du consulat du nom de L.A. (seules les initiales nous ont été communiquées). Il aurait ainsi indexé 15 personnes comme ayant participé au saccage du bâtiment consulaire. Ensuite, à leur libération le lendemain, ce groupe a été prévenu d’une convocation qu’il allait recevoir dans les prochaines semaines."
Thiey Yalla
En Juillet, 2011 (17:55 PM)Hey founiou dieum.
Meme si Wade quitte ce pays, je n'ai aucun espoir tellement nous sommes devenus nuls a l'image de la famille Wade.
Hamidine
En Juillet, 2011 (00:29 AM)Marcus
En Juillet, 2011 (16:06 PM)Si un membre de ta famille travaille dans le service public sénégalais,on dira qu'il est sous l'égide de maître Wade.En d'autres termes,il est avec lui pour contribuer au développement du Sénégal et pas forcément pour l'intérêt de la famille Wade ou du Pds.Au-delà de tes propos graveleux,c'est infâme d'insulter ses parents.
Mou Lère
En Juillet, 2011 (16:33 PM)Tyma
En Juillet, 2011 (18:26 PM)Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (18:46 PM)Ce cas de figure est aux antipodes des intérêts du peuple sénégalais. En effet, se serait changer les personnes mais pas le système. Njomboor, sa famille et ses plus proches coollaborateurs seraient amnistiés.
Par contre, les sous-fifres( les Farba, les Massaly, les Serigne Mbacké Ndiaye …) seraient sacrifiés pour faire bonne figure.
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (19:36 PM)Donc, dans ce cas, il risque de ne pas y avoir d’élections présidentielles en 2012. Et du coup, le mouvement du 23 juin risque de découcher à une « révolution » à la tunisienne ou à l’égyptienne.Il laisse plonger le pays dans un chaos généralisé, et en profite pour s’enfuir avec sa famille.
3°- Soit, Njomboor meurt- eh oui, il est mortel même s’il donne l’impression de ne pas l’être.
Reste à souhaiter que tout se passe dans le calme et sans violence.
En fait, la violence engendre la violence et peut susciter plus de mal qu’elle n’en règle.
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (19:39 PM)Sur la violence, l’Élu çalla l-Làhu ^alayhi wa sallam a dit :
(( là daràra walà diràr ! )) ce qui signifie :
« Il est interdit de faire du mal à soi-même et à autrui !» Xadiith rapporté par l’Imàm Màlik et par d’autres, que Dieu les agrée.
Donc, le suicide, sur toutes ses formes, étant une forme de violence sur soi est illicite (xaràm) selon la Loi musulmane.
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (19:40 PM)** Le chaos s’installe et perdure avec des conséquences tels que : accroissement de la misère et de la pauvreté, émeutes, guerres civiles, coup d’état, règlements de comptes sanglants, etc.
** les milices dirigées par certains marabouts ÉGARÉS ET HÉRÉTIQUES( Modu Kara MBacké, Béthio Thioune) et les mouvements INTÉGRISTES, ÉGARÉS ET HÉRÉTIQUES tels que les Wahhabito-salafistes, ceux qui se font appeler les les ^Iibàdu r-Raxmàn, les Jihadistes… dont certains individus se réclament dans ce pays, vont trouver une bonne occasion pour précipiter encore davantage notre société dans le chaos.
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (19:44 PM)Voyez-vous, la paix intérieure et l’intégrité nationale sont menacées.
Raison pour laquelle, il devient nécessaire et impératif de la part des FORCES DE SÉCURITÉ (Armée, Gendarmerie, Police, Douanes, Sapeurs Pompiers, Sécurité Civile, etc.) de prendre leurs responsabilités avant qu’il ne soit trop tard, afin de faciliter la mise en œuvre des conclusions faites par les ASSISES NATIONALES.
Bien entendu, ces conclusions devront être améliorées davantage à court, moyen et long terme.
Évidemment, je partage l’idée selon laquelle, une présidence et un exécutif de transition d’une durée de 3 ans entourés d’une équipe d’origine et de compétences diverses et variées, peuvent être envisagés.
