Dans un entretien accordé au journal Les Échos, le journaliste Mamadou Lamine Ba, auteur du livre « Moi, Peul Fouta, actionnaire au Sénégal », alerte sur « des pratiques xénophobes et discriminatoires ». L’interlocuteur du quotidien d’information donne l’exemple « des expériences vécues par de nombreux Sénégalais portant des noms perçus comme étrangers ».
Il explique : « Le principal motif du livre, c'est de dire qu'il y a des choses anomales qui se passent dans le pays. Puis attirer l'attention des uns et des autres que si l'on ne prend garde, le Sénégal va vers des impasses qui ont déstabilisé des pays, sous nos yeux. Ce n'est pas souhaitable. » L’auteur d’ajouter : « Si on résume le livre en un mot, c'est : alerte. Sur la base d'informations documentées, j'ai voulu clarifier certains concepts, rejeter des préjugés et préciser des choses qui le méritent pour aider ceux qui souffrent de carence de culture générale à voir plus clair. »
Il poursuit : « Dans cet ouvrage, j'ai exposé des situations de stigmatisation, de discrimination, d’humiliation et de rejet de centaines de milliers de Sénégalais qui sont soumis à des pratiques déshumanisantes et déshonorantes qui ne reposent sur aucun fondement juridique. Ce livre parle donc de ceux qui sont pointés du doigt, ceux-là étiquetés d’étrangers et de tous ceux qui souffrent quotidiennement dans nos administrations pour le seul et simple tort qu’ils portent un patronyme non homologué dans certains milieux. »
« J’ai surtout éclairé que le projet de Dieu, à travers sa Créature, est un projet de diversité et non d’uniformité, conclut-il. Enfin, j’ai dégagé des perspectives pour un Sénégal meilleur. Cela nécessite la mobilisation de nos petites énergies et de nos intelligences dans un processus de mise à contribution individuel vers une édification progressive et collective de notre pays. Et, je reste convaincu que le génie sénégalais en est capable. »
Il explique : « Le principal motif du livre, c'est de dire qu'il y a des choses anomales qui se passent dans le pays. Puis attirer l'attention des uns et des autres que si l'on ne prend garde, le Sénégal va vers des impasses qui ont déstabilisé des pays, sous nos yeux. Ce n'est pas souhaitable. » L’auteur d’ajouter : « Si on résume le livre en un mot, c'est : alerte. Sur la base d'informations documentées, j'ai voulu clarifier certains concepts, rejeter des préjugés et préciser des choses qui le méritent pour aider ceux qui souffrent de carence de culture générale à voir plus clair. »
Il poursuit : « Dans cet ouvrage, j'ai exposé des situations de stigmatisation, de discrimination, d’humiliation et de rejet de centaines de milliers de Sénégalais qui sont soumis à des pratiques déshumanisantes et déshonorantes qui ne reposent sur aucun fondement juridique. Ce livre parle donc de ceux qui sont pointés du doigt, ceux-là étiquetés d’étrangers et de tous ceux qui souffrent quotidiennement dans nos administrations pour le seul et simple tort qu’ils portent un patronyme non homologué dans certains milieux. »
« J’ai surtout éclairé que le projet de Dieu, à travers sa Créature, est un projet de diversité et non d’uniformité, conclut-il. Enfin, j’ai dégagé des perspectives pour un Sénégal meilleur. Cela nécessite la mobilisation de nos petites énergies et de nos intelligences dans un processus de mise à contribution individuel vers une édification progressive et collective de notre pays. Et, je reste convaincu que le génie sénégalais en est capable. »
17 Commentaires
Basta
En Août, 2024 (07:06 AM)Les éthnicistes Macky Sall et l'autre nationaliste pro-pastef (j'ai oublié son nom, tellement il est insignifiant) sont à l'origine de toutes ces bêtises qui émergent.
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Un tigre n'a pas besoin de proclamer sa tigritude ! Merci au maître Nigérian du savoir Wolé .
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En Août, 2024 (08:04 AM)-
Ce livre est juste co*n.
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En Août, 2024 (08:30 AM)Il était où quand les sénégalais denoncait une polarisation de notre administration en mode neddo ko bandoum ?
