Un spectacle de danse ouverte et libre, ‘’Cadre qui rit’’, alliant plusieurs styles a été présenté à Dakar, par la compagnie japonaise contemporaine ‘’Baobab’’ qui séjourne pour la première fois en Afrique. Le spectacle qui a été joué à la résidence de l’ambassade de Japon au Sénégal, a duré près d’une heure.
La troupe composée de danseurs et danseuses professionnels nippons est venue participer au onzième Festival des rythmes et des formes du monde dénommé ’’Dialaw festival’’, prévu du 26 au 30 avril, à Toubab Dialaw.
’’Nous sommes baobab et nous opérons au Japon. Nous avons beaucoup de style de danses au Japon, mais la danse contemporaine, est en train de prendre une place importante et c’est une danse très libre’’, informe Wataru Kitao concepteur du chorégraphe et danseur japonais accompagné de Fukuyo Mezawa, Moéko Uematsu et Saori Yoneda.
Kitao est aussi revenu sur le choix du nom de sa compagnie Baobab, un arbre mythique en Afrique. ’’Nous avons appris que le baobab est un lieu de rencontre pour discuter et échanger. C’est ce que notre groupe veut faire, c’est-à-dire regrouper plusieurs danseurs se retrouvent pour danser librement. Nous n’avons pas choisi le nom Baobab parce qu’on vient en Afrique. Ce nom a été choisi depuis plus de 15 ans’’, confie-t-il.
Créée en 2009, la Compagnie Baobab a un style original inspiré du théâtre musical, de la danse hip-hop ou même le jazz.
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