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (19:45 PM)En ces temps de « révolutions» provoquées à la sauce NOUVEL ORDRE MONDIAL(N.O.M. / N.W.O.), soldées par des violences meurtrières, l’INTERVENTION PACIFIQUE DES FORCES DE SÉCURITÉ évitera à coup sûr le désordre et surtout la perte inutile voire regrettable de vie innocentes.
Cela permettra de garantir une transition sereine, gage d’une alternative crédible, évitant la reprise du pouvoir par les « élites » habituelles téléguidées, toujours en embuscade, à la solde des héritiers de Nimrod(An-Nemruud), suppôts de faux-messie Ad-Dajjal - le borgne, tireurs de ficèles et adeptes de la sinistre logique maçonnique « Ordo Ab Chao ».
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (23:55 PM)Autrement dit, selon eux, il s’agit de provoquer le chaos afin de secouer le peuple pour ensuite lui imposer LE NOUVEL ORDRE MONDIAL(N.O.M. / N.W.O.)
À propos de la violence, l’Élu çalla l-Làhu ^alayhi wa sallam a dit :
(( là daràra walà diràr ! )) ce dont le sens est :
« Il est interdit de faire du mal à soi-même et à autrui !» Xadiith rapporté par l’Imàm Màlik et par d’autres, que Dieu les agrée.
Par conséquent, l’INTERVENTION PACIFIQUE DES FORCES DE SÉCURITÉ permettra dans de court délai de mettre de l’ORDRE dans ce pays qui en a tant besoin.
QUI POUR SUCCÉDER À NJOMBOOR ET FAIRE LA TRANSITION ?
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (23:58 PM)QUI POUR SUCCÉDER À NJOMBOOR ET FAIRE LA TRANSITION ?
Il va sans dire dire que, à partir de ce qui précède, celui qui aura la charge de faire la transition devra la faire en accord avec les conclusions, du reste perfectibles, des ASSISES NATIONALES.
Par conséquent, il devra se démarquer de la démocratie maçonnique à la sauce NOUVEL ORDRE MONDIAL(N.O.M. / N.W.O.) que l’oligarchie financière apatride mondialiste est en train d’imposer via des « révolutions colorées »(Tunisie, Égypte) ou via des coups d’état déguisés en conflits internes meurtriers provoqués et téléguidés ( Lybie, Syrie).
En définitive, le problème sénégalais, tout comme ce qui passe dans le monde arabo-musulman, est d’abord un problème sociétal.
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (23:59 PM)D’autant que, le Messager de Allàh çalla l-Làhu ^alayhi wa sallam a dit la parole :
(( kamà takuunuu walla ^alaykum )) qui signifie : «Tels que vous êtes, vos dirigeants sont.»
En d’autres termes, nos dirigeants nous ressemblent.
Ceux qui nous dirigent, à n’importe quel échelon de la société, ne sont que des miroirs qui reflètent ce que nous sommes !
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (00:00 AM)Étant donné que la plupart des hommes politiques sénégalais sont liés à des partis qu’ils ont fondés et dont ils sont ombilicalement attachés, il s’avère judicieux de confier la présidence de transition à quelqu’un comme Amadou Makhtar MBOW, si toutefois il correspond à l’archétype évoqué ci-dessus.
Mais, pour des raisons d’évidence compréhensibles, Amadou Makhtar MBOW, âgé de 90 ans, Président du Comité de Pilotage des ASSISES NATIONALES, a décliné le choix qui pourrait être porté sur sa personne en ces termes :
« Je suis en dehors de la compétition. Je considère qu’il faut laisser les autres, je suis trop âgé.»
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Xmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (00:02 AM)POURQUOI IBRAHIMA FALL ?
Je tiens tout d’abord à signaler que, bien que nous soyons du même pays, nous ne vivons pas sous le même ciel. Par Allàh , la première et la dernière fois que je l’ai rencontré remontent à plus de quinze ans ; et depuis, plus aucun contact!