Il n y a pas de stigmatisation c'est la communauté poular qui s'est identifiée à l'ancien régime, begg ci , profiter ci. Sen pékhé sou aggone do len niou may dara
Fimou nek changement mo am
Le problème est :
- qu'avec l'ancien régime on a vu comme une poularisation flagrante du pays
- des ndrings ont une liberté au Sénégal qui dépasse les bornes : ils nous insultent, sont louchement naturalisés, semblent organiser une fuite de nos capitaux, on a entendu leur ingérence dégueulasse dans nos élections
- beaucoup veulent vivre comme des gitans au Sénégal et au delà : creer ay camps en occupant les terrains achetés par autrui, ouvrir des commerces sans hygiène, un communautarisme extrême
Pourquoi les ndrings ont des problèmes en Guinée aussi ? Leurs pratiques ethnicistes, communautaristes, racistes ne sont pas acceptées en Guinée c'est pas au Sénégal qu'on va les accepter.
Ce ne sont pas des modèles d'intégration. Ils ne peuvent donner des leçons d'intégration.
On s'en fout de l'actionnariat. le Sénégal ne s'achète pas.
Les ndrings migrent en masse au Sénégal car ils y ont depuis L'ancien régime une liberté qu'ils ne peuvent avoir chez eux
Et même naturalisés on ne voit pas leur patriotisme, ils sont entre eux, s'organisent en groupe pour weur nombo les beaux quartiers avec leurs boutiques et imposer leurs prix.
J'ai dit on veut que Diomaye et Sonko nous renseignent sur la migration de ces communautés. Le Sénégal n'est pas un no man's land. C'est valable pour les libanais etc.
Combien entrent ? combien sortent ? Quels sont leurs statuts ? Leurs activités ? Et Quel est l'impact de leur migration ? Quelle intégration ? Et qu'en est il de leurs flux financiers à l'intérieur du pays et vers leur pays d'origine ? Lolou moy wakh ji
On veut aussi la souveraineté économique. Les sénégalais doivent reprendre le contrôle des secteurs alimentaires ( marchés de gros et de détail) et tous les secteurs stratégiques
Vous voyez ..Pourquoi un peul Fouta se sent obligé de défendre les peuls de Guinée ba am jottou binde livre? parce que generalement peuls yi ci affairou ethnie la niouy dokh et avec une forte pression communautaire risque d'exclusion
Le Sénégal a toujours été accueillant. Regardez les cap verdiens on ne leur reproche pas les mêmes choses ! Ils ont fait l'effort de bien s'intégrer et nous respectent. On leur rend la monnaie.
Adada
En Août, 2024 (08:32 AM)-
Le problème PEUL FOUTA c'est l'anarchie qu'ils établissent chez nous l'occupation des rues par des pousses pousses, les trottoirs et les dessous des lampadaires avec des tabliers de fruits et autres de cacahuètes grillées partout etc. Une sorte de désordre en forme de pollution par d'énergumènes en divagation qui ont le commun de venir en troupeaux en transhumance par hordes non contrôlées. Et le débat de la nécessité d'y remédier se fait de plus en plus sentir et le débat s'installe et certains trouvent le besoin d'en appeler à leur senegalité comme ici en occultant les causes du problème. Se réduire au niveau de l'animalité par des comportements indécent jusqu'à une déchéance humaine que l'on expose aux yeux de tout le monde particulièrement de leurs hôtes sénégalais n'est que l'appel à la discorde surtout que ce comportement général chez euxi rend nos villes en une sorte de marché sans fin où le désordre règne.
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En Août, 2024 (08:57 AM)-
Moi le problème PEUL FOUTA et ses conséquences sur notre voisinage j'en fais mon affaire personnelle, ils n'osent pas venir installer leurs tabliers à l'angle de la rue devant chez moi ou même aux alentours avec tabliers femme et enfants. Le premier qui l'avait fait je l'ai demandé de quitter il a refusé, j'ai réuni les jeunes du coin et les préviens que Dimanche j'ai une réunion de classe si je reviens je vais dégager le même peulh fouta. Le jour je l'ai attaqué avec un gourdin quand il a essayé de riposter les jeunes l'ont blessé et se sont partagé ses caisses de fruits, quelques mois après un autre à essayer je l'ai fait presque la même riposte. Ils n'ont pas de papiers pour être poursuivis à la police ou pour eux de porter plainte contre nous. À cause de leur situation et de leurs manières de vivre au Sénégal on à que cette solution contre eux pour se prémunir des torts qu'ils nous font.