Néanmoins, j’ai reçu à son sujet un témoignage qui l’honnore et qui contraste avec l’excès de révérence pour ne pas dire excès zèle, qu’il affichait en tant que ministre, en saluant avec les deux l’ex-président Abdou DIOUF.
Bon, me dira-t-on qu’il a changé. Toutefois, sa participation active aux ASSISES NATIONALES de 2008 est à mettre à son crédit.
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (00:03 AM)Un savant (^alim) et saint (waliyy) qui s’appelle Oustàz DIOP , imàm d’une grande mosquée, a fondé il ya plus de cinquante dans la ville de Tiwàwàn une dàrah où sont passées des générations et des générations . La famille propriétaire du terrain qui abritait la dàrah a voulu reprendre le terrain. Cette honorable instiutution s’est retrouveé à la rue ! Pire, elle a été victime d’un incendie criminel !
Voyez-vous dans quel monde on est ! Ibràhima FALL qui, non seulement a été un tàlibé de cette dàrah, entretient des liens quasi filiaux avec Oustàz DIOP, a donné gratuitement une partie de son terrain pour héberger la dàrah délogée et sinistrée .
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (00:05 AM)En effet, son geste est d’autant plus honorable que la hiérarchie maraboutique de Tiwàwàn, pourtant détentrice de terrains, n’est pas allée dans le sens Ibràhima FALL en donnant un terrain ! Subxàna l- Làh, il s’agit d’un terrain pour une dàrah où l’on enseigne la Croyance musulmane, le Coran et la langue du Paradis, à savoir l’arabe ! Màm ^Abdu l-^Aziiz Ad-Dabbàgh Malik Sy raxiimahu l-Làh nous manque ! Allàh ta^àlà est Le Seul Juge !
Donc, si Ibràhima FALL veut prendre la présidence de transition en accord à ce que j’ai évoqué plus haut, in chà’ Allàh il aura mon soutien spirituel et matériel, à condition qu’il se démarque de la démocratie maçonnique à la sauce NOUVEL ORDRE MONDIAL(N.O.M. / N.W.O.) que l’oligarchie financière apatride mondialiste dont les agentures Illuminati nichés dans des O.N.G. et organismes comme l’O.N.U, dans les Tink Tanks(Organismes ou clubs réservoirs et pourvoyeurs d’idées) concocte.
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (00:05 AM)La parole « sauve qui peut » d’une sagesse salutaire que Màm ^Abdu l-^Aziiz Ad-Dabbàgh a dite en français, avant son décès en 1997, est une très forte exhortation à s’éloigner des pièges sataniques de cette vie d’ici bas ; pour se consacrer à la préparation de l’Au-delà.
Nous devons nous atteler à ce pour quoi Dieu nous a créés : L’adorer, faire le bien et éviter le mal ; recommander le bien et interdire le mal !
Étant donné que cette vie est faite d’épreuves, nous devons provoquer les causes, qui soient conformes à ce que Dieu ordonne, afin d’améliorer notre situation personnelle, familiale, socio-économique et financière !
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (00:06 AM)Dieu, Le créateur est éternel et Il est de toute éternernité tandis que Satan, ses suppôts dont les potentiels partisans du faux- Messie Ad-Dajjal -le borgne ne sont que des créatures mortelles !
À SUIVRE IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (00:07 AM)Louanges à Allàh, Lui Qui est Tout-Puissant sur toutes choses ! Que Ses bénédictions soient abondantes sur Muxammad, notre bien-aimé et intercesseur !
Que Dieu, Le Très Miséricordieux, nous fasse miséricorde, par la barakah des Saints (al-‘Awliyà’) qui ont vécu dans ce pays et /ou qui y vivent de nos jours et ceux d’ailleurs ! Àmiin !
A.V.D.
Tyma
En Juillet, 2011 (08:00 AM)Tu peux pas faire un peu plus court.
Oreilles Plaines
En Juillet, 2011 (13:57 PM)Futur
En Juillet, 2011 (14:28 PM)Horus
En Juillet, 2011 (14:59 PM)Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (18:04 PM)Salàm à vous HAMIDINE, sama mbokku tàlibé
Certes, Njomboor « est assurément du camp de satan » comme vu l’avez bien souligné. Toutefois,force est de prendre en compte ce que le Messager de Allàh çalla l-Làhu ^alayhi wa sallam a dit, à savoir :
(( kamà takuunuu walla ^alaykum )) ce qui signifie: «Tels que vous êtes, vos dirigeants sont.»
En d’autres termes, nos dirigeants nous ressemblent.
Ce qui revient à dire que nous dirigent, à n’importe quel échelon de la société, ne sont que des miroirs qui reflètent ce que nous sommes.
Par conséquent, nous avons vraiment du souci à nous faire !
Cela dit, on doit lui donner le coneil, conformément à ceci qui suit:
‘Abuu Ruqayyah Tamiim bni ‘Aws Ad-Dàriyy, que Allah l’agrée, a dit ce qui signifie : « le Prophète çalla l-Làhu ^alayhi wa sallam a dit : « Donner le conseil est un des fondements de la Religion. »
Nous l’interrogeâmes en lui disant : « Comment donner le conseil ? »
Il a répondu : « Il s’agit de donner le conseil aux gens afin qu’ils aient foi en Allàh, en Son Livre et en Son Messager, et de donner le conseil aux gouverneurs[ceux qui dirigent les pays] des Musulmans tout comme au commun d’entre eux.» [Xadiith rapporté par Muslim]
Que Dieu, Le Très Miséricordieux, nous fasse miséricorde, par la barakah des Saints (al-‘Awliyà’) qui ont vécu dans ce pays et /ou qui y vivent de nos jours et ceux d’ailleurs ! Àmiin !
A.V.D.
Axmad Vincent Diakhate
En Juillet, 2011 (18:38 PM)A.V.D.
L . A
En Juillet, 2011 (22:17 PM)Parmi ces erreurs il y a celles commises certes par Karim et les responsables de la génération du concret , mais il y a aussi celles commises par le président lui-même; les erreurs commises par le président , je les formulerais sous forme biblique ou coranique; si ton œil t'empêche de garder le pouvoir arrache-le a dit l'évangile ou si ta main droite peut entrainer ta chute coupe-la , nous voyons à travers l'histoire de ces dernières années que le président n'a pas accepté d'appliquer ces conseilles en arrachant son œil (Karim) ...... Le peuple, a dit le coran, ayant délibéré et choisi son chef, ne tenu de lui obéir que dans la mesure où il fait régner l'intérêt général dans le cadre du contrat social conclu avec lui "La libération V 37". Comme nous somme convaincu, que malgré les conjonctures difficiles la volonté du président a toujours tendu pour faire régner l'intérêt général en respecté le contrat social, il n' a pas besoin de modifier la constitution en courant le risque d'être accuser de vouloir restaurer une monarchie héréditaire. Voilà les erreurs qu'il faudra rectifier et le plutôt sera le mieux "ARRACHER L’ŒIL ET RENONCER DE NE PLUS TOUCHER LA CONSTITUTION "
Mais il faudra pas aussi tenter d'occulter le mal sénégalais comparable au mal français décrit par Alain Peyrefitte dans son fameux livre qui porte le même titre . L'origine de notre mal nous vienne de notre désire ardant des bien-être matériel, confort, niveau de vie élevé, belle maison.
La situation actuelle n'est que le symptôme d'une réalité plus profonde. Il convient donc de chercher ailleurs les causes du désarroi actuel. .
Je ne suis pas comme A V D; mais le vrai problème vient de ce que Dieu n'a plus sa place dans la société des hommes. Ayant perdu les vrais repères, l'homme et la femme ont bien du mal à remplir les fonctions morales et spirituelles les plus élémentaires pour vivre une vie normale et heureuse. Nous pouvons le constater à tous les niveaux de la vie sociale, mais surtout pour ce qui concerne la famille. Le noyau familial qui est la base de toute bonne société, n'est plus cette première école où les tout petits peuvent apprendre ce qui est bon et ce qui est juste et nous pouvons le constater à travers les propos tenus ici; les obligations qui ne peuvent pas êtres imposées échappent les lois de la société et portant ces attitudes intérieures, et ces relations au sein de la famille que leur capacité d'affection et de confiance peut le mieux se développer, en pleine harmonie avec la croissance de leur corps et de leur intelligence. Dès leur plus jeune âge, le sens du respect et l'amour du prochain peuvent ainsi leur être communiqué, l'exemple de leurs parents étant irremplaçable.