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En Août, 2024 (09:08 AM)-
A basta post 1
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{comment_ads}Faux
En Août, 2024 (10:27 AM)Ton commentaire que tu es un cretiin et un lache ! Le tribalisme au senegal , parlons en , avec quel regime a t on le plus souffert du tribalisme au senegal ? C'est avec l'apr de macky sall , tu incrimines sonko qui a beaucoup souffert du tribalisme , c'est le seul homme politique dont les tribalistes de l'apr et de benno passaient leur temps a denigrer du fait qu'il est diola originaire de la casamance . Ousmane sonko a toujours combattu le senegal , il en parlait regulierement, souviens toi lorsque feu gaston mbengue avait attaque Barthélemy diaz par ra6 a ses origines cap verdiennes il fut le premier homme politique a s'offusquer de ces propos inacceptable et a demander a gaston mbengue de les retirer.
Si tu n'as pas le courage de te limiter a l'apr qui est a l'origine du tribalisme au senegal , mieux vaut la fermer ! Sonko les senegalais dans leur majorite l'aiment . Les senegalais ont elu son poulain dionaye a plus de 54% , aucun opposant n'a jamais gagne une election des le premier tour su senegal . Sonko forever, diomaye forever .
Ndarfall
En Août, 2024 (07:22 AM)-
Les peul fouta ils sont plus persecutés en Guinee qu au Senegal..
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En Août, 2024 (07:28 AM)Observateur
En Août, 2024 (07:27 AM)Pourquoi vouloir coûte que coûte être sénégalais et avoir la nationalité allant jusqu'à volé les actes de naissance de vrais sénégalais. ...
Nous ne voulons pas de vote ethiciste peul Foutah a nos élections présidentielles !!!
Ndiol Mi
En Août, 2024 (07:30 AM)Diop Alioune
En Août, 2024 (07:34 AM)Alfa
En Août, 2024 (08:12 AM)-
Tu es ndring suprémaciste ! Toute votre vie est basée sur l’ethnie, raison pour laquelle vous ne pouvez vivre en Guinée, mais sachez que vous resterez toujours étrangers au Sénégal. Vous ne pouvez pas vous inventer une légitimité au Sénégal. Vous êtes Guinéens, soyez fiers waaaay Ishhhh
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En Août, 2024 (09:09 AM)-
Toi là laisses nous en paix et va traire tes vaches! Mounane barbare PFFF
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En Août, 2024 (11:29 AM)Reply_author
En Août, 2024 (11:36 AM)Diaspora
En Août, 2024 (08:53 AM)Moi je suis Soninké, nous venons de SONI en Égypte, ce village existe toujours. On trouve les Soninkés au Mali, Sénégal, Mauritanie, Guinée Bissaw, Gambie, Guinée Conakry, et un peu partout, la terre nous appartient tous. Nous venons tous de quelle part. Les noms à consonance SONINKE, on ne peut pas dire qu'il n'est pas sénégalais ou malien, etc....
Depuis la nuit des temps, les SONINKE sont des grands voyageurs et ils sont partout.
Les étrangers ne constituent pas pas un problème économique et démographique. Les guinéens si.Le Sénégal connaîtra un grave problème politique si s'aventure à laisser les guinéens s'installer sans conditions dans le pays.Cela reproduira en plus dangereux le problème ivoirien car une majorité peull n'a pas la même signification qu'une majorité Wolof ou sérère. Tout le monde le sait et nous ne tairons pas pour faire plaisir à la CEDEAO plus française que africaine devant la confiscation de notre pays par le renversement démographique.Lunite du pays en dépend et le duo Diomaye -sonko doivent en être conscients.Rn attendant faute de l'éloigner vers son pays d'origine, l'état doit le surveiller et rappeler à l'ordre les médias qui lui offre une tribune pour déstabiliser notre pays.
Le Sénégal ne se construit pas avec des peul fouta.
Africain Authentique
En Août, 2024 (10:40 AM)Les peuples africains sont mille fois plus vielles que les frontières des pays tracées par les colons.
Alors foutre la paix aux gens qui ont toutes les ethnies representées dans leurs familles.
Si vous pensez créer ici un Rwanda bis,vous vous trompez.
Les fauteurs de troubles sont en général issus d unions mal saines
Likiloli
En Août, 2024 (11:00 AM)Tous les pays sérieux contrôlent scrupuleusement les entrées et sorties des étrangers. C'est n'est pas de la xénophobie.
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