De nos jours, l'interprétation matérialiste que nous avons de la vie, conduit plutôt à faire de nos adolescents des jouisseurs égoïstes et rebelles. Leur âme, qui nourrit leur vie morale, n'a pas véritablement eu l'occasion de se développer sur le plan de la foi en Dieu et de l'amour du prochain. Certes, il est intéressant de constater que la plupart des enfants ne contestent pas vraiment l'importance de la famille, même s'ils démontrent souvent que leur nature, à cause de l'héritage du péché, est marquée par l'esprit de rébellion qui domine notre monde. Mais ce sont plutôt les adultes qui, par leur laxisme, négligeant leurs responsabilités de parents et leurs devoirs envers Dieu, leur Créateur, ont permis au fil des années cette dégradation morale de la famille et de la société que nous connaissons aujourd'hui chez-nous
L . A
En Juillet, 2011 (22:21 PM)Mais il ne faudra pas aussi tenter d'occulter le mal sénégalais comparable au mal français décrit par Alain Peyrefitte dans son fameux livre qui porte le même titre . L'origine de notre mal nous vienne de notre désire ardant des bien-être matériel, confort, niveau de vie élevé, belle maison.
La situation actuelle n'est que le symptôme d'une réalité plus profonde. Il convient donc de chercher ailleurs les causes du désarroi actuel. .
Je ne suis pas comme A V D; mais le vrai problème vient de ce que Dieu n'a plus sa place dans la société des hommes. Ayant perdu les vrais repères, l'homme et la femme ont bien du mal à remplir les fonctions morales et spirituelles les plus élémentaires pour vivre une vie normale et heureuse. Nous pouvons le constater à tous les niveaux de la vie sociale, mais surtout pour ce qui concerne la famille. Le noyau familial qui est la base de toute bonne société, n'est plus cette première école où les tout petits peuvent apprendre ce qui est bon et ce qui est juste et nous pouvons le constater à travers les propos tenus ici; les obligations qui ne peuvent pas êtres imposées échappent les lois de la société et portant ces attitudes intérieures, et ces relations au sein de la famille que leur capacité d'affection et de confiance peut le mieux se développer, en pleine harmonie avec la croissance de leur corps et de leur intelligence. Dès leur plus jeune âge, le sens du respect et l'amour du prochain peuvent ainsi leur être communiqué, l'exemple de leurs parents étant irremplaçable.
De nos jours, l'interprétation matérialiste que nous avons de la vie, conduit plutôt à faire de nos adolescents des jouisseurs égoïstes et rebelles. Leur âme, qui nourrit leur vie morale, n'a pas véritablement eu l'occasion de se développer sur le plan de la foi en Dieu et de l'amour du prochain. Certes, il est intéressant de constater que la plupart des enfants ne contestent pas vraiment l'importance de la famille, même s'ils démontrent souvent que leur nature, à cause de l'héritage du péché, est marquée par l'esprit de rébellion qui domine notre monde. Mais ce sont plutôt les adultes qui, par leur laxisme, négligeant leurs responsabilités de parents et leurs devoirs envers Dieu, leur Créateur, ont permis au fil des années cette dégradation morale de la famille et de la société que nous connaissons aujourd'hui chez-nous
L . A
En Juillet, 2011 (22:23 PM)Repondre
L . A
En Juillet, 2011 (22:27 PM). Mais ce sont plutôt les adultes qui, par leur laxisme, négligeant leurs responsabilités de parents et leurs devoirs envers Dieu, leur Créateur, ont permis au fil des années cette dégradation morale de la famille et de la société que nous connaissons aujourd'hui chez-nous
Jeep
En Juillet, 2011 (20:59 PM)Participer à la Discussion